Favela

investissements.  La corruption et la criminalité sont deux maux endémiques du Brésil, prospérant du fait des inégalités déjà extrêmes. Les récentes mesures du gouvernement contre le scandale politique du « mensalão », ainsi que les pacifications des favelas de Rio de Janeiro, sont deux signaux positifs d’un changement des mentalités et de certains états de fait. Diplomatie et poids symbolique sur la scène internationale : le capital confiance du Brésil Le Brésil est depuis 1988, avec le Japon

brésil ? Doc 1: Au cœur de Sao Paulo(Brésil), mégapole de 17 millions d’habitants (années 1990) Source: Manuel d’histoire géographie 1ere bac pro hachette Sur cette image on voit a gauche une grande Favelas (quartier très pauvres) bidonvilles insalubre et a droite on voit des bâtiments de luxe. Les inégalités entre les deux classes sociales sont frappantes. Les pauvres vivent dans les bidonvilles insalubres et les plus riches dans les villas de luxes

agrocarburants. Pays soumis à des aléas climatiques. Deux nations d'immigrants, plusieurs vagues d'immigrations, deux pays d'acceuils. Le brassage des populations et plus poussés au brésil qu'au états-unis. Même ségrégation socio-spatiale. Ghetto/Favelas. Il y a des villes marqué par la violence. Inégalités de richesse. 9,6 millions de Km² Premiers exportateur agricoles dans le monde Les états-unis grâce à l'exploitation des hydrocarbures non conventionnels comme le gaz de Shiste, ils sont redevenu

classes sociales très marquer en fonction des revenues et l’accession des classes riches , d’où le mythe l’Assamba et le foot la croyance de s’en sortir . C’est une société dur financièrement et de violence au brésil , développement des bidonvilles :Favelas Des villes de 200 milles habitant énorme . II) Le Brésil: Puissance agricole Ier idée un geant agricole à l’échelle mondiale Le brésil le 1er rang mondiale du café , canasucre , agrumes surtout Orange . Second rang soja, 2eme rang cacao

dans le monde, et souvent dans des lieux pauvres ou oubliés pour obliger les gens à regarder ce qu’ils préfèrent ne pas voir. En 2008, il parcourt le monde pour son nouveau projet Women are Heroes, qui sont des photos collées sur les murs des favelas a Rio au Brésil. L’objectif était de sensibiliser les gens sur la condition des femmes et de leur dignité, qui sont des cibles faciles lors des conflits et guerres. Il considère que tous supports urbains peut servir à accueillir une de ses œuvres

ont 15% de pétrole dans leur carburant fait d’éthanol. Mais il y a des effets négatifs aussi, par exemple, le maïs, un aliment qui n’est pas cher peut très bien nourrir des familles pauvres qui n’ont pas beaucoup d’argent, comme les gens dans les favelas au Brésil, mais si le maïs est demandé en très grande quantité pour fabriquer du carburant, le prix du maïs va augmenter à un montant très élevé et les plus démunis ne pourront pas s’acheter un tel produit. Le domaine économique Le coût de l’éthanol

Enfin, le matériau pauvre devient parlant dans sa dimension sociale et humaine. Par exemple, lorsqu’il installe des abris faits de matériaux de récupération en lisière des villes de New York, Montréal ou Tokyo, il fait réference aux sans-abris et aux favelas, une incitation au retour à un sentiment de modestie, d’humilité. Ainsi, le choix de matériaux pauvres dans les oeuvres de Kawamata relève de véritables significations, par delà d’un choix simplement esthétique. Que ce soit pour s’engager

formation pédagogique d’environ 15 000 élèves, grâce à l’implication de 26 magasins, de communautés locales et de fournisseurs. Le groupe soutient également, avec la Fondation Internationale Carrefour, l’ONG Reciclar qui aide les enfants issus des favelas de Sao Paulo à acquérir une formation professionnelle, en leur proposant de réaliser des objets à partir de papier recyclé. Au pays du roi Pellé, Carrefour vient enfin de lancer un programme pilote d'insertion de jeunes de 7 et 17 ans qui s’appuie

leur vain combat. C-Un contraste sociétal freinant la productivité Cet espoir de réussir dans la culture du coton amplifie la paupérisation d’une population jeune et dynamique qui pourtant devrait porter le pays. Des bidonvilles ou favelas apparaissent peu à peu non loin des exploitations agricoles. Cette extrême pauvreté freine la croissance de ce pays à double vitesse. Les grosses firmes brésiliennes possèdent en effet le monopole des richesses tandis que la pauvreté affecte plus

banquier et le vendeur de chewing-gum ou le cireur de chaussures. Il va sans dire que l’on retrouve le commerce de luxe dans les quartiers chics des grandes villes, comme Rio de Janeiro ou Sao Paulo. Pas de Mont Blanc et ses célèbres stylos dans les favelas de Rio, mais un luxueux magasin dans le quartier réputé d’Ipanema. En revanche, même dans le quartier le plus chic, on retrouve le vendeur de chewing-gum ou le cireur de chaussures. Le petit commerce tient toujours un rôle important, mais innovation