Fazenda

Avant le château, la ancêtre notation de versailles monte à 1038 dans une charte de l’abbaye Saint-Père de chartres2. En 1561, le fazenda de versailles et sa demeure princier est détailler à Martial de loménie, clerc des budget de charles ix3. le 24 août 1572, loménie est assassiné lors de la nuit de la saint-barthélemy. l’estoile rapporte dans ses Carnet que la reine catherine de médicis « fit étrangler, dans l’intérêt du comte de retz, pour lui bâtir avoir le château de versailles, le serpentaire

du Rondônia, formant un « arc de déforestation ». L’agriculture traditionnelle itinérante sur brûlis, ainsi que la colonisation agricole par parcelles de quelques hectares distribuées aux migrants, ont été progressivement submergées par de grandes fazendas qui dépassent parfois 10 000 ha (Léna, 1986 ; Levêque, 1986). Sur ces immenses étendues, la forêt est défrichée de manière radicale et définitive et cède la place aux pâturages permanents (photo 5). On estime que l’élevage extensif est responsable

situation précaire ( les CABOCLOS ) alors que les vastes étendues ne sont| |pas mises en cultures. | |La forte opposition entre les "Latifundios" ( Fazendas ) et les minifundios caractérise les structures foncières du | |Brésil. | |Les exploitations de plus de 1000 Ha représentent 1

fortune. Le grand domaine est une société d’exploitation. Le latifundio perpétue des valeurs sociales seigneuriales. On distingue : - les haciendas du Mexique et les estancias d’Argentine et d’Uruguay, tournées vers l’élevage. - les fazendas du Brésil, plantations de café, de sucre (Cuba, Colombie,...) Le XIXe est une période de renforcement du grand domaine. L’indépendance n’a pas inversé la donne, bien au contraire, elle a renforcé la concentration foncière. Car, avec

tropicale amazonienne. Dernièrement, Ali Supay s’est engagé à soutenir le groupe indigène des Guarani-Kaiowá au Brésil qui a fait l’objet de manœuvres d’intimidation, d’expulsions violentes et de massacres de la part des propriétaires terriens de fazenda, des domaines agricoles de grande taille dédié à l’exploitation extensive (cultures, élevage de bétail…) http://www.alisupay.org/festival-solidari Les Guaranis-Kaiowás indigènes du Brésil sont massacrée (tué) par l'hebdomadaire "fazendeiros"

il n’est donc pas propriétaire des terres qu’ils cultivent. Pour contrer les nouvelles politiques territoriales, ces agriculteurs utilisent la technique du « grillon » usurpant ainsi leur titre de propriété, leurs grandes propriétés s’appelant « fazendas ». C’est un système agraire productiviste, concurrentiel, mécanisé, expansif, qui se met en place. Sur le long terme cela contraint les petits paysans possédant des terres, à revendre à ces grands producteurs qui développent l’agro-business.

front: celui de l’agriculture moderne, intensive et mécanisée ( riz, soja); ce front agricole se développe surtout dans les cerrados. - 2ème front: celui de l’élevage extensif (150 200 millions de bovins); ce front se développe dans les grandes fazendas (grandes propriétés) d’élevage (le zébu y domine). - 3ème front: celui des cultures vivrières (riz, haricots, maïs….); ce front est celui des petits producteurs qui luttent pour intégrer les circuits modernes de commercialisation. Définition

aigu et se traduit par des conflits agraires violents. Beaucoup de paysans sont sans terre ou dans une situation précaire ( les CABOCLOS ) alors que les vastes étendues ne sont pas mises en cultures. La forte opposition entre les “Latifundios” ( Fazendas ) et les minifundios caractérise les structures foncières du Brésil. Les exploitations de plus de 1000 Ha représentent 1 % des exploitations et couvrent plus de 40 % de la SAU. Toute les tentatives de réformes agraires ont échoué; les conséquences

la monoculture du sol, ce qui oblige les producteurs à importer les aliments essentiels4,5. Le Mouvement des sans-terre est présent dans l'État, ayant notamment obtenu en 2007 l'expropriation par le gouvernement Lula da Silva de 1 780 hectares appartenant à la fazenda da Barra4, dans la région de Riberao Preto, à 300 km de Sao Paulo. L'histoire économique pauliste commence avec le cycle du café, qui continue jusqu'à la grande crise de 1929. La décadence de la culture du café provoque le transfert des capitaux

reste aigu et se traduit par des conflits agraires violents. Beaucoup de paysans sont sans terre ou dans une situation précaire (les CABOCLOS) alors que les vastes étendues ne sont pas mises en cultures. La forte opposition entre les “Latifundios” (Fazendas) et les minifundios caractérisent les structures foncières du Brésil. Les exploitations de plus de 1000 Ha représentent 1 % des exploitations et couvrent plus de 40 % de la SAU. Toutes les tentatives de réformes agraires ont échoué; les conséquences