Faut Il Réduire Les Dépenses Publiques

Définition − Politique budgétaire = elle consiste à utiliser les dépenses et les recettes des administrations publiques afin de modifier l’activité économique 2 Les différents centres qui la compose − Etat : les différents ministères, collectivités locales, organismes centrales/protection social (ASSEDIC, ANPE, sécu…) − Dans les administrations publiques ne figurent pas la poste, SNCF, mutuelles… ➢ Les recettes publiques sont les « prélèvements obligatoires » • Ex : péage non obligatoire 

La dette publique de la France (Etat, Sécurité sociale et collectivités locales) a augmenté de 56 milliards d'euros au deuxième trimestre 2010 par rapport au trimestre précédent, pour atteindre 1 591,5 milliards d'euros, soit "approximativement" 82,9 % du PIB, annonce l'Insee, jeudi 30 septembre. A la fin du premier trimestre, la dette publique atteignait 80,4 % du PIB, rappelle l'Insee. La dette publique représente 82,9 % du PIB de la France La dette publique de la France (Etat, Sécurité sociale

économique 1 PLAN DE COURS I. LE BUDGET DE L’ETAT A. La Loi organique des lois de finance (LOLF) B. Le solde budgétaire C. Le budget 2010 – 2011 D. La réaction au budget 2010-2011 II. LA POLITIQUE BUDGETAIRE A. Déficit public et dette publique B. La notion de multiplicateur C. Les conséquences d’un déficit 2 I. LE BUDGET DE L’ETAT Le budget de l’Etat représente le principal instrument de l’Etat pour agir sur l’économie. En France, c’est la Loi de Finance, puis la Loi Organique sur

commencer l’analyse il faut définir le terme important de fonctionnaire : « c’est une personne qui est employé par l’Etat, et qui exerce une fonction publique ». La question du nombre de fonctionnaires en France est une question qui fâche par excellence. Dès qu'il s'agit des fonctionnaires, tout le monde a des idées bien arrêtées. Généralement, pas très positives. Fainéants, tout le temps en grève, inefficaces. Conclusion, quasi systématique: ils sont trop nombreux, il faut supprimer des postes.

Moins de dépenses publiques pour davantage de croissance, d'emplois et de liberté Yves Cannac - Mars 1996 Avec 55 % du P.I.B. la France est à la fois le pays du G.7 où le poids de la dépense publique est le plus élevé et celui où ce poids a augmenté le plus régulièrement au cours de ces cinq dernières années. En effet, contrairement aux autres pays de ce groupe, la France est le seul à ne pas s'être lancée dans une politique volontariste de réduction des dépenses publiques. Or, il ressort de cette

1) La France en quelques faits stylisés - Un PIB/HAB qui décroche par rapport au pays rhénans, nordiques. EX 1980 France=Suède et aujourd’hui Suède = 10% que la France. Pays anglos-saxons = faible dépenses publiques, responsabilité individuelle dans la recherche de boulot. Nordiques = dépenses publiques fortes, politique sociale généreuse, placement des chômeurs. Ces deux types opposés ont un Pib/hab qui progresse entre 90-2010, pas la France. - Un effondrement de la compétitivité française. La France

La Révision Générale des Politiques Publiques (RGPP) Sommaire • Introduction • I Réforme de l’Etat et de ses politiques publiques, une action récurrente 1. Causes -modernisation -faire des économies en temps de crise 2. Actions -par la rigueur -par la gestion -par le transfert -par la simplification -par le budget • II Mise en œuvre et attentes de la révision générale des politiques publiques 1 Le rapport Pébereau sur la dette publique 2. La révision générale : 1ere étape l’audit 3.

partenaires. Mais avec un déficit public qui représente environ 8% de notre richesse nationale, personne ne peut dire qu'elle n'est pas sérieuse Ces déficits récurrents alimentent une dette publique qui s’élève aujourd’hui à plus 1100 milliards d’Euros, une somme très préoccupante. Le redressement des finances publiques est le défi majeur auquel la France doit faire face au sortir de la plus grave crise de l'après-guerre. De la réponse qu’elle y apportera dépendra en grande partie sa place dans le monde

FINANCES PUBLIQUES |L’EQUILIBRE BUDGETAIRE | « Il y a des dépenses, il faut les couvrir » cette phrase de Gaston Jeze résume parfaitement le problème que pose les finances publiques depuis leurs existences. En effet, les dépenses auxquelles procèdent l’Etat, surtout dans notre période d’interventionnisme sont lourdes et pèsent dans le budget du pays, alors il faut pour cela

résoudre le problème du chômage, faut-il réduire – ou faudrait-il au contraire augmenter – les salaires, les prestations de sécurité sociale (allocations de chômage, pensions, remboursements de soins de santé, allocations familiales), les dépenses publiques (enseignement, culture, travaux publics, …) ? En d’autres termes : faut-il continuer à mettre en œuvre des politiques restrictives d’inspiration néo-libérale (comme on le fait depuis le début des années 1980) ou faut-il au contraire préconiser un