Fédération de la gauche démocrate et socialiste

l’initiative individuelle. Toutefois, loin d’être, au départ, inscrites dans une planification précise de redressement économique, les nationalisations se font aussi l’écho de « l’esprit » du temps, des raisons sociales et idéologiques avancées par la gauche (Socialistes, Communistes, CGT) mais aussi partagées par le MRP* (ayant intégré l’essentiel du programme du CNR*) et de De Gaulle ! Il s’agit ici de montrer combien le phénomène des nationalisations, parce que l’on se dispute sans cesse sa paternité, est

l'être collectif. Difficile de pensé en dehors de le représentation. Régime politique hybride ! II) La crise de la démocratie libérale Philosophie de la liberté = libéralisme. Postulat faux, tradition libertaire, philosophie de la liberté socialiste.. Rien d'évident au faite que démocratie et libéralisme soit synonyme. Dans les deux cas se sont des identités, elles mêmes plurielles. Considérer comme naturelle une relation entre libérale et démocratie relève de l'idéologie, c'est juste un phénomène

contre 4 millions en 1882. Ceux-ci cherchent à s’organiser autour de partis politiques et de syndicats défendant leurs intérêts. Le socialisme des origines est inspiré par Marx qui prône la Révolution. Celle-ci est rapidement abandonnée par les socialistes allemands préférant les réformes progressives. Encore aujourd’hui et malgré d’importants changements politiques, l’Allemagne dispose d’un mouvement ouvrier actif. Quels sont les partis et syndicats soutenant les ouvriers ? Comment socialisme et

sympathisants d’un parti sont ses électeurs traditionnels. Les adhérents et les militants s’investissement directement dans la vie du parti. Ils se réunissent périodiquement et payent une cotisation. Une évolution progressive : LE PARTI SOCIALISTE.             Le parti socialiste est l’héritier de la SFIO (Section française de l’Internationale Ouvrière) créée en 1905. Il connaît une scission en 1920 au congrès de Tours où une minorité s’éloigne pour créer le Parti communiste. Déclinant dans les années 60

puissance industrielle européenne, conduisant à l’augmentation des effectifs des ouvriers : 8,5 millions en 1910 contre 4 millions en 1882. La question ouvrière devient alors de plus en plus importante, entraînant l’organisation de partis politiques socialistes et communistes ainsi que de syndicats ouvriers. Encore aujourd’hui et malgré d’importants changements politiques, l’Allemagne dispose d’un mouvement ouvrier actif. Quels sont les partis et syndicats soutenant les ouvriers ? Comment ont-ils évolué

qui regroupait tous les Etats allemands au Nord du Main, et ce après la dissolution de la Confédération germanique. Apparaît alors un nouveau dualisme, sans l’Autriche, qui divisa l’Allemagne entre la confédération d’Allemagne du Nord et une Fédération des Etats du Sud (Bavière, Baden, etc.) qui ne vit jamais le jour. L’adresse avec laquelle Bismarck réussit, par la dépêche d’Ems lors de l’affaire, à entraîner la France contre des Etats obligés de s’unir face à l’adversité, permit l’unification

l'économie »[18]. Après un court passage au CERES de Jean-Pierre Chevènement au milieu des années 1970, il adhère au Parti socialiste en 1976[19] et se rapproche de Lionel Jospin, premier secrétaire du PS, qu'il conseille à partir de 1981. Il est secrétaire national du PS, chargé des études et du programme (1986-1988), puis de l'économie et des finances (1988-1989). Les militants socialistes de la Haute-Savoie rejettent sa candidature en vue des élections législatives de 1986, mais celle-ci est imposée

d'un fort potentiel de voix dès la départ. Il faut noter que le bi-partisme est une façade. En effet, il existe à l'intérieur des deux grands partis de nombreux courants concurrents. De plus, en terme de suffrage, l'importance du parti libéral-démocrate est très forte. Enfin, il existe des partis régionaux ( gallois écossais) qui disposent d'une forte base électorale dans leur région. 2- Le mode de scrutin a) L'obligation du vote utile Le vote est tout de suite décisif ce qui oblige à voter

Histoire de la gauche : l. Fondé au mois de juin 1901, le parti radical et radical socialiste est le plus ancien parti de France. Sa création officielle a été précédée par diverses démarches empiriques. Lorsque Napoléon III libéralise quelque peu le régime, l’opposition républicaine s’exprime ouvertement et c’est dans ce contexte qu’est élaboré le Programme de Belleville, en 1868. Il s’agit de réformes radicales, c’est-à-dire fondamentales, telles la séparation de l’Eglise et de l’Etat, I’instauration

toujours, historiquement, été difficile à assumer car la gauche a toujours mobilisé une conception conflictuelle du politique. La droite a toujours cherché à dépolitisé sa lecture des rapports sociaux. La droite s'est souvent définie sous un mode négatif, elle se définie avant tout par ce qu'elle n'est pas. Elle se définie par tout ce qui n'est pas la gauche. Marc Sadoun disait « peut être considéré comme de droite ce qui est à la fois exclu par la gauche et qui accepte cette exclusion ». L'identité de droite