Faut Il Du Courage Pour Philosopher

l’optimisme Voltaire 1759 Voltaire est un des principaux philosophes du XVIIIème siècle. Il dénonce l'intolérance, les superstitions et le fanatisme. Il a écrit Candide et Zadig. Dans Candide, Voltaire décrit le parcours d'un jeune homme naïf qui va parcourir le monde pour trouver les réponses aux questions métaphysiques qu'il se pose et pour retrouver Cunégonde, son amoureuse. Il est accompagné de Pangloss son mentor, un philosophe pour qui tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.

une règle de justice. L’injustice absolue réduirait n’importe quel groupe à l’impuissance. Socrate en conclut contre Thrasymaque qu’à l’inverse, la justice absolue serait la puissance absolue, i.e., souderait parfaitement toute une communauté. Il faut donc dire qu’on a toujours intérêt à la justice, et que le pouvoir ne peut s’exercer sans justice. Celui qui exerce le pouvoir ne le fait pas en vue de son intérêt, car il ne peut l’exercer de façon stable que s’il respecte la justice, et même s’il

esprits, ni aux gens à la mode. Il y aura dans tous les temps des hommes faits pour être subjugués par les opinions de leur siècle, de leur pays, de leur société : tel fait aujourd'hui l'esprit fort et le philosophe, qui par la même raison n'eût été qu'un fanatique du temps de la Ligue. Il ne faut point écrire pour de tels lecteurs, quand on veut vivre au-delà de son siècle. Un mot encore, et je finis. Comptant peu sur l'honneur que j'ai reçu, j'avais, depuis l'envoi, refondu et augmenté ce

L’ère des Lumières Géographiquement européenne, l'ère des Lumières est culturellement celle des philosophes, qui ont affirmé à la fois la vigueur et les limites de la raison. Parce que ces limites sont tracées par la raison elle-même, l'ère des Lumières est donc celle de la réflexion lucide de la raison sur elle-même.  L’ère des Lumières est un courant philosophique du XVIIIe siècle qui affirme la valeur universelle de la raison, en réaction contre l'absolutisme politique et la tradition

(Sartre, L'Être et le Néant) | | |* "L'homme est une passion inutile" (Sartre, L'Être et le Néant) | | |"Si je veux que ma vie ait un sens pour moi, il faut qu'elle en ait pour autrui ; personne n'oserait donner à la vie un sens que lui | | |seul apercevrait." (Bataille, L'expérience intérieure) | | |* "Tu ne

du monde, la lumière au sens figuré nous permet de le comprendre. En effet, les philosophes des lumières on foi en la raison humaine, et sont optimistes concernant la construction d'un monde éclairé. Ainsi, ils se consacrent à des problèmes concrets, d'ordre politique, social, et religieux. Ils se donnent pour mission d'éclairer les esprits aveuglés par les superstitions et l'obscurantisme. Emmanuel Kant, philosophe allemand du XVIIIe siècle, défini les lumières dans son article Qu'est-ce

réalités + pas courage de regarder vérité en face + impuissance, on ne peut améliorer la réalité qu’on ne voit pas Avantages lucidité = courage, dignité + sens des réalités + possibilité d’action, on peut améliorer réalité Inconvénients = Forme de souffrance c. Le choix de l’illusion : Matrix, Baudelaire d. Les motifs du choix On pose plaisir comme principe ultime qui doit orienter notre vie, on le fait passer devant vertus (morales = sagesse, tempérance, justice, courage) car vertus &

établissent l’uniformité parmi les hommes en les isolant. » Theodor ADORNO (1903-1969) et Max HORKHEIMER (1895-1973) 621 Ces deux philosophes font partie de l’école de Francfort, qui se donne pour tâche de réfléchir à l’apport de la philosophie marxiste et de critiquer l’application qu’en a fait la révolution soviétique. Le regard de ces philosophes est aussi très aigu sur le concept de progrès, qui, pour eux, sépare les hommes : les machines, l’organisation spatiale des bureaux, les

Emmanuel Kant (1724-1804), philosophe des Lumières, va à travers ce texte retransmettre une de leur principale idée que l'on peut résumer ainsi : il faut penser (ou raisonner) par soi même si l’on veut être libre. La liberté est définie par le fait de n’être soumis à aucune contrainte qui viendrait entraver notre volonté. C’est l’acte d’un sujet libre doué de raison, qui est capable de faire des choix, personnels, de se justifier rationnellement et de décider. Raisonner c’est : observer et agir

esprits, ni aux gens à la mode. Il y aura dans tous les temps des hommes faits pour être subjugués par les opinions de leur siècle, de leur pays, de leur société: tel fait aujourd'hui l'esprit fort et le philosophe, qui par la même raison n'eût été qu'un fanatique du temps de la Ligue. Il ne faut point écrire pour de tels lecteurs, quand on veut vivre au-delà de son siècle. Un mot encore, et je finis. Comptant peu sur l'honneur que j'ai reçu, j'avais, depuis l'envoi, refondu et augmenté ce Discours