Favela

revenu mondial *nouveau gvt rwandais doit rembourser la dette faite pdt les massacres II/La faim : augmente, provient de la dette,1%humanité en meurt chaque année *FAO : faim « conjoncturelle »(sécheresse…) // faim « structurelle » (sous dvpt ) *favelas du Brésil : accès aux décharges *anémie, cécité(manque vitamine A),kwashiorkor(ventre gonflé),scorbut, béribéri *malnutrition= « faim invisible », affaiblit puis mort de la tuberculose ou du SIDA *SIDA : 40 millions de victimes dont 27en Af subsaharienne

dans la journée et en nombre d'années ; les risques d'incidents violents sont donc arithmétiquement moins élevés. Mais E. Debarbieux formule aussi une autre hypothèse : dans ces pays, des communautés soudées et solidaires ont subsisté (villages ou favelas), et les écoles bénéficient de ce « lien de proximité qui produit une régulation forte ». Hypothèse qui a le mérite de rappeler un des points communs à toutes les études sur la violence scolaire : quel que soit le contexte national, c'est dans les

libéralisation des échanges est surtout à l’avantage des PDEM qui commercent essentiellement entre eux. Commerce intra-branches. Les effets négatifs des délocalisations et des IDE B) Les effets socio-culturels négatifs Les inégalités intra pays : Les favelas au brésil (bidonville). L’accroissement du PIB n’est pas réparti équitablement entre les différents agents économiques. Les recettes liées à la croissance ne sont pas toujours utilisées pour améliorer les infrastructures, l’éducation, accès aux soins…

polluants. Le 25 février 1984, le drame a lieu : 700 000 litres de pétrole sont déversés dans les marécages sur lesquels sont construites les habitations sur pilotis, peu solides par nature. En moins de 2 minutes, un immense incendie se propage à la favela. Plus de 500 personnes périrent dans cet incendie, on ne retrouva pas les cadavres des enfants, purement et simplement consumés par la chaleur dégagée par la fournaise. Bhopal : le 3 décembre 1984, un nuage toxique s’échappe d’une usine chimique

lieu visité et la tenue vestimentaire, ainsi, cela lui permet de garder la crédibilité de son discours et de sa prestance, qui pourrait être entaché par une faute, si minime soit-elle. Sur ce point, Ségolène Royal pourrait témoigner, en visitant les favelas avec des petites chaussures de ville, l’ex candidate a la présidence de la République s’était attiré les foudres de la presse, lui reprochant son manque de discernement. Ainsi pour une femme, une faute vestimentaire peut avoir une implication directe

mieux adaptés , etc... De plus , la pauvreté engendre souvent un surpeuplement. Ce phénomène accentue les inégalités, ce qui pousse aux révoltes et incite à la criminalité et la délinquance . La formation de bidonvilles et de favelas est favorisée dans ces zones pauvres, notamment à Rio où ont été enregistré 4700 morts violentes en 2010 . Le taux d’homicide y est 30 fois supérieur à celui de France où la population est généralement mieux répartie et le territoire plus développé

pauvre et assure difficilement sa subsistance). Le pays est marqué par de forts contrastes sociaux qui opposent quelques privilégiés (grands propriétaires des latifundios, industriels, commerçants) aux populations les plus démunies (habitants des favelas, chômeurs, les paysans sans terre ou très petits propriétaires).(minifundios) Les contrastes se lisent aussi entre villes et campagnes : les écarts de revenus par exemple s’accroissent au profit des populations urbaines. Dans les villes la ségrégation

l’IDH peut varier d’une région à une autre. A une échelle beaucoup plus locale, les inégalités apparaissent aussi. L’IDH varie fortement d’un quartier à l’autre de Sao Paulo. Les IDH les plus faibles correspondent aux quartiers déshérités, appelés favelas au Brésil, et les plus forts correspondent aux quartiers riches, comportant des villas luxueuses, de riches familles. Le document 4B reprend cette idée- là en ce qui concerne les contrastes de richesse. L’opposition entre les zones urbaines riches

littorales. Un endroit, où l’on trouve des quartiers d’affaires ainsi que les CBD (central buisines district). En effet , il ya des contrastes sociaux qui sont particulièrement marqués dans les villes. Le fait qu’il y a des Bidonvilles qu’on appelle favelas , qui se trouve en périphérie (Rio) et des quartiers informels souffrant de maux sociaux. Nous comptons plus de quatre cent mille vivant avec moins de deux dollars par jour, et dix pour cent ont accès à quarante sept pour cent des revenus.

ces inégalités croissantes, l'urbanisation est galopante au Brésil. Les grandes cités exercent un puissant effet d'attraction. Les travailleurs des zones rurales à la recherche d'un emploi se regroupent dans les bidonvilles (« favelas »). Cette concentration de la pauvreté dans de véritables ghettos urbains a par ailleurs aggravé les phénomènes de criminalité et de violence. Montre que ça favorise la croissance http://fr.wikipedia.org/wiki/In%C3%A9galit%C3%A9_(sociologie)