Favela

policías matados por semana a Rio. En Río de Janeiro, la tasa de muertes violentas asciende a 73.6 por cada 100.000 habitantes. Esta ciudad es teatro de una creciente violencia homicida con enfrentamientos entre bandas de traficantes de las diferentes favelas "Marcola", líder del PCC, la mayor organización criminal El PCC (Primer Comando de la Capital) es la mayor organización criminal del país. Su base son las cárceles del estado de San Pablo. En 2006, el grupo organizó sanguinarios ataques en las

et notamment en Afrique connaissent une explosion surtout démographique, cette surpopulation a un incident car il faut nourrir tout le monde et manque de nourriture. La population augmente souvent mal maitrisé, c’est l’apparition de bidonville, de favelas, de banlieue et de métropole sans cohérence. Apparition de HLM, l’accroissement de la population est coûteux en aménagements sociaux (crèche, terrain de jeu), c’est aussi coûteux en aménagement urbanistique (manque de cohérence territorial). En conséquence

économique. Et du coup des mesures pour améliorer cette égalité des chances peuvent avoir des répercussions économiques favorables. => troisième argument : instabilité politique et sociale engendrée par les trop grandes inégalités. Exemple = les favelas brésiliennes la violence est contreproductive, car pour protéger leur activités économiques le reste de la population est contraint de prendre des mesures qui font qu’ils baissent en rentabilité. A Bogota 10% de la population travaille dans le secteur

assistons donc également ici à un très fort contraste social . En effet, les espaces urbains se juxtaposent sans être en relation. Les populations riche se séparent des populations pauvres et vivent dans des ''Gated communities'' au sein même des favelas. Conclu : Les métropoles sont donc en pleine expansion et présentent des contrastes socio-spatiaux de plus en plus marqués ce qui entraîne des tensions de plus en vive. Les étalement urbain se font de façons de plus en plus anarchiques ,ils

et d’assainissement est défaillant car il est mal entretenu, et même, dans certains quartiers, se forment des égouts à ciel ouverts. Chaque jour, des tonnes de déchets sont jetées dans les eaux du Rio Belém (rivière). Cette rivière, qui traverse la favela de la Villa Torres, diffusent des odeurs infectes. Cette pollution pose de graves problèmes de santé publique, au point que la tuberculose ait refait son apparition dans la région. Pour résoudre ces problèmes, Curitiba fait appel à l’AFD afin de

et de contrôle du MERCOSUR Projet IRSA : relier les différents pays d’Amérique latine avec les fleuves, routes… Point faible du pays : les favelas. Problème de criminalité ( trafic de drogue… Transition : du clientélisme au capitalisme individuel = raison de la violence Course de vitesse pour participer à la mondialisation : habitants des favelas veulent des appareils électroniques… Etat de droit fonctionne pour le business mais pas pour la population Ecologie : il faut arrêter le pillage

-Dans les pays du Sud: l'exode rural et la forte croissance démographique alimentent l'étalement urbain. L’occupation illégale de terrains pour construire des taudis est à l’origine d’immenses bidonvilles dans des villes du sud: slums en Inde, favelas au Brésil, etc. - Dans les pays du Nord : l’idéologie du pavillonnaire, c’est-à-dire le désir d’habiter dans une maison éloignée des nuisances urbaines, avec un cadre de vie verdoyant, explique en partie l’étalement urbain. Les grandes distances

flore un perroquet un cactus => réf. au désert d'Atacama des conifères « arbre de Araucania » 6 feuilles couleur bleue => l'eau, la vie une guitare => objet importé (réf. à la colonisation des espagnols) des immeubles => situés au Brésil (réf. aux favelas, quartiers populaires, défavorisés) CONCLUSION La peinture murale « Latinoamérica » a comme principale motivation l'unification. > Se reconnaître comme frères. > Montrer que tous les pays d'Amérique Latine ont une histoire commune et que cette unité

d'emploi se dirigent vers les favelas (bidonvilles) des petites villes proches des zones rurales dans l'espoir d'y trouver un travail. Ils constituent alors une main d'œuvre bon marché et surexploitée. Ce sont les travailleurs de la canne à sucre du Nordeste qui touchent des salaires de misère. Ce sont aussi les boias frias (gamelles froides). Il s'agit essentiellement d'hommes qui se lèvent tôt en espérant être acceptés par un camion de ramassage qui fait la tournée des favelas et emmène des travailleurs

africain d’intégrait la société française en respectant les valeurs républicaine mais aussi de montrai leurs respect pour la France. Mais à l’étranger c’est la même chose par exemple au Brésil pour la plupart des joueurs ils viennent de la rue, des favelas et pour eux l’un des seul moyen de s’en sortir socialement est le foot. Paradoxalement les foot de rue où dans les quartiers sensibles sont mal vu mais malgré tout c’est une porte de sortie vers une vie meilleure. Et même Bob Marley voulais être