Faut Il Soigner Le Criminel

'' UN HOMME PERDU SE PROTEGE CAR SE FAIT ATTAQUER, OU UN DANGEREUX CRIMINEL SANS PITIE?'' qui? : M.Meursault quoi? : accuse de meutre d'un arabe ou? : sur une plage en algerie quand? : pourquoi? : se sentait menacer? Soleil faisant tourner la tete? Semi-conscient? Avait envi? Aujourd'hui va se derouler le jugement de M.Meursault. Cet homme est accuse d'homicide volontaire et encours une peine grave. Apres onze mois de detention, le detenu va etre enfin juger. Au debut du proces le

compte que le système était d’une telle rigidité qu’il était impossible de prendre en compte les différences (ex : primo délinquant et récidiviste – la question de la responsabilité ou de l’irresponsabilité). Or, pour préserver ce principe d’égalité, il faut prendre en compte le fait que les délinquants sont dans une inégalité de fait. (Un enfant de 5 ans ne peut être considéré comme responsable de ses actes) -> l’uniformité préconisée par les codes pénaux est génératrice d’injustice.  Diverses réformes

pour étudier le droit à Paris. À la maison Vauquer, sise rue Neuve-Sainte-Geneviève, il rencontre Jacques Collin, alias Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin dans les plus hautes sphères sociales (la Maison

puissance. Il veut faire sa fortune et il le pousse à épouser Mademoiselle de Taillefer, dont il s’arrange pour faire tuer le frère en duel afin de lui rendre la disposition d’un riche héritage. Rastignac refuse de suivre Vautrin dans cette affaire criminelle. Il s’engage dans une relation amoureuse avec Delphine. Une enquête révèle que Vautrin est un ancien forçat, Jacques Collin, portant une marque qui n’apparaît que si l’on frappe la peau et que découvrent les agents venus l’arrêter. Le Père

pour étudier le droit à Paris. À la maison Vauquer, sise rue Neuve-Sainte-Geneviève, il rencontre Jacques Collin, alias Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime une fille du père Goriot, Delphine de Nucingen, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin dans les plus hautes sphères sociales (la Maison

À la suite de son service militaire en Algérie, où l'on tirait à vue sur l'ennemi, il se serait ainsi habitué au maniement des armes, tuant au moins cinq fois. On sait qu'il a tout laissé tomber pour une ambition inusitée: devenir le plus grand criminel de France. Jacques Mesrine se prenait pour un justicier, mais il exerçait une telle violence dans ses actes, si l’on se mettait en travers de son chemin, il n’hésitait pas à devenir violent et tuer. Depuis la guerre, il n’avait plus sa place dans

envoyaient plus souvent leurs patients à la tombe qu'ils ne les guérissaient (« Presque tous les hommes meurent de leurs remèdes, et non pas de leurs maladies » en disait Molière dans Le malade imaginaire). Aujourd'hui, pour être médecin en France, il faut avoir accomplis de nombreuses études à la fois théoriques et pratiques, sanctionnées par une thèse et un diplôme. Quiconque n'a pas réalisé ces différentes étapes ne peut pas être considéré comme un médecin à part entière. Ainsi, l'interne, qui dispose

matin tiède et pluvieux, Don Aurelio, le dentiste, reçut dans son cabinet la visite impérative du maire, son adversaire politique, accompagné du lieutenant sous la menace de l'arme duquel il dut rentrer le fusil qu'il avait sorti et fut obligé de le soigner. Il avait un gros abcès. Aussi, sans l'endormir ni le regarder, il lui arracha une dent de sagesse alors que l'autre s'agrippait aux bras du fauteuil, sans soupirer. Il partit en lançant que peu importait qu'il envoie la facture à lui ou à la municipalité

roman installe un vrai débat plus vaste. L’épidémie apparaît en quelque sorte comme la forme concrète d’un mal abstrait, et donc du malheur des hommes. L’homme n’est donc plus simplement confronté à une épidémie, mais au Mal par excellence. Il nous faut nous interroger sur la réaction des hommes, d’ailleurs l’auteur s’efforce de mettre en forme des réponses possibles à l’absurde par la mise en scène de destins incarnés à travers des personnages, où chacun, a une manière différentes de réagir face

de l’incapacité d’établir un bilan fondé sur des statistiques crédibles cernant l’effet réel de ce registre. C’est qu’il faut prendre en compte que, depuis 1978, il existe un autre registre, celui des permis d’acquisition et de possession d’armes à feu et de munitions, toujours en vigueur et dont l’application a été renforcée en 1995. Pour obtenir ce permis préalable, il faut se soumettre à une procédure autrement plus contraignante que l’enregistrement subséquent d’une arme à feu, si frustrant soit-il