Faut Il Se Méfier Du Bonheur

du progrès technique qu'il fasse notre bonheur ? De nos jours, le progrès technique est omniprésent et en forte croissance. L'homme ne cesse de créer, d'inventer et en vint à devenir dépendant de ce dernier. D'ailleurs ses désirs sont de plus en plus superflus. Cependant les populations restent inégales faces au progrès. Certaines restent en effet, dans l'ignorance. Peut on donc vraiment attendre du progrés qu'il fasse notre bonheur ? Le bonheur est un état de satisfaction auquel rien

peu à peu le monde extérieur. Quoi qu’il en soit, les machines ne laissent personne indifférent. La peur des machines est-elle justifiée ? On emploi le terme redouter pour désigner une grande crainte. Alors on se pose la question de savoir s’il faut redouter les machines. Une dissertation en trois parties permettra de répondre à cette problématique. Elle permettra de démêler les inquiétudes sensées des angoisses infondées Pour cela, elle commencera tout d’abord en abordant le rôle bénéfique des

(Physique, Livre IV – 384-322 av. J.-C.).  Platon et Aristote s’accordent sur ce point : on commence à philosopher en reconnaissant qu’on ne sait rien. Le savoir demande un apprentissage, il s’acquiert. Il est le fruit d’une recherche. Il faut donc se méfier, en général, des opinions, et de ceux qui s’imaginent détenir des vérités toutes faites : leurs connaissances sont bien souvent illusoires, et non fondées. 3 . Qu'est-ce que philosopher ? La philosophie peut-elle s’apparenter à la «recherche

démesure. On va alors se demander comment et pourquoi les religions sont-elles aussi puissantes. La force de la religion tient-elle de son utilité?Faut-il en avoir peur? On constatera dans un premier temps que les religions apportent des réponses à des questions,qui ne peuvent être résolues par la science mais aussi qu'elles apportentprotection et bonheur. Ensuite on verra que les religions sont utiles à la société. Pour terminer on déterminera en quoi les religions peuvent devenir dangereuses.

l'église ? Comment peut-il faire ça ? Gardien 2 :  Je ne sais pas, j'aimerai bien rentrer dans sa tête et briser tout ses désirs !  Gardien 1 : Doit-on se méfier des clergés ? Gardien 2 : Non sûrement pas vous voyez bien que le seul cas est celui de Tartuffe et d'aucun autre ! Ne commencez pas à vous méfier sinon qu'est ce que ça donnera ? Ne soyez pas stupide, vous êtes quand même gardien de prison et encore moins faible à ce point. Gardien 1 : Ne dites pas ça de moi

humaine qui nous pousse à nous méfier des autres, de l’inconnu. Tous ces critères font que l’on se normalise pour, au final, tous se ressembler. C’est cette peur d’être mis à l’écart, d’être marginalisé qui nous pousse à cette uniformité. En effet l’homme ne peut pas vivre seul, il a besoin des autres, besoin de partager ses expériences, besoin d’aimer. Tout ça il ne peut pas le faire seul. Christopher Johnson Mc Candless a d’ailleurs écrit à ce sujet : «  Le bonheur n’est réel que si il est partagé »

dans les sciences : le rationalisme ne consiste pas à établir une vérité unique et définitive – une idée unique du bonheur : il consiste à admettre la possibilité de critiques. Vouloir le bonheur du peuple est, peut-être, le plus redoutable des idéaux politiques, car il aboutit fatalement à vouloir imposer aux autres une échelle de valeurs supérieures jugées nécessaires à ce bonheur. On verse ainsi dans l’utopie et le romantisme ; et, à vouloir créer le paradis terrestre, on se condamne inévitablement

son contexte, est à manier avec précaution et distance. On trouvera, en cherchant bien, toujours son contraire. Sans oublier que la parole verbale n'est que l'une des expressions de la personne qui s'exprime avec son corps par de nombreux signaux. Il faut savoir écouter, mais aussi prendre son tour de parler, son tour d'agir. Et ne pas confondre le silence intérieur et le silence apparent. Quant à l'injonction de se taire si l'on à rien à dire, elle est abusive, car celui qui parle a toujours quelque

de nombreux régimes politiques à l'est comme à l'ouest, au nord comme au sud de la planète. A ce cortège sinistre traduisant un mépris sans précédent de la vie et de l'éminente dignité de la personne humaine par des tyrans mondialement connus, il faut ajouter encore : les famines organisées ou non, les massacres inter ethniques, les conflits tribaux, l'apartheid, le terrorisme, les intégrismes de toutes natures, les déportations entières de populations... Siècle tragique et meurtrier, certes

Bilan de séquence sur la princesse de Clèves 1. La Princesse de Clèves , un tableau critique de la cour : - le faste + les us et coutumes de la cour ; (bals joutes etc…) - Une galerie de personnages historiques ;- Allusion à des évènements historiques : traités de paix, mariages princiers, mort du roi Henri II ;- Des épisodes véritables parenthèses historiques faisant la biographie d’un personnage célèbre (histoired’Anne de Boulen).- la