Faut pas rêver

fille (elle porte des hauts talons et un chapeau certes, mais un chapeau d’homme...). La jeune fille semble d’ailleurs habituée aux hommages masculins. Il ne lui paraît pas étrange qu’un homme plus âgé lui offre de fumer, dehors de surcroît (il faut se rappeler le code de savoir-vivre de l’époque...). « Elle lui dit qu’elle ne fume pas, non merci ». Cette sérénité est anormale et l’auteur le souligne : « Elle ne dit rien d’autre, elle ne lui dit pas laissez-moi tranquille » et « Elle attend

des grandes choses, il faut vivre si l’on ne devait jamais mourir ». La mort ne doit pas nous empêcher de rêver, de désir, d’espérer .ni lâcheté, ni renoncement ne viennent de l’idée de la mort, au contraire, elle doit nous stimuler, nous obliger à réaliser toujours mieux que ce que nous aurions être capables de le faire .Il est donc heureux de penser à la mort .Cela nous permet d’accélérer à la réalisation de nos actes. Il faut vaincre la vie en réalisant

chose. Mais, que l’on soit d’accord ou pas nous restons pour la plupart du temps toujours sur notre position de départ. Comme le disait Spinoza, « il faut prendre conscience de cequi nous détermine à penser : nos préjugés ou idées reçues liés à l’éducation, les opinions communes, les opinions portées par les dirigeants qui influencent le peuple ». Il faut savoir aussi que nousvenons tous d’un milieu différent : notre religion, notre éducation, nos conditions de vie… fait aussi que nous ne pensons pas

Pourtant, la littérature n’a pas que des défenseurs : Rousseau lui reprochait d’apprendre à parler de ce qu’on ne connaît pas, et il n’y a qu’à considérer les déboires des écrivains d’hier et d’aujourd’hui avec la censure pour s’en convaincre. Dès lors, faut-il la considérer essentiellement comme un moyen de distraire ou d’éduquer ? Pour le déterminer, il faudra définir tout d’abord les plaisirs qu’elle offre, avant de considérer quels peuvent être ses moyens d’action. *********** En premier lieu

pour combler mon bonheur ? M'es-tu donné pour briser mon cœur ? Mon mal augmente à vouloir le diminuer, Qui peut, mon mal, atténuer ? Allons mon âme, puisqu'il faut choisir, 25 Allons mon âme, puisqu'il faut mourir, Se retirer sans fierté, Mourir sans amour et sans rêver. En effet, mon esprit c'était déçu, Devenu tout confus, 30 Or, je veux une vie fondée, Avec l'être cher aimé. Partir avec cet amant est solution, Puisse

fois Il était une fois, Une toute petite voix, Qui parlait au fond de moi, Pour me dire je ne sais plus quoi. Il y a des jours heureux, Et d'autres malheureux, Il ne faut pas abandonner, On doit se relever et assurer. Croire et s'accrocher à nos rêve, C'est quelque chose qu'on aime, Nous donne un but pour rêver, Et qui donne le goût d'avancer. On doit croire en la vie, Et en nos envies, Pour nous donner une raison de vivre, Qui pour chaque jour nous donne envi de sourire.

beaucoup de civilisations, des plus reculées aux plus récentes, l'amour a fait l'objet d'une réflexion, voire d'un culte. Nombre de poètes, de dramaturges, ont étudié ce sentiment. Les histoires d'amour les plus poignantes, les plus profondes, ont fait rêver de nombreuses jeunes filles de l'arrivée du prince charmant, et ont fait imaginer à de nombreux jeunes hommes les aventures qui les mèneront à leur bien-aimée, avec laquelle ils vivront un amour profond réciproque et partagé, l'idéal du bonheur amoureux

Les droits payés par la télévision représentent 1% des recettes des clubs français en 1980. Ce type de recettes concerne uniquement les clubs disputant les coupes européennes. La situation est identique dans les autres championnats européens. Il faut attendre 1983 en Angleterre et 1984 en France pour assister à la signature de contrats de retransmissions des matchs. Concurrence entre les chaines oblige, les montants des contrats augmentent rapidement et la part dans les recettes des clubs passe

d’intellectuels y voient une évolution de la Révolution Française (+suite des Lumières). Il s’agit de bâtir une société nouvelle, sans contraintes, état faible, grande liberté, niveau de vie élevée. Cf L’état et la Révolution, de Lénine. Il faut passer par une phase de transition que Lénine appelle le Socialisme. Phase manquée par des mesures très dures, dictature du prolétariat, autoritarisme, parti unique, brimade des riches. XX°s : aucun pays au monde n’a atteint le Communisme. Le communisme

gradation ascendante rend le voyage de plus en plus lointain : de la France, en Amérique du Sud, en passant par la Turquie. => le pain devient une nourriture qui permet l’évasion, comme une carte du monde à avoir « sous la main ». Le pain fait rêver. - L’allitération en [p] qui rythme toute la strophe renforce la continuité entre le « pain » et l’impression quasi panoramique » sur les « Alpes ». II- La cuisson du pain : paragraphe 2 Le poète raconte alors la cuisson du pain comme s’il s’agissait