Faut Il Toujours Obeir Aux Lois Plan

PLAN : Partie 1 : qu’est ce que l’état ? Partie 2 : qu’est ce que le pouvoir ? (souverain et réglementé par la constitution) Partie 3 : la démocratie (définition, mode d’organisation) Introduction: Jean Marie Denquin « Je ne crois pas que le droit constitutionnel soit un droit comme les autres. Si ce droit est différent c’est en raison de son objet et en raison de la place qu’il occupe par rapport aux autres droits ». Il peut l’affirmer car le droit constitutionnel a un objet particulier :

intérieure : EX :le sage stoïcien est parvenu a une totale liberté . L’homme libre est celui qui n’est pas gouverné par des forces intérieures mais qui est parvenu au gouvernement de soi-même. La liberté intérieure est donc analogue à la liberté sur le plan extérieur . C’est le pb de la liberté de la volonté . PB nous avons le sentiment que nous n’avons jamais assez de liberté extérieure, nous considérons que nous sommes entravés par toutes sortes d’empêchements et d’abord la liberté des autres mais

crées une morale, c'est à dire une somme de règles, de lois intériorisées et parfois appuyées par un droit effectif. Ce sont ces barrières personnelles que l'on pose pour contenir nos comportements. Il nous faut penser que les règles que l'on suit sont bonnes, reposants sur des valeurs aux quelles on croit. Notre morale donne du sens a la vie et une ligne de conduite. Les passions empêchent elles d'être morale ? D'où nous vient notre moralité? Faut il se séparer de sa sensibilité pour être moral ? La

surtout connu pour la conclusion à laquelle Descartes parvient : "Je pense donc je suis", vérité fondatrice de la métaphysique cartésienne. On y trouve aussi les thèses non moins importantes de l'existence de Dieu et de l'âme humaine. III / Plan de l'ouvrage Première partie : considérations sur les sciences, remise en question d'une totale crédibilité. Seconde partie : principales règles de la méthode recherchée par Descartes. Troisième partie : règles de la morale issues de la

philosophe ? B. Quelle définition du doute en résulte-t-il ? C. Comment définir la notion de méthode ? Quelles en sont les règles ? III) Troisième partie A. Qu'est-ce que la morale provisoire ? B. Quelles en sont les maximes ? C. Quelle différence faut-il faire entre le doute cartésien et celui des sceptiques ? IV) Quatrième partie V) Cinquième partie A. Quelles sont les différences entre l'homme et l'animal ? B. Quel est le mode d'union du corps avec l'âme ? VI) Sixième partie Conclusion

son sens de l’Ecriture par elle-même. Or c’était déjà le but de Calvin et de Luther. Mais l’originalité de Spinoza est de montrer que chacun peut utiliser sa raison pour lire la bible au lieu d’obéir aux pasteurs ou aux rabbins, qui prétendent qu’il faut se soumettre à la lettre à ce qui y est écrit c’est-à-dire en fait aux théologiens Ainsi pour les catholiques du 17eme il est interdit e lire seul la Bible et pour les juifs l’étude ne se fait que grâce aux commentaires c’est-à-dire le talmud. Même

indications figurent en dessous des boutons qu’il doit actionner ("choc modéré", "choc violent", "attention, choc dangereux", etc.). Il lui est en outre demandé d’annoncer à chaque décharge infligée à l’apprenant le nombre de volts correspondant. Selon un plan pré-établi, l’apprenant commet suffisamment d’erreurs pour amener l’enseignant à augmenter la puissance des chocs électriques. A mesure que celle-ci croît, l’apprenant manifeste sa souffrance de façon de plus en plus claire : gémissements d’abord,

universel en 2 étapes : Mars 1848 : S.U masculin Avril 1944 : S.U féminin Aout 1945 : S .U aux militaires Lois de 1872 et 1884 2 collectivités de base retenues : le canton et l’arrondissement La commune avait un pouvoir délibératif et exécutif Le département : pouvoir délibératif mais l’exécutif était assuré par le Préfet. Il en sera ainsi jusqu’aux lois de décentralisation de 1982. Les Collectivités Territoriales = personne morale non souveraine de droit public.

que la fin ultime réside dans le bonheur. En effet lui seul est le bien « digne de poursuite en lui-même ». Cette finalité est elle-même permanente et jamais en vue d’autre chose. Du reste des choses, on les désire effectivement pour eux-mêmes mais toujours dans l’optique du bonheur. De plus, le bonheur pour lui se suffit à lui-même. C'est-à-dire que le bonheur est un chose qui « réduite à elle-seule rend l’existence digne d’élection et sans le moindre besoin ». Toutes les actions que nous exécutons

grecque le choix des responsables se fait par tirage au sort. Ils ont aussi dégagé deux formes d’évolution des régimes politiques : • Chaque régime à tendance à dégénérer ainsi la pure monarchie dégénère en despotisme on ne gouverne plus selon les lois mais selon ses caprices .L’aristocratie dégénère en PLUTOCRATIE (gouvernement des riches). La démocratie dégénère en anarchie. • Chaque type de régime se transforme en un autre type de régime selon une évolution cyclique : la monarchie laisse place