Faut Il Sortir De La Zone Euro

La zone euro lance un plan d'aide de 158 milliards d'euros pour la Grèce Par L.D., le 21 juillet 2011 à 21h36 , mis à jour le 21 juillet 2011 à 23h07 Dossier : Crise financière Les dirigeants de la zone euro se sont mis d'accord jeudi soir pour mettre en place un deuxième plan d'aide à la Grèce d'un montant total de 158 milliards d'euros. Y participeront les membres de la zone euro et les créanciers privés. 29 Commentaires Article suivant dans Economie : Défaut de paiement grec : pourquoi la

(Introduction) Aujourd’hui, la zone euro est au bord de l’éclatement. En effet depuis octobre 2009, celle-ci traverse une importante crise de la dette qui se propage progressivement de la Grèce à l’ensemble des pays de la zone euros. Cette dernière, très médiatisée, provoque un vent de panique sur les marchés financiers ainsi qu’une austérité généralisée qui n’est pas sans conséquences sur la conjoncture économique. La pratique d’endettement des Etats ne date pas d’hier : les Etats ont toujours

puissance commerciale du monde (doc1p148) poids en valeur de 5800 milliards de $, devant les EU et l’Asie pacifique soit plus de 40% des flux commerciaux mondiaux. Les principaux partenaires sont l’Asie (déficitaire avec elle) et l’Amérique du nord. Il faut souligner l’importance historique de la construction d’un marché commun de libre-échange : la primauté commerciale de l’UE est d’abord le fait d’intenses échanges intra-communautaires qui représentent plus de 60% du commerce européen et 25% du commerce

Question 53 : Après avoir rappelé la définition de l’Union Européenne et de la zone Euro, indiquez les entraves qui persistent à ce jour dans la construction européenne. Les conflits récents sur le soutien de la dette Grecque montrent à quel point le projet européen tel qu’il est aujourd’hui est polémique. La construction européenne a véritablement débuté en 1952 avec la CECA (Communauté Européenne du Charbon et de l’Acier) avec cinq pays ; le traité de Rome en 1957 énonce le projet : une union

permis à la crise de se propager dans le monde entier. Toutes les banques et tous les Etats ont des dépôts en dollars pour garantir leur solvabilité. Ces mêmes acteurs achètent des produits financiers de toutes les places boursiers ...Cependant il ne faut pas oublier les bénéfices du marché mondial. S'il y a des bons cotés, il est normal de supporter les effets négatifs. 4)Lors de la récession qui a suivi l'éclatement de la bulle Internet en 2000-2001, la Fed( Réserve fédérale américaine) a abaissé

dans un paysage monétaire révolutionnaire et apparemment stabilisé. Deux monnaies dominent le système monétaire international : le dollar et l’euro. Notre euro : une expérience historique unique, surprenante par son audace et par son succès démocratique. Le sterling et le franc suisse seront marginalisés ou aspirés par l’euro. Mais dollar et euro sont les monnaies de 12 % de l’humanité ! Que seront demain les monnaies des deux pays regroupant près de 40 % des hommes : la Chine et l’Inde ? Le yen rate

monétaire à l'ensemble des marchés financiers. Malgré les doutes subsistant sur l'efficacité des actions prises jusqu'ici, de nouvelles mesures ont été annoncées en septembre et en octobre 2011. Au sein de la zone euro, la recrudescence des tensions sur les marchés interbancaires de la zone euro ont poussé la BCE à renouveler les opérations exceptionnelles de refinancement à long terme et à lancer un second programme d'achats d'obligations sécurisées. Ces annonces font notamment suite à celle de la

On s'est même plus précisément interdit de le faire, parce qu'on voulait éviter de donner l'impression qu'on aiderait un pays qui aurait des difficultés, et par là inciter les Etats membres de la zone à des comportements imprudents. On s'est aussi explicitement interdit d'utiliser, au sein de la zone euro, les mécanismes de prêt qu'on a mobilisés l'an dernier pour venir en aide à la Hongrie, à la Lettonie ou à la Roumanie. C'était une erreur. Du coup, l'Union européenne n'est pas en mesure, sans acrobatie

LE FACE-A-FACE EURO/DOLLAR par Michel DÉVOLUY (*) Un Secrétaire d’Etat au Trésor américain, M. Conally, a pu déclarer : « le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème ». Cette formule, qui traduisait l’hégémonie du dollar dans l’ordre monétaire mondial, n’est plus valable aujourd’hui. De fait, il existe désormais un face-à-face euro/dollar, qui porte sur deux points : le premier réside dans la supériorité de l’une des deux monnaies sur l’autre ; le second, sur le poids relatif de chacune

finances publiques, la crise grecque a été aggravée par deux autres facteurs : la spéculation financière d’une part, et l’absence de cohésion au sein de la zone euro d’autre part. La Grèce a profité de la croissance vigoureuse des années 2000, supérieure à 4 % par an, et de la faiblesse des taux d’intérêt liée à son appartenance à la zone euro pour accroître massivement les dépenses publiques (santé, protection sociale, éducation, ordre public). Cette manne financière a eu pour effet de retarder les