Faut Il être Cultivé Pour Bien Juger

qui les dépassent (la société avec « Titus et Bérénice »). - Présentation de l’œuvre : L'intrigue de Phèdre est l'histoire du personnage éponyme qui tombe amoureuse d'Hippolyte, le fils de son époux Thésée. Il s'agit d'un sentiment incestueux, si bien qu'elle essaye de la combattre au point de se laisser mourir. De plus, la mort de Thésée est annoncée au début de la pièce : Phèdre, sur les conseils de sa confidente Oenone, finit par avouer son amour à Hippolyte qui la repousse car il est amoureux

poèmes, Monsieur, me sont parvenus jusque dans ma solitude, et quoique tous mes amis connaissent l'amour que j'ai pour vos écrits... Je ne vois pas bien qui a pu me faire ce présent... À moins que ce ne soit vous. Aussi je crois devoir vous remercier à la fois des exemplaires et de l'ouvrage... J'y ai trouvé à la fois le plaisir et l'instruction et j'ai bien reconnu la main du maître... Je ne vous dirai pas que tous m'en paraisse également bon. Tous mes griefs sont contre votre poème sur le désastre

peut pas être ami avec celle ou celui qui refuse notre amitié. Serge, Marc et Yvan, se sont choisis, avec leur défauts et leurs qualités. Or l'on se rend compte que l'opinion qu'ils ont sur le monochrome va faire ressortir des traits forts de leurs personnalités, qui jusque là étaient restés enfoui en eux. Comme ci chacun découvraient un autre homme, un homme qu'ils ne connaissaient pas et qui n'est pas leur ami. Connaît-on vraiment nos amis et nous connaissent-ils vraiment ? Peut-on être soi-même

Être objectif, c’est être capable de considérer les choses telles qu’elles sont. C’est ce qui fait que les règles à suivre pour qui veut être objectif sont celles qui garantissent qu’on s’en tienne aux choses elles-mêmes, sans préjugés dus aux sentiments, aux intérêts personnels, aux discours des autres, à ses préférences, sa situation particulière, son point de vue particulier ; c’est en ce sens que le jugement objectif (relatif à l’objet, et entièrement réglé sur lui) s’oppose au jugement subjectif

LE BONHEUR Le bonheur représente indéniablement ce à quoi tout homme aspire. Il marque l’accomplissement de son être, de son œuvre. Mais dès qu’on essaie de réfléchir sur ce terme, nous sommes confrontés à des difficultés , d’une part pour le définir, d’autre part pour le réaliser. Car suffit-il vraiment d’agir dans ce but pour l’atteindre , il faut sans doute y mettre du sien mais c’est rarement suffisant, toutes sortes d’obstacles jalonnent notre parcours (maladies, accidents, désillusions…)

perçoit le monde de manière positive. Une personne optimiste a tendance à voir « le bon côté des choses », à penser du bien des gens, et considère que des événements, même fâcheux, prendront quoi qu’il arrive une tournure positive en fin de compte. L’optimisme est le contraire du pessimisme. Cette opposition est métaphoriquement illustrée par la question de savoir si un verre donné doit être considéré à moitié plein (vision optimiste) ou à moitié vide (vision pessimiste). L'optimisme est un sentiment

Germaine Tillon « Après avoir parlé sans questionner il faut maintenant apprendre à se taire. C’est le prix à payer pour comprendre. » Voici une célèbre expression de Germaine Tillion (1907-2008) une ethnologue française, qui a resisté pendant la Seconde guerre mondiale. Elle a été arreté le 13 août 1942 puis a été deporté en 1943 à Ravensbruck, un camp allemand spécialement reservé aux femmes. G.Tillion s'est battue pour l'éducation universelle, l'interdiction de la torture, l'emancipation

vue, une opinion) qui réponde à une problématique. Il faut convaincre un adversaire, soit pour modifier son opinion ou son jugement, soit pour l’inciter à agir. L’argumentation se construit en trois étapes. Premièrement, il s’agit de choisir les arguments. Il faut en effet répertorier ses arguments et prendre les bons arguments, tous les bons arguments et rien que les bons arguments, pour ensuite pouvoir mieux les reformuler. Ensuite, il faut ordonner les arguments. On peut par exemple les séparer

enjeux qu’elle comporte. Quels sont alors les dangers liés au fait de penser par soi-même ? Et quels en sont les enjeux ? Enfin si on décide de penser par soi-même en ayant conscience des risques et des enjeux que cela comporte, comment peut-on être sûr cependant d’avoir fait le bon choix ? On ne peut justifier un choix qu’en faisant état de ce qui semble essentiel dans la conduite humaine, en faisant état d’un système de valeurs. Le système de valeurs de celui qui pense par lui-même est-il

Corrigé du texte d’Aristote : Le problème de l’identité & de l'amitié Éthique à Nicomaque, Livre8 Remarques générales : Il faut d’abord noter que les notes catastrophiques du commentaire sont liées à un fait : D’une part vous n’avez pas lu correctement, avec toute l’attention nécessaire, le texte. Il y a eu énormément de contresens, parfois très grossiers. D’autre part il y au eu beaucoup de paraphrase. Donc je vais commencer par faire une analyse de l’intitulé, pour repréciser les règles