Faut Il Craindre Un Déficit Public

française voit le jour dans un contexte de crise européenne. En effet le gouvernement et les Français ont peur de voire leur taux d'emprunts augmenter comme cela a été le cas en Espagne ou les taux d’intérêts des obligations sont passés à 7% Il ne faut pas confondre agence de notation sociale et environnementale et agence de notation financière. En l’occurrence, Moody's fait partie de la deuxième catégorie. Elle a pour fonction l'analyse financière d'entreprises commerciales ou d'organes gouvernementaux

jusque là florissantes, comme celle de l’Irlande, sont aujourd’hui touchées par la récession. Partout dans le monde le chômage s’est accru ainsi que la pauvreté créant des troubles sociaux ou politiques. Une spirale déflationniste serait même à craindre selon certains. Après les entreprises, ce sont les états qui à leur tour sont en difficulté et qui doivent mettre en place des politiques d’austérité sous la pression des marchés extérieurs. Ces politiques compromettent une reprise qui semblait

est le problème de la Grèce ? La Grèce a vécu trop longtemps au-dessus de ses moyens sur des chiffres falsifiés, volontairement ou par négligence. Alors que l'ancien gouvernement annonçait un déficit public de 6% du PIB, Georges Papandréou, à peine arrivé au pouvoir en octobre 2009, découvrait un déficit de 12,9% et une dette publique à 115% du PIB, alors que la limite fixée par Bruxelles est de 3%. La zone euro tombe des nues. Fraude fiscale généralisée - l'économie souterraine dépasse 20% du PIB

s’apprécie entre 2002 et 2008). Ainsi : les entreprises industrielles sont donc peu incitées à opérer en France. C. Fiscalité La fiscalité sur les entreprises est peu attrayante en France : charges sociales élevées ; besoin de réduction du déficit public fait craindre un alourdissement de la fiscalité sur les entreprises. D. Difficultés d’embauche Difficultés de recrutement de salariés (ou jeunes) à profil « scientifique ». Même si les diplômés scientifiques ne manquent pas, leur niveau est cependant

née en Europe il y a maintenant un an et demi. De nouvelles politiques, cette fois ci de rigueur ont été menée par tous les gouvernements de la zone euro afin d’augmenter les recettes fiscales, de baisser les dépenses publiques et de ramener le déficit des états à zéro. Malheureusement ces politiques n’ont cette fois ci pas fonctionné et conduisent encore aujourd’hui à des périodes de récession importante entrainant un ralentissement de l’activité aggravant le phénomène qui se propage par les banques

demande, ce qui est source de croissance. II- L A POLITIQUE DE LA CONCURRENCE AU NIVEAU EUROPÉENA) Objectifs et modalités de la politique de la concurrencePolitique (européenne) de la concurrence :ensemble des mesures prises par les pouvoirs publics pour préserver ou accentuer la concurrence sur les marchés. Dans l'union européenne, la Commission européenne, assistée des autorités nationales dans chaque pays, régule ainsi les ententes, les fusions-acquisitions, les abus de position dominante

monétaire (agissant sur le crédit et sur la monnaie). • La politique budgétaire, d'inspiration keynésienne, vise, en période de crise, à accroître les dépenses publiques pour relancer la croissance, notamment en favorisant la reprise de l'investissement public et privé, et en soutenant la consommation des ménages. • La politique monétaire consiste à réguler la progression de la masse monétaire, mais elle pose aujourd'hui un problème : si certains États ont encore la maîtrise de leur monnaie (États-Unis

L'euro, handicap ou atout en cas de crise grave ? Gilbert Koenig* Les pays européens qui font face à une crise grave de leur endettement public peuvent avoir l’impression que leur appartenance à la zone euro constitue plutôt un handicap qu’un atout. En effet, les pays qui disposent d’une monnaie nationale peuvent espérer résoudre leur crise d’une façon plus satisfaisante sur le plan économique et social en procédant à une dévaluation de leur monnaie et en menant une politique monétaire généreuse

fonctionnement des marchés (travail, crédit bancaire…) Il faut ajouter les nombreuses erreurs de politique économique faites depuis la création de l'euro mais aussi depuis l'automne 2009 : pas de réaction vis-à-vis de la bulle de l’endettement, de l'immobilier, pas de différence faite entre crises de solvabilité et celles de liquidités, certitude d'une convergence, lutte contre l'inflation et non contre l'instabilité financière… Il faut maintenant mettre en place des institutions : le fédéralisme

Trois ans après la chute de la banque d’affaire américaine « lehman Brothers », la crise financière qui secoue l’occident depuis septembre 2008 n’est pas enrayée. Bien au contraire. Les causes de la crise : les déséquilibres commerciaux et les déficits publics qui en découlent son toujours là. Les conséquences de la crise s’alourdissent et le bilan est de plus en plus lourd, citons entre autre la faillite de la Grèce, l’endettement record des Etats Unis, la crise de l’euro, l’augmentation constante