Faut Il Réduire Le Déficit Public Pour Soutenir La Croissance économique Française

de 17 États membres de l'Union européennedont la monnaie de référence est l'euro. Le premier évènement est relevé en 2010, avec la crise de la dette grecque, provoquée par la mise en lumière de celle-ci, ainsi que de son important et constant déficit public. Elle s'étend à l'automne 2010 avec la crise de la dette publique de l'Irlande, provoquée par le sauvetage des banques nationales rendu nécessaire par les excès antérieurs de la dette privée. Durant l'été 2011, une tempête boursière survient,

les pouvoirs publics peuvent utiliser la politique budgétaire pour agir sur les déséquilibres. En se référant au point 4.3, on présentera également les moyens d'action des banques centrales (notamment la Banque centrale européenne) et leur rôle dans la régulation conjoncturelle de l'activité économique. Pré-requis : Marché (des biens et des services, du travail et du capital), population active, population inactive, équilibre emplois-ressources, Etat, les fonctions économiques de l’Etat (fonction

profonde récession économique. En France, l’opinion publique se fait de plus en plus entendre, dans des débats où l’on se demande si le pays est en voie de sortie de crise, ou s’il souffre encore des effets de celle-ci. Il est primordial de situer la France par rapport à ses camarades européens, et d’analyser les moyens qu’elle emploie pour mettre définitivement fin à la récession. 2010 semble être pour la France une année de convalescence sur plusieurs points, accompagnée d’une croissance faible. Dans

POUR SORTIR DE L’IMPASSE Introduction La reprise économique mondiale, permise par une injection colossale de dépenses publiques dans le circuit économique (des États-Unis à la Chine), est fragile mais réelle. Un seul continent reste en retrait, l’Europe. Retrouver le chemin de la croissance n’est plus sa priorité politique. Elle s’est engagée dans une autre voie : celle de la lutte contre les déficits publics. Dans l’Union Européenne, ces déficits sont certes élevés – 7% en moyenne en 2010 – mais

réalisation des objectifs de déficit du gouvernement pour 2008 et les années suivantes. Elle estimait improbable le retour à l’équilibre annoncé alors pour 2012. L’ampleur de la crise qui a éclaté à la fin de l’été 2008 aggrave très fortement ce constat même s’il est encore trop tôt pour apprécier la situation à fin 2008 avec suffisamment de recul. Il reviendra à la Cour d’examiner dans les prochains mois le coût et l’impact des mesures récemment décidées pour soutenir l’activité. Elle se prononcera

L’ETAT DOIT-IL INTERVENIR POUR REGULER LES FLUCTUATIONS CONJONCTURELLES ? Introduction : 1. Lorsqu’un choc économique survient, les équilibres macroéconomiques sont mis à mal. Si la croissance effective dépasse la croissance potentielle, l’inflation menace et le commerce extérieur risque d’être déficitaire car l’économie perd en compétitivité. Si la croissance effective est inférieure à la croissance potentielle, le chômage augmente avec le risque d’une remise en cause de la cohésion sociale et une spirale

ECONOMIE FRANÇAISE : SITUATION ACTUELLE ET CONDITIONS D’ UNE CROISSANCE DURABLE Présentation schématique de l’ intervention de Jean-Pierre CHOMETTE « La mer, toujours recommencée » dit Paul Valéry ♦ Ainsi en va-t-il de la conjoncture économique : → l’ dernier, à la même époque, le panorama était incertain, voire an menaçant, avec une nouvelle crise des pays émergents, générée par la cessation des paiements de la Russie, qui avait provoqué une contraction des échanges mondiaux, à l’ origine

« Politique économique et Europe », Arnaud Diemer, MCF IUFM D’Auvergne POLITIQUE ECONOMIQUE ET EUROPE Mars 2001 1 Formation continue, « Politique économique et Europe », Arnaud Diemer, MCF IUFM D’Auvergne Plan de l’intervention INTRODUCTION A ) Fondements théoriques des politiques économiques 1 ) Politique économique et logique keynésienne 2 ) Politique économique et logique néoclassique 3 ) Politique économique et hétérodoxie B ) Questions de politique économique : les vues du

nommé le 21 mai, appliqua les promesses de campagne, ces cent dix propositions de son programme de candidat qui devaient incarner le changement. Au-delà des réformes sociétales et sociales que nous verrons plus tard, les principales mesures furent économiques et financières. François Mitterrand avait en effet hérité d’une situation de crise internationale commencée depuis le premier choc pétrolier de 1973 et accentuée par le second choc pétrolier en 1979 qui avait anéantie les effets positifs de la politique

réalisation des objectifs de déficit du gouvernement pour 2008 et les années suivantes. Elle estimait improbable le retour à l’équilibre annoncé alors pour 2012. L’ampleur de la crise qui a éclaté à la fin de l’été 2008 aggrave très fortement ce constat même s’il est encore trop tôt pour apprécier la situation à fin 2008 avec suffisamment de recul. Il reviendra à la Cour d’examiner dans les prochains mois le coût et l’impact des mesures récemment décidées pour soutenir l’activité. Elle se prononcera