Fédération de la gauche démocrate et socialiste

engendré la création de nouveaux partis politiques, dans d’autres pays le parti libéral s’est scindé en 2. D’un côté les libéraux les plus conservateurs ont rejoint le parti conservateur, de l’autre les plus libéraux des libéraux ont rejoint le parti socialiste. Le mode de scrutin permet de transformer le nombre de voix en sièges. Il y a le bipartisme rigide et le bipartisme souple. Dans le bipartisme rigide les partis connaissent une grande discipline de vote. Souplesse ou rigidité dépend de la cohésion

ses limites l'espace général du discours. Mais, par-delà le traumatisme du XXe Congrès et des révolutions d'Europe de l'Est, c'est surtout une autre partie qui s'engage alors : en direction des socialistes et des autres forces « démocratiques », dans la perspective de ce gouvernement de centre gauche qui finira par voir le jour en décembre 1963. Toute la stratégie du P.C.I. apparaît ici conditionnée en premier lieu par ses rapports avec le P.S.I. Allié privilégié, celui-ci fait également figure

culture économique de la classe politique se révéla désastreux, à droite comme à gauche — la France n'a pas eu de Roosevelt[2]. De plus, si aux États-Unis la crise a finalement plutôt contribué à renforcer les institutions et la foi en la démocratie, dans notre pays elle se traduisit par un renforcement des courants extrémistes, à droite (les diverses ligues et autres formations plus ou moins fascisantes) comme à gauche (le Parti communiste, malgré la conversion tactique et momentanée de ses dirigeants

juin 1944, la reconstruction du paysage politique français s’organise autour de trois grands partis : MRP, SFIO et PCF. Le MRP (Mouvement républicain populaire), issu de la Résistance, est créé à la Libération et regroupe essentiellement des démocrates-chrétiens du centre-droit. Viennent ensuite deux partis d’inspiration marxiste : la SFIO (Section française de l’Internationale ouvrière) qui, sans renier le marxisme, rejette la domination soviétique et tend à s’engager dans la voie du réformisme

sein de la SDN (« l’Europe n’est plus n réalité l’Europe, mais comprend les quatre parties du monde et de grandes portions du cinquième ») ; -le refus de la réalisation graduelle au profit d’un passage brutal de la souveraineté nationale à la fédération (l’exemple de la SDN est là pour montrer l’impossibilité de la construction par étapes). La réussite de ce grand saut dépend d’un travail de préparation des esprits afin de forger la conviction des élites européennes que les divers intérêts nationaux

et en matière historique l antiquité était la base, histoire antique formatrice et susceptible de donner des recettes, influence revivifié à partir de la révolution française qui va chercher des modèles dans l antiquité. Les premiers mouvements socialistes se sont aussi cherchés des modèles ds l antiquité puisque l histoire nationale n en donné pas. Ex ds l histoire du mouvement social le seul à connotation sociale BABEUF qui a fondé un mouvement pop qui a cherché en prendre le pouvoir a la fin de

particulièrement à recruter des adhérents. (Partis de droite) A l’inverse les partis de masse ont besoins des adhérents ; leur forces sont les militants qui cotisent et constituent une forme de pouvoir. Ils proposent donc à ces militants des services (partis de gauche ; ex : SFIO 1905) Les électeurs vont à partir de là s’identifier par rapport aux partis LECON N°2 : Naissance et crises de la III° république. La III° république établit en 1870 met fin à une forme d’instabilité politique mais ce ne n’est pas

contemporains, et notamment dans les pays que nous considérerons ici (États-Unis, Allemagne, Grande-Bretagne, Italie et France), adopter une telle perspective conduit par conséquent à exclure de notre étude les partis d’extrême droite et d’extrême gauche, dont les positions idéologiques et les organisations interdisent en pratique tout accès au pouvoir. 2 Le leadership de l’opposition suppose cependant une clarification supplémentaire. Appartenir en effet à un « parti de gouvernement » ne suffit pas

frontières. Mais les frustrations de certains peuples (Italie) ou leur sentiment d’humiliation né des traités de paix (Allemagne) commencent déjà à remettre en question le modèle démocratique. A cela s’ajoute la peur d’une autre dictature, d’extrême gauche cette fois, celle des communistes depuis la révolution russe de 1917. A l’arrivée, toute une vague de dictatures déferle pendant l’entre-deux-guerres sur l’Europe centrale et orientale ou encore sur l’Espagne (1936). En Allemagne, Hitler, arrivé au

consacre que l’employeur est le seul juge dans l’atelier de la discipline. Il y a une interdiction en 1971 de la commune de Paris pour les arrêts. Sous la 3eme République contestation du lien féodal + grèves pour le système des amendes. 1890 un socialiste « Feroul » dépose un projet de loi pour interdire les amendes et faire que les règlements soient élaborés par des commissions mixtes entre employeurs et employés. Il rappel que la révolution a supprimée les justices seigneuriales et que ce pouvoir