Faut Il Reposer La Justice Sur La Force

INTRODUCTION : Il faut faire la distinction entre le droit et la justice. Il y a des synonymes entre eux (droit : science du juste : CELSE). Les attitudes du droit face à la justice sont diverses, parfois la question de la justice ne se pose pas, c’est le cas pour les règles de rédaction des actes de l’état civil. Ce sont des règles à caractères techniques qui visent à organiser la vie en société ; ces règles n’ont rien à voir avec la justice, parfois le droit exprime ou prolonge un besoin de justice par ex :

étatiques, de nouvelles formes de justice ont été envisagées, et ainsi, de nouveaux modes de règlement des conflits. L’UE exige maintenant des états le développement de modes alternatifs de règlement des litiges, à côté de la justice étatique. Lorsqu’un consommateur subit un dommage, on souhaite qu’il ait d’autres moyens de faire réparer son préjudice en dehors de la justice étatique. - La médiation est un mode alternatif de règlement des litiges. C’est une justice extra-juridictionnelle car le médiateur

droits et devoirs. Procédures qui se distingue selon les cas : procédure civile lorsqu'il s'agit de demander une réparation, procédure pénale lorsqu'il s'agit de montrer que la gravité de la situation nécessite probablement une peine de prison. Il faut faire en sorte que le système de qualification des faits soit rationnel et porte en lui sa solution. C'est par les processus qu'on arrive à disséquer un problème. Cela permet de souligner que le juriste est d'abord quelqu'un qui classe, et qui passe

PASCAL LES PENSEES Citations Liasse I : Ordre « Les Hommes ont mépris pour la religion. Ils en ont haine et peur qu'elle soit vraie ; pour guérir cela, il faut commencer par montrer que la Religion n'est point contraire à la raison, vénérable, en donner respect [...] puis montrer qu'elle est vraie.Vénérable parce qu'elle a bien connu l'Homme. Aimable parce qu'elle promet le vrai bien. » (Fragment 10) Liasse II : Vanité « Rien ne fortifie plus le pyrrhonisme que ce qu'il y en a qui ne sont point

(=ce qui est) dictant ce qui doit-être. La question se modalise ainsi en deux types de questions : a) « Que sont les lois ici et maintenant? » = domaine du juriste, réponse empirique (empeiria=expérience) b) « Quels sont les critères/juger de la justice ou de l’injustice des lois instituées? » = question philosophique. a) Droit positif : m’informe de la légalité et illégalité des actes. b) Second sens : m’informe de la légitimité ou de l’illégitimité de la loi. Or la seconde question est redoutable

formelle : (a+b) ² =a²+2ab+b² est vrai en vertu des règles du calcul mathématique. Alors que la certitude est un sentiment qu'on a de la réalité d'un fait, de la vérité d'une idée, d’une conviction. C’est aussi un état psychologique, l'état de repos de celui qui a cessé de douter. L’erreur l’illusion : Le rapprochement est le fait que l’erreur et l’illusion sont dans le faux. Cependant, l’erreur selon Descartes est l’usage de la liberté humaine (ou libre arbitre) en dehors des limite

Fiche 53 : Théorie de la justice, John Rawls État, entreprise, travail Fiche 53 Théorie de la justice JOHN RAWLS Ce livre de plus de 600 pages, publié en 1971 pour la version originale, est en grande partie le regroupement, sous forme synthétique et analytique, de l’ensemble des articles publiés par J. Rawls pendant la période 1958-1971. Les traductions françaises de 1987 et 1997 (Seuil) reprennent le texte remanié de 1975 après que Rawls eut intégré certaines critiques qui lui avaient été

Partie II. Chapitre 2 : Les sources informelles On considère que les sources du droit sont informelles à partir du moment où elle ne sont pas légiférés. L'influence des sources informelles ne dispose pas de la même force, c'est le cas de la jurisprudence et de la doctrine. I-La coutume. Les droits coutumiers qui avaient une place importante dans l'ancien régime ont été supprimés par la loi après la révolution de 1789. Elles on été supprimé par la loi du 30 ventôse an 12 (loi de 1804).Plus

juste, mais aussi un raisonnement ou un calcul. La balance est à la fois un instrument de mesure et le symbole de la justice : est-ce lié à l'idée d'un équilibre recherché entre des forces de sens contraires ? Toujours est-il qu'on lui attache un très grand prix. Est-ce seulement par crainte de subir l'injustice ? 1. La justice réside-t-elle dans l'application du droit ? a) La justice et la conformité à la loi Dans un sens objectif, on appelle juste tout comportement qui se conforme à la loi. Ou

L’HUISSIER DE JUSTICE « La force injuste de la loi ». Si en apposant ainsi la loi à la notion d’injustice, cette expression peut paraitre insensée car contradictoire, il n’empêche qu’elle semble être devenue récurrente dans le langage courant certain en faisant même leur leitmotiv. Qui en effet ne ressent pas un certain vent de révolte quand il voit le voisin du second pallier, tout juste licencié des suites de la faillite de son entreprise, se faire saisir sa voiture ses meubles et son frigidaire