Favela

peuplés de «veuves de maris vivants », c’est-à-dire de femmes dont les époux partent couper la canne à sucre pendant plus de six mois par an dans les plantations de l’État de Sao Paulo. La veille, Lula et son gouvernement avaient fait escale dans deux favelas du Nordeste: « Il y a des situations où la pauvreté devient insupportable, se transforme en misère et attaque la dignité de l’homme», a-t-il déclaré. D’après Le Monde, 2003. Source : A. Ciattoni, Manuel de géographie seconde, Hatier, 2006, p 76

difficile à imaginer. Il s’agit de la qualité de vie des Brésiliens. S’il est un pays qui souffre plus que les autres des inégalités entre ces habitants, c’est bien le Brésil. Le contraste entre les bureaux haut standing de Rio de Janeiro et les "favelas[29]" est des plus saisissants. On en veut pour preuve la statistique éloquente qui veut que 80% des richesses du pays sont aux mains de seulement 20% de la population ! Dès lors, la question qui se pose est de savoir si l’augmentation des richesses

3). La campagne suivante en 2003 réunit un homme et une femme, soulignant ainsi une approche sensuelle, naturelle et légèrement sexuelle (illustration 4). AmorCausa (LoveCause), la campagne de 2005, fresques visuelles photographiées au cœur de la favela Rocinha de Rio de Janeiro (illustration 5), bien que toujours marquée par la nudité, la sensualité et l’affection, introduit un concept plus humaniste et ainsi que des contours artistiques, ce qui prépare Renova à une communication plus globale en

réorientée vers la production pour les biocarburants et, qui pose de lourds problèmes économiques quant à la malnutrition et à la faim dans le pays. Selon certains spécialistes, les problèmes de malnutrition et de faim des milieux pauvres, tels que les Favelas, pourraient être résolus par une seule année de production de céréales au Brésil ; or, la majorité de cette production est destinée aux biocarburants . Par ailleurs, une quantité phénoménale de forêts sont défrichées et réaffectées afin de satisfaire

quartiers dégradés d’une partie des banlieue françaises n’a guère de sens au Japon ». Dans la plupart des villes des pays en développement, les aspects principaux des périphéries sont la pauvreté des infrastructures (exemple des bidonvilles des favelas), de l’habitat, la « dédensification » des centres pour les villes les plus anciennes, la violence urbaine (exemple de Mexico), le sentiment d’insécurité. L’organisation de l’espace urbain et les redistributions rapides de population à Johannesburg

plutôt basé à Rio de Janeiro, ou l'ALN (Action de libération nationale), basée à São Paulo. C'est finalement la crise financière qui mine la plupart des pays d'Amérique du Sud, le développement de la pauvreté et de l'insécurité dans les immenses favelas, ainsi que la ruineuse corruption des militaires et les mouvements syndicaux qui feront perdre les derniers soutiens économiques du régime militaire. Restauration de la démocratie[modifier | modifier le code] En 1985, Tancredo Neves fut élu à

révèlent les émotions, qui ont trait à la spontanéité, à lʼamusement. Ils prennent des dimensions immenses dans des lieux insolites. Il déplace le sens, on a lʼimpression dʼêtre vu (voir moqué). Il a fait des installations de photos sur les murs des favelas à Rio de Janeiro. Ainsi, le «curieux» de cette misère est vu! BANKSY Le Street Art est un art ouvert à tous, que tout le monde peut voir. Il dénonce les abus et les défauts de la société avec souvent beaucoup dʼhumour; traitant des sujets comme

d'insertion et la commande institutionnelle d'instruction et d'éducation. B. Présentation du théâtre forum Le théâtre forum est une technique de théâtre mise au point dans les années 1960 par l'homme de théâtre brésilien Augusto Boal, dans les favelas de São Paulo. Il s’agit d’une des déclinaisons de son travail sur le théâtre de l’opprimé qui est avant tout un véritable projet à dimension politique. En effet, le théâtre de l’opprimé vise à donner des outils d’émancipation et d’autonomie de la

contexte de précarité qui est le leur, aux besoins de l’organisation et du déploiement de leur communauté, et de la circulation entre plusieurs villes et pays. Bibliographie AGIER, Michel, L’invention de la ville. Banlieue, township, invasions et favelas, Editions des archives contemporaines, Paris, 1999. BENARROSH-ORSONI Norah, De la rue au squat: domestiquer les espaces de vie, Mémoire de Master 1, Université Paris X-Nanterre, 2007. BENARROSH-ORSONI Norah, Pratiques d’habitat et usages de la ville

mon année de seconde je me suis engagée dans un projet solidaire qui a été mené à terme au début de la terminale par un voyage de trois semaines en Bolivie. Une aventure riche durant laquelle notre association est intervenue dans les écoles des favelas de Cochabamba. C’est cette expérience qui m’a décidée à passer mon temps à aider mon prochain. N’ayant alors pas les outils me permettant de pouvoir me sentir efficace, il m’a semblé nécessaire de les acquérir par le biais de la psychologie, c’est