Faut Il Augmenter Les Impôts

et les patrimoines (impôt sur le revenu, droits de succession, impôt de solidarité sur la fortune) y tiennent une part sans cesse plus faible, tandis que la TVA, impôt sur la consommation qui pèse sur tous les ménages quel que soit leur niveau de revenus, est l’une des premières ressources de l’Etat. L’abaissement du bouclier fiscal à 50% des revenus et la suppression des droits de succession accentueront plus encore cette tendance à la diminution de la part relative des impôts directs et progressifs

technologie et connaissances) Intégration et interdépendance croissante des économies nationales Relations entre les pays qui deviennent de plus en plus intenses L'activité économique dans un pays affecte celle des autres (contagion). Il ne faut pas confondre mondialisation et libéralisme : Le libéralisme : courant de pensées prônant, dans les relations économiques internationales, la liberté dans les activités économiques comme la libre circulation des biens, des services et des facteurs

obligatoires, nous remarquons que le système fiscal actuel est faiblement progressif jusqu’au niveau des « classes moyennes », puis il devient régressif au sein des 5% les plus riches et surtout à l’intérieur des 1% les plus riches. Tout d’abord les impôts sur la consommation prélèvent près de 15% des revenus des plus pauvres et à peine plus de 5% de ceux des plus aisés et plus riches ; les cotisations sociales prélèvent 25% des revenus les plus faibles et 5% de ceux les plus élevés : on dit alors que

Centralité (Keynes) : au centre de l’économie. Effet multiplicateur : a des effets sur plusieurs secteurs Loi de Say : « l’offre crée sa propre demande » (loi des débouchés) : suppose qu’il n’y a pas de problème de débouchés. Pour Keynes, il faut anticiper la demande : loi des débouchés impossible. Psychologie individuelle : entrepreneur novateur. Chez Keynes : Anticipation de la demande : incertitude. Capacité de production existante : taux d’utilisation. Rendement financier escompté

valeur ajoutée est le chiffre d'affaire moins les consommations intermédiaires alors que le profit est ce qui restera a l'entreprise après avoir tout payé ( impôts, salaires...), donc l'argent qui rèste au(x) gérant(s) de l'entreprise. 2) Il y a trois différentes couleurs car chacune d'entre elle représente une catégorie, celle en jaune est les impôts lies a la production, celle en bleu c'est la rémunération des gens qui travaillent dans l'entreprise donc les revenus du travail, et celle en orange sont

budget dont la fonction et de prévoir ses recettes et ses dépenses et de prévoir leur cohérence. Le droit budgétaire est donc le cadre juridiques qui s’applique à cette prévision, à l’autorisation et à l’exécution des ressources et charges de l’état. Il faut distinguer deux réalités voisines : finances publiques classiques et privés. I. Les finances publiques et les finances publiques privées A. Fondées sur différents principes * On constate une différence par rapport aux sommes gérées. Les

c'est l'Allemagne force économique et financière et politique, dispositif de soutient temporaire, doit être remplacer en 2013 par un mechanisme européen de stabilité permanent. les européen travail pour le remboursement de disponibilité budgétaire, il faut de la cohérence, doute sur l'euro, si que discour pas concret pour euro catastrophe 3iem risque, le risque de bulle spéculative Le baril de pétrole est aujourd'hui au dessus de 100 dollars. cour du coton on pris 100 % l'an denier, exé de liquidité

financiers serait peu favorable à l'épargne... De même, des prélèvements obligatoires trop élevés seraient peu incitatifs au travail... Il faut donc laisser l'initiative privée libre; le marché du travail, par exemple, ne peut plus trouver d'équilibre sans chômage si l'Etat impose un salaire minimum ; les entreprises n'investissent pas si l'épargne est insuffisante, il faut donc favoriser celle-ci en supprimant les réglementations. Les théories classique et néoclassique remettent donc en cause les

signifie que les revenues distribué à l’occasion de la production (offre) sont affectés en totalité aux dépenses de biens et de services (demande). CA – CI (conso intermédiaire) = V.A V.A (production)  Salaires V.A – Salaire = Bénéfice Bénéfice  Impôts  Dividende C Offre de B & S = revenu des ménages S Demande de B&S PIB (somme VA) : Production : Y I L’offre de B&S, qui correspond en économie fermée à

Cependant en cas de mauvaise conjoncture économique réduire les déficits publics risque simplement d’aggraver encore plus le ralentissement de la croissance (une hausse des impôts entrainant une baisse de pouvoir d’achat et une baisse de la demande et donc une baisse de la croissance est un scénario envisageable). Alors que faut-il faire ? Si d’un côté la réduction des déficits publics semble impérative car nécessaire à la croissance, de l’autre il semblerait que rigueur et austérité menacent elles