Faut Il Toujours Douter De Tout

1. la distinction du corporel et du spirituel a) définition matière et esprit Pour Aristote la matière est différente de la forme, elle peut recevoir une forme mais ce n’est pas ce qu’elle est essentiellement. La matière + la forme = tout concret, c’est-dire le réel. Descartes et Galilée comprend la matière géométriquement. Pour Descartes, la matière c’est la substance des corps dont l’essence c’est l’étendu géométrique. La matière c’est tous ce qui n’est pas moi. La notion de matière

- Relativisme (tout est relatif) - Fermeture - Théétète - Absolutiste - Sophistique -> Dogmatisme permet de comprendre le scepticisme se contre-dit. -> Scepticisme permet de comprendre l'absolutisme du dogmatisme. [Dogmatisme peut tourner vite au fachisme quand une theorie s'applique a tout -> universalité. (exemple

est avec les autres, par autrui, et l’on se juge également selon lui. Comment dès lors la liberté peut-elle s’exprimer totalement une fois que nous nous trouvés plongés dans un monde où la relation et l’échange sont essentielles à sa subsistance ? Ne faut-il pas se priver de liberté, et donc obéir, pour vivre collectivement ? Autrement dit, obéir, est-ce renoncer à sa liberté ? Ou bien alors, l’obéissance est-elle un impératif indépassable pour que chacun puisse disposer de la liberté nécessaire pour

nous et en dehors. Elle est donc naturellement opposée à l’instinct bien qu’une partie de la nature humaine en est habitée. L’Homme aurait donc des aptitudes morales, celles de penser, juger, connaître, retenir, interagir, anticiper et même celle de douter… Descartes se résume selon cette expression : « Cogito Ergo sum » (=je pense donc je suis), traduisant le fait qu’un être capable de penser, doit forcément exister. Cette théorie montre que la conscience réfléchie serait donc une propriété fondamentale

se fie qu'à la raison bannissant le recours à la croyance. Mais peut-on vivre sans croyances ? Il faut d'abord définir ce qu'est une croyance car nous verrons que ce mot recouvre de multiples facettes puis nous pourrons alors tenter en considérant ses nombreux aspects, dont la foi, de définir ce que serait une vie sans croyances et enfin en quoi la croyance est indissociable de l’humanité. Tout d'abord, on ne peut s'interroger sur la croyance sans parler de la croyance religieuse, c'est-à-dire

l’unanimité du vote de toutes les personnes. S’ils le jugent coupable, le garçon sera condamné à la chaise électrique. Au début il y a 11 hommes qui jugent l’accusé de coupable. Après avoir assistés au procès, ils en sont persuadés. Ces hommes-là ne veulent qu’en finir vite et repartir chez eux au plus vite possible, cette tension d’ailleurs suit le long du film car il y a une chaleur étouffante dans la pièce. Le 12eme homme, Mr Devis, vote non-coupable car il a des doutes justifiés sur la culpabilité

être soi Le pardon, le rachat des erreurs du passé la construction de la faible estime de soi la sur estime de soi : le narcissisme de la communication, le langage, la musique comme une forme d'expression universelle l'amour filiale et l'amour tout court ( celui de jules et Soledad) les rapports « a » communiquant père fille la solitude ( celle de Pierre choisie) celle de Soledad ( subie du fait du handicap) L'idée 50 années séparent Pierre de sa petite fille Soledad mais l'un comme

soi est utopique, devons-nous pour autant y renoncer ? Depuis toujours l’homme croyait se connaître, il se pensait être maître de sa maison, conscient de tout, rien ne pouvais lui échapper. D’ailleurs Descartes fait de la conscience la clé de tout, pour lui chaque être humain est transparent, c'est-à-dire que l’homme est conscient de soi et du monde qui l’entoure. Mais voilà que tout va changer dans les années 1885, quelqu’un remet en question le raisonnement de Descartes

il faut la relier à un raisonnement qui en donne l’explication. Il faut pouvoir la justifier en l’identifiant à ce qu’il se passe dans la réalité et en montrant qu’elle ne contredit pas la réalité. Dans ce cas-là l’opinion devient connaissance et peut enfin prétendre à la réalité. La sortie du monde de l’opinion ne se fait pas spontanément : ce n’est pas spontanément qu’on se met à réfléchir. La sortie de l’opinion est possible parce que : L’esprit est disponible et éloigné de toutes préoccupations

qu’il vienne me chercher après le cours! Il nous crie de son bureau qu’il y a un courant d’air et que nous fermions des fenêtres. B. Le subjonctif après les verbes/expressions verbales de nécessite, de besoin, d’importance, d’obligation, d’urgence il faut il est nécessaire il est important il est essentiel il est primordial il est indispensable il est obligatoire peu importe il est utile/inutile il est urgent il est temps/il est grand temps il convient avoir besoin Il est temps que vous partiez.