Faut Il Favoriser Le Libre Echange Ou Le Protectionnisme

réalisées par les administration publique (l’Etat) ou les institutions sans but lucratif au service de menace. Les administrations offrent à la collectivité à titre gratuit ou quasi gratuit des services non marchand c a d ne faisant objet d’aucun échange sur le marché. • Le PIB marchand comptabilise uniquement des valeurs ajoutées réalisé par les branches marchandes (société non financière, sociétés financière, ménage ou les entreprises individuelles. B) du PIB au revenu national

concurrence mondiale : Section1) les activateurs de la concurrence mondiale : A) innovation et différenciation : B) les firmes multinationales et les échanges internationaux : c) une organisation réseaux : section2) le protectionnisme : A) les formes du protectionnisme : B) protection en concurrence imparfaite : C) les poles de compétitivité : Introduction Le commerce international1 ne cesse de se développer et

majoritairement le libre échange. Cependant, il fait régulièrement l’objet de critiques. Qu’en est-il en réalité ? Dans une réflexion structurée, vous répondrez à la question suivante : « Le libre échange profite-t-il toujours aux agents économiques ? ». Les récentes vagues de délocalisation et leur conséquences dramatiques au niveau économique et social jettent de plus en plus le doute sur les bienfaits de la mondialisation de l’économie qui découle directement du libre échange. Les agents économiques

____________________________________________________________ ______________________________ ECONOMIE GENERALE ____________________________________________________________ ______________________________ 3 ème PARTIE : LES MOTEURS DE LA CROISSANCE CHAPITRE 11 LES ECHANGES EXTERIEURS MOTS CLES - Balance commerciale, des capitaux, des paiements - Balance des transactions courantes - FAB, CAF - CNUCED - Coefficient d’ouverture sur l’extérieur, coefficient de dépendance - Compétitivité - Effets prix, effets

d’internationalisation des transactions commerciales, financières. Lié à la libéralisation des échanges et leur intensification. Phénomène d’intégration économique, globalisation contribue à rendre les pays interdépendants notamment avec la libre circulation des B&S, des capitaux, des hommes, des idées, de la technologie. La Globalisation se traduit par un effacement progressif des frontières et par un accroissement -des échanges de B&S -des mouvements de capitaux -du rôle des entreprises multinationales

du jour au lendemain: il lui faut d’abord une certaine structure organisationnelle, et des ressources humaines, matérielles et financières. Le commerce est, avec la guerre et la diplomatie, l’un des trois principaux modes par lesquels les États entrent en relation. Il est à la fois source de dialogue, de paix et de conflits. Normalement, en période de protectionnisme, le commerce entre pays a tendance à diminuer. Mais l’histoire montre que des périodes de protectionnisme ont coïncidé avec un fort développement

Etats Unis à partir du milieu du XIXe siècle * Le Japon en 1868 * La Russie à la fin du XIXe siècle La révolution industrielle est caractérisée comme une rupture avec le passé ou comme une convergence d’éléments que le contexte historique a favorisé. B- Contexte favorable à la révolution industrielle : 1) Equilibres politique, monétaire et économique * Un équilibre politique international : absence de grandes guerres entre 1815 et 1914 * Un équilibre monétaire grâce au

la croissance ne sont pas des processus linéaires. La croissance est cyclique et le développement connaît des phases d’accélération et de décélération ; ainsi en France, la croissance a été forte durant la période des Trente glorieuses, ce qui a favorisé le développement alors qu’elle s’est ralentie à partir du milieu des années 1970. Croissance, développement économique et changement social interagissent La croissance économique est nécessaire au développement économique et social : - elle permet

prend en compte l’augmentation des interdépendances humaines dans le monde mais s’efforce de les soustraire à la domination de la globalisation financière et dulibre-échange. Elle vise à rendre plus juste, sociale et écologique l’organisation économique mondiale grâce à de nouvelles règles endiguant les effets néfastes du libre-échange et du néo-libéralisme. Elle tend à mieux articuler la décision prise dans le cadre civique à l’action au niveau international. La démondialisation se base principalement

nationales lorsqu’elle ne parvient pas à composer les demandes qui s’adressent à elle. La globalisation des marchés s’oppose à la vision du cycle du produit. Il s’applique surtout à la gestion des firmes multinationales et concerne surtout les échanges des biens et services. ← Kenichi OHMAE. Il va élargir la notion à l’ensemble de création de valeur (Recherche et Développement, production, marchandisation, service, finance). Elle désigne une forme de gestion totalement intégrée à l’échelle