Faut Il Se Méfier Des Religions

douter d’être en train de douter.“Cogito ergo sum” : « Je pense donc je suis » = je pense que je doute donc je suis. - je sais que j’existe non pas avec mon corps mais avec mon esprit - il s’adresse en français et non en latin, ce qui montre qu’il ne faut pas être savant pour comprendre cette première vérité - « donc » ne désigne pas un raisonnement, une déduction mais est une preuve de la connaissance de soi (=conscience) : « Je suis, j’existe » → cette connaissance est intuitive, sans raisonnement

après de nouvelles découvertes. Descartes dans son œuvre « les méditations métaphysiques » remet en cause le doute ordinaire commun, il parle alors de doute cartésien qui ne consiste pas à ne pas croire ce qui semble absurde mais il consiste à se méfier de sa propre tendance à croire ce qui semble certain c'est à dire de ne considérer comme vrai que ce qui est indubitable. La vérité peut être donc subjective à chacun et diffère selon les perceptions, les sentiments ou encore les opinions de chacun

a de mauvais : l’égoïsme, l’amour de l’argent, la propension au capitalisme. En outre sur le plan social, il y a de nombreuses pièces qui montrent les travers de l’homme. On pense à Dom Juan et à la fameuse scène où le libertin se convertit à la religion et fait un faux éloge de l’hypocrisie. Ici Molière montre bien la bassesse de l’home qui louvoie et se montre fourbe. Dans la scène des portraits du Misanthrope, Molière met en scène Célimène se répandant en médisances sur ses amis. Là encore le

indice pour que le lecteur découvre le sens du poème. Important. Pourquoi le titre est centré sur le marchand de tulipes et non sur la tulipe? Pourquoi donner tant d’importance à ce personnage? Permet-t-il de révéler le docteur ou de critiquer la religion? ® l’épigraphe. Comme le titre il doit éclaircir le poème ou l’appuyer. La tulipe est parmi les fleurs ce que le paon est parmi les oiseaux. Une comparaison entre la tulipe et le paon. Idée de supériorité, d’importance. Un parallèle est instauré

approche juridique des institutions, les politiciste nourrit de sociologie, on plutôt eu tendance à définir le politique comme le pouvoir. En SP la conception du pouvoir → il s'agit d'une conception interactionniste. Pour qu'il y est du pouvoir, il faut être au moins 2. Expérience sociale. Robert Dahl : A à un pouvoir sur B si il obtient de B une action Y que B n'aurait pas fait sans A. C'est tout chance de faire promouvoir son point de vue dans le sociale. Politique = pouvoir : phénomène de portée

fonctionnement de la raison. Il faut maintenant voir que, si le but de la raison est d'établir la vérité, alors l'opinion ne saurait faire partie de nos jugements. En effet, préjuger c'est admettre une vérité, sans pour autant la soumettre à l'examen de la raison. Dès lors, il est absolument possible qu'un homme admette une vérité qui est fausse aux yeux de la réalité. La vérité, c'est l'accord de l'intellect et de la chose. Pour qu'une pensée soit vraie, il faut qu'elle soit en adéquation avec le

thèmes du premier livre, et Simon de Vries, en 1663, fait état d’un collège dont les membres lisent et commentent les textes envoyés par Spinoza. Mais, en même temps qu’il se confie à un groupe d’amis, il les prie de garder ses idées secrètes, de se méfier des étrangers, comme il le fera encore à l’égard de Leibniz, en 1675. La raison de son installation près de La Haye est vraisemblablement politique : le voisinage de la capitale lui est nécessaire pour se rapprocher des milieux libéraux actifs et

ou encore la religion.. Chaque apologue véhicule une morale, une leçon de vie. Les contes pour enfants par exemple ont souvent une portée morale qui indiquent comment se comporter.: Le Petit Chaperon rouge rappelle aux enfants qu’il ne vaut mieux pas parler aux inconnus. Bon Nombre de contes comme Cendrillon, la Belle et la Bête montrent que la vraie vertu est dans la simplicité et l’amour vrai, que la vraie beauté est dans le cœur et non dans l’apparence. L'aspect moral : il faut faire, penser

l’objet de recherches historiques ou sociologiques. -Une notion qui renvoie à des problèmes sans cesse renaissants même quand on croit qu’ils sont réglés. Voir ce qu’en dit un historien, Jean-Marie Mayeur (dossier). -Des définitions existent, mais il faut dire d’emblée qu’elles ne sont pas toujours entièrement concluantes, et parfois redondantes (voir au dossier :Laïcité –QQ définitions) ; quant à l’étymologie (laikos en grec, laïcus en latin,qui signifie « peuple ») elle n’éclaire pas non plus entièrement

Peut-on tout nous faire croire ? Pourquoi nous laissons-nous persuader si facilement ? Comment savons-nous ce qu'il faut croire ou non ? « Peut-on tout croire ? ». Problématique : Comment régler ses croyances ? Enjeu : Nous sommes portés à croire lorsque nous ne sommes pas en mesure de savoir avec précision. Autant dire que la croyance est aussi inévitable que nécessaire tant sont nombreuses nos ignorances. Mais il appartient à la raison de ramener dans des limites acceptables ce