Faut Il Toujours Produire Plus

approche en termes de causes et d’effets La science s’emancipe de la tutelle religieuse (Galilée soutient les thèses de Copernic): on cherche une explication rationnelle aux phénomènes naturels Début de l’approche empirique (Francis Bacon) On ne tient plus compte des conséquences pour le Dogme Eléments de Biographie I Smith nait en 1723 Brillant il entre à l’université de Glasgow à 14 ans puis étudie la théologie à Oxford Grande influence de Hume (Enquête sur l’entendement humain) Hume essaye d’appliquer

jusqu’à n’arriver qu’à un individu unique. Action : but de satisfaire des besoins subjectifs : Nous sommes tous des acteurs inscrits dans des procédures d’actions. En tant qu’acteurs nous cherchons à produire des gains de satisfaction. Nous cherchons donc à améliorer notre situation et à être plus heureux. Quelque-soit nos choix ils se réunissent dans le but ultime de satisfaire nos besoins subjectifs. Plans (objectifs/moyens) : On mobilise notre temps pour satisfaire un de nos objectifs. Le

certaines populations ont des maladies liées à un excès de nourriture. Belin 2010 Affiche de lutte contre la faim, Action contre la faim, France © Marie Desmares Magnard 2010 Affiche de lutte contre l’obésité, Chine Quels sont les continents les plus frappés par la sousalimentation ? Afrique Amérique Asie Europe Océanie La sousalimentation dans le monde © Marie Desmares Hatier 2010 Voici la correction. ✘ Afrique Amérique ✘ Asie Europe Océanie La sous-alimentation dans le monde ©

et sociale paraît tellement évidente que lorsqu'on le projette dans le passé on lui attribue instinctivement, à peu de chose près, le même rôle et la même valeur qu'aujourd'hui»[1]. Pour ce devoir nous partirons de ce postulat : le travail n’a pas toujours était une valeur centrale des sociétés. Si peu s'accorde sur la nature de ce changement (invention, transformation, évolution) l'idée selon laquelle un changement s'est produit entre le XVIIIème et XIXème siècle concernant la façon de travailler

Faut-il avoir peur du progrès technique ? Sens global du sujet : Le progrès technique (et pas simplement la technique) rend-il nécessaire d’avoir et peut-être même de cultiver une peur à son égard ? Cette peur est-elle justifiée par des motifs rationnels ? Est-elle justifiée par des buts ? Qu’y a-t-il dans le progrès technique qui justifie que l’on en cultive la peur et pas simplement la vigilance ? N’est-ce pas contradictoire de se poser la question du devoir à l’égard d’un sentiment qui en général

de protéger la planète pour les générations futurs). Ainsi, d'après ces définitions, nous pouvons constater d'une part l'envie de produire et d'utiliser les ressources naturelles à cet fin et de l'autre de protéger l'environnement et promouvoir l'équité. Il faut noter que le concept de développement a évolué pendant les années, mais renvoie toujours au notion de produire et de consommer car depuis le commencement, le développement avait pour but de stimuler la croissance économique. La durabilité,

Croissance et développement Accroche : Une étude de l'INSEE montre que, depuis 2002, les TIC sont de plus en plus présentes dans les services marchands et que le type de TIC change suivant la nature du service. Par exemple, dans l'hôtellerie, ce sont les matériels permettant le commerce électronique qui se développent. Cela est bien sûr en phase avec la diffusion croissante d'un accès internet parmi les ménages (64% en 2010 contre 12% en 2000) comme l'indique cette autre étude de l'INSEE. Un

et quelle valeur accorder à l’erreur dans les apprentissages ? Tous les élèves, qui apprennent, font des erreurs ou des fautes. Alors que pour certains pédagogues apprendre, c’est associer ; pour d’autres : apprendre, c’est élaborer des systèmes de traitement de l’information. Mais pour tous, l’évaluation et l’erreur ont toujours été au cœur des débats, et l’on s’est toujours interrogé sur la place et la valeur que l’enseignant devait accorder à l’erreur dans les apprentissages. Dans une première

« Folie et démocratie » en 1996 (Même année que « Les sujets de l’éducation » ??). C’est une étude qui introduit la notion de rapport au savoir. Généralement on entend par savoir : « l’ensemble plus ou moins indifférencié des connaissances dont est socialement en charge l’école, qui se doit de les produire et de les reproduire », le rapport au savoir est alors vu comme un moyen « d’évaluer aussi finement que possible la mesure dans laquelle l’école s’acquitte de sa mission dans un contexte comme le

partie du sujet, parce que l'analyse du sujet n'a pas été correctement effectuée. Il y a donc eu beaucoup trop de hors-sujet, et c'est ce qui explique dans un premier temps les faibles résultats de la classe. 1er conseil : il faut apprendre à lire ! 2ème conseil : il ne faut pas chercher instantanément à plaquer son cours afin de réciter (parce que cela vous rassure). Le cours est un moyen de traiter un sujet (qui ne correspond pas à tout le cours), et non une finalité. 4 choses à faire pour analyser