Faut Il Tolérer Toutes Opinions

point de vue "subjectif", et qui par suite se suffisent entièrement à eux-mêmes. Conséquence : autrui est, on le verra, un problème, à la fois au sens 1) et au sens 2). Répondra-t-on alors à ce point de vue cartésien qu'autrui, c'est un autre "homme", tout simplement? Que c'est mon semblable, mon frère, mon prochain ? Et que, par conséquent, autrui ne fait pas problème, ni ontologiquement, ni épsitémologiquement?Mais ce n'est en fait pas plus simple : d'abord, en effet, nous verrons que l'idée de genre

Une société juste peut elle tolérer les inégalités ? Comme le démontre l’Histoire, les sociétés créées par l’être humain sont d’une variété aussi diverse que le sont les êtres qui les ont façonnées. Il ne faut pas chercher bien loin pour trouver quelques exemples illustrant ceci : la monarchie absolue ; le fascisme ; le totalitarisme ; la dictature ; ou bien la démocratie parlementaire, entre autres. Aussi, par « société », nous entendons non seulement les êtres qui la compose mais également ceux

Introduction L’idée première de la philosophie est de remettre en question ses opinions qui ne sont que des idées préconçues, or il paraît difficile d’imaginer une méthode autre que le doute pour cette remise en question. En effet, comment pourrait-on philosopher sur la religion, c’est à dire avoir une vérité objective dessus, sans douter de sa propre religion? Cet état d’incertitude qu’est le doute paraît donc essentiel à la philosophie. Mais d’un autre côté, ne pourrait-on pas fixer des limites

PEUT-ON RIRE DE TOUT? L’humour est une véritable qualité. Mais jusqu’ou doit-elle aller ? Il y a des limites à toutes plaisanterie. Il est évident que l’on peut rire de tout, la vraie question est : le doit-on ? L’humour évolue avec la société, les mentalités changent. Nous pouvons rire aujourd’hui de choses que l’on n’aurait pas pu tolérer il y a des dizaines d’années. Il suffit de comparer les blagues des anciens comédiens tels que Coluche et Desproges avec celles les humoristes d’aujourd’hui

rédigé par VOLTAIRE en 1763 et Discours sur la misère de Victor HUGO, XIXème siècle. Tout d’abord, il existe différentes façons d’argumenter. Lorsque le narrateur s’appuie sur la raison pour défendre son opinion, il tente de nous « convaincre ». Dans l’œuvre de PASCAL, on observe plusieurs connecteurs logiques tel que « mais » (l.1, 3, 11) ou « donc » (l.6). Il part d’un fait général où il englobe tout le monde, « l’homme » (l.1, 3), « nous » (l.6, 7) pour arriver ensuite à conclusion que lui

liberté est reconnue par la loi mais la loi impose aussi des limites à cette liberté. Je pense par exemple que le port du voile ou tout autre signe religieux à l’école devrait pouvoir être autorisé, moi qui suis athée, je ne me sens pas atteint dans ma liberté. L’ecole autorise la liberté de culte mais interdit son expression. Au sein du lycée peut-on vraiment parler de tout ? De l’homosexualité? De la religion? De la discipline scolaire? Du poids des cartables? peut-on vraiment débattre avec les profs

d’approcher la Vérité, qu’elle est toute relative dans le temps et dans l’espace. Elle dépend donc d’une époque et d’une culture. Il apparaît ainsi peu raisonnable de rejeter systématiquement les idées de l’Autre parce qu’elles ne reflètent pas la même opinion que la mienne ! La Tolérance demande une ouverture d’esprit une ouverture sur le monde, une éducation. Elle est le propre des esprits éclairés, cultivés et n’apparaît que rarement chez les gens incultes, facilement manipulables, à qui il est facile

Dissertation générale Sujet : "La tolérance est la vertu des faibles." Marquis de Sade La tolérance est la vertu des faibles. La tolérance se définit par le fait de supporter l'autrui, ses manières de penser, d'agir et ses opinions. L'auteur parle ici de la tolérance en général et la définit comme la vertu des faibles. Vertu qui signifie la capacité à faire le bien et à éviter le mal peut être vue en opposition avec le « faible » car ce dernier est un adjectif péjoratif signifiant

Travail préliminaire sur l’opinion publique et le sondage I. Livre : opinion, sondages et démocratie de Roland Cayrol Le sondage est le produit de la société démocratique, le peuple étant la source de la légitimité du pouvoir. L’opinion publique n’est toléré que dans les pays démocratiques, elle n’a pas accepté dans les régimes totalitaires et ni dans les régimes autoritaires. Ou bien elle est contrôlée. Pourquoi ? Parce que le sondage est un instrument essentiel de connaissance voire dans

Faut-il se méfier de l’opinion ?  L’opinion se définit généralement comme une croyance, un avis, un point de vue. Lors d’une discussion, on donne son avis ou on échange des opinions avec ses interlocuteurs. Mais, comme l’expression point de vue le montre, l’opinion semble immédiatement relative à chaque individu, à sa manière de voir les choses. A la différence d’un véritable jugement, elle reste sans fondement et ne relève pas d’une connaissance rationnelle. Ce qui caractérise donc l’opinion