Faut Il Aimer La Certitude Pour Rechercher La Vérité

qui m'a conduit vers une conférence, très importante, du Dr Luigi Gaspari ayant eu lieu à Biarritz en 1993, deux ans avant sa mort. Elle était traduite de l'italien sur le site original mais j'ai du la corriger légèrement suite à un grand nombre de fautes diverses et variées. Vous trouverez cette version à la fin de cet article. Il me semble important de préciser que Luigi Gaspari a été considéré par l’Église Catholique, à partir de 1990, comme un gêneur. Il parlait de l’Église de Saint Jean qui succéderait

celui qui a compris qu’il n’est pas un dieu et qui, de ce fait, demeure un apprenti toute sa vie, la ténacité de celui qui poursuit la quête d’un idéal (inaccessible ?), celui de la vérité. Étymologiquement, le philosophe est celui qui « aime la sagesse », celui qui est épris de savoir et de vérité. Le chemin de la vérité est une longue route sinueuse qu’ont empruntée et continuent d’emprunter de nombreux penseurs depuis des siècles. Cette aventure fût initiée par les Anciens, et c’est elle que nous

Pluche sort.) MAÎTRE BRIDAINE. Cette vieille demoiselle paraît tout-à-fait pleine d’onction. LE BARON. Pleine d’onction et de componction, maître Bridaine ; sa vertu est inattaquable. MAÎTRE BRIDAINE. Mais le gouverneur sent le vin ; j’en ai la certitude. LE BARON. Maître Bridaine ! il y a des momens où je doute de votre amitié. Prenez-vous à tâche de me contredire ? Pas un mot de plus là-dessus. J’ai formé le dessein de marier mon fils11 avec ma nièce ; c’est un couple assorti ; leur éducation me

taoïste - est-ce Tchouang-tseu qui rêve qu’il est un papillon, ou un papillon qui rêve qu’il est Tchouang-tseu ? - simplicité : je préfère traîner dans la boue plutôt que servir les rois Bouddha (vie s. av. J.-C.) - le désir est souffrance ; il faut donc supprimer le désir, atteindre le détachement, pour atteindre le nirvana (concept proche de l’ataraxie des épicuriens et des stoïciens : tranquillité de l’âme, apaisement, sérénité) - le suicide est néanmoins condamné : c’est en vivant sa vie

échapper et que la seconde d'après la chose qui nous est la plus chère nous glisse entre les mains, inaccessible comme l'eau, on peut être certain que la vie ne vaut plus la peine d'être vécue. Oui, on exagère toujours trop, mais dans notre existence il faut toujours nous trouver un moment où on est obligé d'exagérer. Ce moment-là patiente dans cette salle d'attente depuis notre naissance. Le début de notre vie. Si c'est pas malheureux tout ça. Vivre, ça tue. Surtout quand on n'a pas la bonne bouteille

qui est décliné dans le texte : « de leur fenêtre », « regardaient », « verrait » * F ne prend donc pas part de cette révolution. * Il n’est pas impliqué, il est passif. « On casse quelques bourgeois dit F tranquillement » * Présent de vérité générale. * Rire « méprisant » qui marque son détachement par rapport à la révolution. * Il se venge, il se console avec une jeune femme aux mœurs légères, il décide même de se rendre dans la chambre réservée pour l’autre femme pour l’outrager

élève l'homme infiniment au-dessus de tous les autres êtres vivants sur la terre. Par là, il est une personne. » Disait Kant. En effet, avant d’assurer la présence certaine d’une conscience dans le sujet humain, il a cherché à trouver au moins une certitude sur lequel l’Humanité pourrait reconstruire tous son savoir, jusqu’ici erroné par la probabilité des faits, trop incertains. Sa théorie se base sur l’étude du doute absolu et prend le scepticisme comme outil de démonstration. En effet si un individu

(pochette verso du livre) PREMIÈRE PARTIE : LES BESOINS DE L’ÂME L'Ordre Là Liberté L’Obéissance La Responsabilité L’Égalité La Hiérarchie L'Honneur Le Châtiment La Liberté d’opinion La Sécurité Le Risque La Propriété privée La Propriété collective La Vérité DEUXIÈME PARTIE : LE DÉRACINEMENT Le Déracinement ouvrier Le Déracinement paysan Déracinement et nation TROISIÈME PARTIE : L’ENRACINEMENT Simone Weil, L’enracinement. (1949) 5 Présentation de l’œuvre par l’éditeur pochette verso du livre)

L’Homme face à la question de vérité CHAPITRE 1 : Le point d’appui d’Archimède RAISON ET REEL _ DEMONSTRATION _ VERITE Introduction : Si les hommes recherchent la vérité, c’est parce qu’ils en ont besoin. Ils en ont besoin pour se rassurer. L’esprit humain ne supporte pas très longtemps de rester dans l’inconnu, que les phénomènes naturels lui échappent. Il a besoin de comprendre la nature pour la maîtriser (voir texte François Jacob). Ils recherchent aussi la vérité parce qu’ils sont de nature

point commun. La présence de cet apparat répond en effet à une fonction précise : il ne s’agit ni plus ni moins 3 D’emblée le jusnaturalisme de Domat apparaît ici dans sa spécificité : nul état de nature (comme le remarque J.-Ph. HEURTIN, « Obliger à aimer les lois. Paradoxe de l’augustinisme juridique chez Jean Domat », Jus Politicum, n° 10, Domat parle d’un ordre naturel et non d’un état de nature), nulle approche contrac- tuelle de l’origine des sociétés. L’ordre de la société est dans la dépendance