Faut Il Augmenter Les Impôts

42% de PIB => très élevé, ne cesse pas à être augmenté. Qu’est ce qui représente les prélèvements de l’Etat et les collectivités territoriales ? => 20 points, et les prélèvements sociaux (sécurité sociale) => 22. Sur les longues périodes, se sont les prélèvements sociaux qui vont être augmenté plus que ceux de l’Etat. Les choses sont plus complexes => en réalité, entre les deux, il y un espace poreux => CSG (contribution sociale généralisée) => impôt que prélève l’Etat => l’Etat ne retient rien

satisfaire les besoins  Investissement 1. Expansion 2. Remplacement 3. Rationalisation (€)  Épargne 1. Thésaurisation (garder l’argent à la maison= stérile). 2. Investissement (créateur et non contraint). 3. Épargne forcée (taxe & impôts = créatrice) 2. 2.2 Biens économiques = utile à la société, disponible, rare (jeu O/D) & produit par l’entreprise.  Biens de consommation (directe)  Biens de production (autres utilisations)  Biens durables (utilise plusieurs fois)

territoriales a beaucoup augmenté. La tutelle a dans le même temps diminué. Avec le développement de l’autonomie juridique des collectivités territoriales, leurs compétences se sont élargies (transfert de compétence de la part de l’état). Si l’état leur délègue des compétences, il leur donne les moyens financiers pour effectuer les missions qui leur sont attribuées. Il y a une émancipation des collectivités : leurs fonctions et leur domaine d’intervention a considérablement augmenté. La problématique

fraude et l’évasion fiscales font partie des actes ou des comportements qui ont pour finalité la contestation du pouvoir fiscal, c’est-à-dire le refus de l’impôt. Ce sont des formes de résistance, conscientes ou non, à l’ordre fiscal. Le code des impôts n’a pas expressément donné des définitions légales de ce que sont la fraude et l’évasion fiscales. Si l’on s’en tient à la doctrine (française), la fraude fiscale peut être définie comme « une infraction à la loi commise dans le but d’échapper à l’imposition

i) + I(Y, i) + GC(Y-T, i) : la consommation augmente avec le revenu disponible (Y-T : revenu – impôts) et diminue avec le taux d’intérêt i. I(Y, i) : l’investissement dépend non seulement du taux d’intérêt i mais également du revenu (ou production) Y. A court terme, il faut considérer Y comme le volume des ventes courantes et futures que chaque entreprise prévoit. Par conséquent, Y est un revenu anticipé. L’investissement I diminue avec i et augmente avec Y.G : dépenses gouvernementales.*Modèle

les outils de politiques de relance qui aggrave le déficit budgétaire Outil monétaires : Dans le cas d'une politique monétaire de relance, la banque centrale augmente l'offre de monnaie (par exemple par une baisse de son taux directeur). Une telle baisse encourage la demande de crédits par les ménages et les entreprises, et donc augmente l'activité économique d'ensemble. En diminuant le taux de rendement de la monnaie, une politique monétaire expansive fera baisser le cours de la monnaie face aux

«L'administration en France, c'est très fertile! On plante des fonctionnaires, il y pousse des impôts» Coluche Si l’impôt n’a pas bonne presse, il n’en demeure pas moins un sujet central dans l’organisation de la vie en société : que prenons-nous collectivement en charge, quels biens publics, quelles solidarités, comment les financer ? Le débat public sur les choix fiscaux est bien l’affaire de tous : cette question essentielle peut, et doit, mobiliser les citoyens. l’impôt s’intéresse à vous

mesure de la pauvreté par le revenu. En effet, est pauvre tout individu ayant un niveau de vie inférieur à 50% du niveau de vie médian (60% pour les instances européennes). Le niveau de vie se calcule en divisant le revenu disponible d’un ménage, après impôts et cotisations, par le nombre d’individus composant ce ménage, appelés unités de consommation. Le niveau de vie médian évalué en 2006 était de 1470 euros mensuels. Ces chiffres sont établis par l’INSEE. Avec cet indicateur, le taux de pauvreté est

l’impôt et les cotisations sociales. Définir impôts directs et indirects. 1 – Quelle différence entre revenu primaire et revenu après distribution ? - Revenus primaires = revenus perçus en contrepartie d’une contribution à la production : revenus du travail (salaires), revenus du capital (intérêts, dividendes), revenus mixtes (revenus des travailleurs indépendants). - revenu après distribution : c’est le revenu perçu après prélèvements obligatoires (impôts et cotisations sociales) et versement des

budgétaires Le budget est devenu un instrument de la politique éco sous l’impulsion de Keynes. Il a notamment été utilisé pendant les 30 glorieuses avec des résultats indéniables. Avec la crise de 73 74 au premier choc pétrolier et un déficit qui va augmenter régulièrement (aux alentours de 9% de déficit budgétaire pour 2010). L’utilisation de cet instrument est remis en question notamment par les libéraux. A ce jour un jeune français née à peu près avec 20 000 euros de dettes. 20% des recettes du budget