Faut Il épargner Ou Consommer Pour Favoriser La Croissance

l'HE: °l'histoire des populations                                                                                   °les techniques (analyse des innovations..)                                                                                   ° la croissance  Economie: Robbins "l'économie est la science qui étudie le comportement humain comme relation entre des fins et des moyens rares qui ont des usages alternatifs"=science de l'allocation optimale des ressources rares.  Science que l'on peut qualifier

décomposer en tâches élementaires et réparti entre les ouvriers. Plus generalement, la division du travail permet: d'améliorer l'habileté des ouvriers dans une tâche spécialisée de réduire les temps morts et d'augmenter la productivité du travail de favoriser la production de masse de biens et services 3- La primauté des échanges Selon Smith, l'échange est un "penchant naturel des individus" qui va permettre la satisfaction de leurs besoins sur un marché. Il considère que les interêts égoistes des

d’ensemble de l’économie nationale à travers l’analyse des agents, des opérations et du circuit économique - Le chapitre2 traite de la mesure de l’activité économique et du rôle de la comptabilité nationale - Le chapitre3 porte sur la croissance et les fluctuations économiques - Le chapitre4 vise l’analyse des questions de l’inflation et du chômage (déséquilibres économiques) ainsi que les politiques particulières à appliquer - Le chapitre5 est consacré à l’analyse de la régulation

GFA VB 03/02 /2011 2-croissance. La productivité élève la production par rapport à la population. Pb=affectation de ces gains de productivité, ce qu’on en fait. Y a 3 façons : _ Les augmentations de salaires et baisse durée du travail. _Gain affecté au K= profit _Les baisses de prix. Depuis la période de la révolution industrielle, on constate une augmentation de la productivité et baisse de la durée du travail. Les gains en terme de salaire réel= ce qu’on peut acheter avec son salaire

dans une seconde partie que l'égalité n'est pas toujours juste, et les inégalités ne sont pas toujours injustes, par où on voit apparaitre le débat classique libéraux-keynésiens, qui nous permettra de mieux visualiser les deux réponses à la question : faut il lutter contre les inégalités ? I. Toutes les sociétés démocratiques justifient la lutte contre les inégalités au nom de l'égalité, mais une égalité qui est conçue de plusieurs façons. Nous associons la démocratie à l’égalité non seulement parce

représente « l’entreprise » qui fait commerce de l’argent. Son but peut être de l’émettre (pour la banque centrale), de gérer, ou bien de prêter cette monnaie.. Le nombre des évolutions au fil des siècles amena les banques à se moderniser. Il nous faut préciser qu’avec ce développement, celles-ci ont mis en place un véritable système bancaire. Le système bancaire moderne se caractérise aujourd’hui par des transactions commerciales et bancaires entre banques centrales, et commerciales, possibles grâce

moyenne et que l'inflation des années suivantes baisse à 7 %, puis 5 %, puis 2 %, on parlera de phénomène désinflatoire. Lorsque l'inflation approche de zéro, on risque un passage en déflation. La stagflation consiste en la concommittance d'une croissance faible voire négative, avec un niveau élevé d'inflation. La définition de l'inflation comme la hausse des prix est relativement récente en langue française. Jusque dans les années 1960, ce terme désignait un excès de moyens monétaires par rapport

entièrement redépensé sous forme de consommation. Par ailleurs, on constate qu'à court terme il y a une certaine inertie de la consommation, c'est à dire que les ménages prennent du retard dans leur consommation lorsque le revenu croît parce qu'ils leur faut un certain temps pour s'habituer à l'augmentation du revenu. Inversement lorsque le revenu décroît pour l'ensemble ou certains ménages, la consommation ne baisse pas tout de suite, il y a un temps d'ajustement là aussi. Ce sont les effets de court

l’investissement est-il facteur de croissance ? Investissement : Un flux qui s’ajoute sous forme d’équipements neufs au capital productif. Dans les années 90 de nbreuses analyses empiriques sur les déterminants de la croissance Plus de 50 variables ont une corrélation positive avec la croissance, mais Levine et Renelt montrent en 1992 que la seule variable reliée de manière robuste à la croissance est l’investissement qq soit le lieu, période. C’est-à-dire que sa relation à la croissance reste statistiquement

productive, mais aussi de déterminer le niveau de rémunération des salariés en fonction des qualifications et des responsabilités. Par exemple, l’augmentation très rapide du chômage depuis un an modifie l’équilibre sur le marché du travail, ce qui favorise le gel des salaires. Pour les ménages, le prix va influencer les choix de consommation en fonction des préférences de chacun, il va également influencer l’offre de travail et les choix d’orientation des individus. Par exemple, l’augmentation du