Favela

mille euros de l'Europe unie. C'est vingt-cinq ans de salaire pour cinquante ouvriers de chez moi. Impossible pour nous de payer. Notre gouvernement est en faillite, nous n'avons plus d'écoles, plus de professeurs. Un jour, une femme est venue dans la favela et nous a montré comment pirater les cours. Elle appartenait à un mouvement international clandestin pour la gratuité et la diffusion des connaissances. Elle a reprogrammé maître Moda pour qu'il m'accepte dans sa classe. Simplement lui et vous, les

frontières extérieures n'est donc pas toujours une réponse "optimale" car elle ne répond pas aux hétérogénéités intra-locale. Des micro-sécessions implicites peuvent prendre la forme de délinquance et d'insécurité intérieure. A Rio de Janeiro, les favelas insérées dans la ville, forment des micro-sociétés plus fermées que la plupart des nations constituées. La sécurité, voire certaines fonctions sociales, relèvent de « bandits » plus ou moins sédentaires. Ils forment donc des micro-Ea , o s ’n fclédue

étages aux toitsterrasses parcourus de cordes à linge. Les habitations donnaient l’impression de se chevaucher, de s’enchevêtrer jusqu’à former des grappes de logements superposés dans un équilibre précaire. Labyrinthique, chaotique, gigantesque : la favela fragmentait le paysage, brisant et tordant les perspectives, craquelant l’horizon pour le faire ressembler à un collage cubiste aux tons ocre, rouillés, roussis. Peu à peu, le tissu urbain se transforma. Les lotissements populaires cédèrent

de la ville, quartiers pauvres et quartiers riches coexistent. La ségrégation sociale urbaine y est extrême avec des quartiers résidentiels, parfois protégés de grilles, comme les gated communities, jouxtant des zones de taudis et de bidonvilles, favelas latino-américaines, slums indiens. Les opérations immobilières dans les quartiers vieillis des centres-villes sont à l’origine du processus de gentrification[8] : les populations pauvres n’ont guère accès à ces centres reconstruits après destruction

faible due à l'analphabétisation qui touche 2/3 des filles non scolarisées . Ces contrastes sont observables à toutes les échelles . En Chine le littoral est différent de l'intérieur. Dans les pays du sud se côtoient les quartiers riches et les favelas . La natalité qui reste forte dans plusieurs pays subsahariens . En Europe la natalité est de 30 pour 1000 au Niger c'est 3 pour 1000. Au Niger indice de fécondité de 7 enfants par femme , mortalité élevée. D'autres incitateurs montrent le taux d’urbanisation

(Nicholas Kristof) L’Amérique latine, entre populisme et progrès Par rapport à l’Afrique, on peut dire qu’il y a moins de désespoir mais aussi moins d’espoir. > C’est le Brésil qui est sous le feux des projecteurs malgré la violence extreme de ses favélas, comme dans d’autres pays. Le rapport avec les EUA reste existant mais difficile parfois, et l’Amérique latine malgré sa croissance doit faire face à la violence, à la drogue, aux guerres civiles, aux révoltes populistes => Même si on ne peut les

de portraits dans l’objectif de mobiliser l’opinion publique sur un sujet précis. C’est le projet Women Are Heroes sur lequel l’artiste travaille encore à l’heure actuelle. Sur cette image, Jr a recouvert les habitations d’une des plus dangereuses Favela de Rio Morro da Providência des portraits de femmes qui y vivent au quotidien. Les premiers artistes à investir la rue sont au départ ceux dont les travaux, considérés trop naïf ou populaires par les galeristes se voient refuser l’accès au marché

http://udesca.blogspot.fr/2010/05/curso-de-mestre-sala-e-porta-bandeira.html Page 6 of 17 • Les Sambodromes : Ans après la libération de la déclaration de l'esclavage au Brésil, de nombreux anciens esclaves vont trouve das la montagne - les favela ont devenu un refuge pour survivre. Ce était aussi le lieu où les esclaves pouvaient se réunir pour pratiquer secrètement leurs activités religieuses, et ou ce gens a trouvé des terrain pour construire leurs maisons. La colline est donc la banlieue

Monde, la forêt de Tijuca), la plus riche (quartiers d’Ipanema et de Leblon), avec ses plages célèbres dans le Monde entier ; on peut y repérer la favela de Santa Marta, analysée en page suivante. : VOIR SCHÉMA EN COULEURS SUR LIBTHEQUE.FR > La deuxième double page évoque les inégalités socio-spatiales à travers la question des favelas. La favela de Santa Marta n’est plus parmi les zones les plus pauvres de l’agglomération qui, désormais, se situent dans la « zone Nord », plus loin des plages

Monde, la forêt de Tijuca), la plus riche (quartiers d’Ipanema et de Leblon), avec ses plages célèbres dans le Monde entier ; on peut y repérer la favela de Santa Marta, analysée en page suivante. : VOIR SCHÉMA EN COULEURS SUR LIBTHEQUE.FR > La deuxième double page évoque les inégalités socio-spatiales à travers la question des favelas. La favela de Santa Marta n’est plus parmi les zones les plus pauvres de l’agglomération qui, désormais, se situent dans la « zone Nord », plus loin des plages