Federico García Lorca

allemands. Dans le tableau de Picasso, les femmes regardent le ciel avec stupeur, ils y découvrent des avions étrangers, un appel de Franco à Hitler. "Ils disaient désirer la bonne intelligence", jugeait les fous. Folie que ce poète de 37 ans, Féderico Garcia Lorca fusillé près de Grenade au début de la guerre civile pour ses sympathies républicaines et son homosexualité, lui le gitan, le "rossignol d'Andalousie", le paysan simple. Folie également que ces républicains qui essaie de reprendre le pouvoir

dans lequel chantera Jean Ferrat. Il y restera six mois, abandonnant sa guitare. Les années qui suivent sont pour lui les meilleures, il accumule les prix et en 1962 fait sa première tournée. Il obtient le prix Henri Crolla pour sa chanson 'Federico Garcia Lorca', le prix Roger Seiller de la Société des auteurs et le Grand prix du disque de l'Académie nationale du disque pour 'Deux enfants au soleil'. En novembre 1963, son 33 tours obtient le Grand prix du disque de l'Académie Charles Cros. Jean Ferrat

La Monja Gitana es un poema escrito por Federico Garcia Lorca. Este poema presenta dos mundos diferentes. Podemos estudiar el poema en versos. En effecto ; Versos 1 a 4 : Son la presentacion del cuadro y de la monja. En effecto, para empezar, estos versos representan una evocación de un ambiente de mediterráneo : - « silencio » : nos introduce ya en un convento - « cal » : recuerda el color de las casas andaluzas - « mirto » : es un arbusto tipico de Andalucia. Pues, nos situamos en

| | | | | | | |XXème siècle |ESPAGNE |FEDERICO GARCIA LORCA |ROMANCERO GITAN |1928 | | | | | |

référence : Lecture cursive au choix : Molière, Le Tartuffe Anton Tchekhov, Les trois sœurs Henrik Ibsen, Une Maison de poupée Federico Garcia Lorca, La Maison de Bernarda Alba Jean Anouilh, Le Voyageur sans bagageJean Cocteau, Les Parents terribles→ Quelle représentation de la famille la pièce propose-t-elle ? N'hésitez pas à faire des recherches,

la Castille comme un vaste océan de cuir. Ma maison s'appelait La maison des fleurs. De tous côtés  jaillissaient des géraniums ;  c'était une belle maison avec des chiens et des enfants. Raoul, tu te souviens ? Te souviens-tu Raphaël ? Federico, te souviens-tu ? Toi qui dors sous la terre, Te souviens-tu de ma maison aux balcons Où la lumière de juin étranglait des fleurs dans ta bouche ? Tout n'était que voix ardentes, sel des marchandises, agglomérations de pain palpitant ; Les

scèneFabiana MedinaAvecYves Adam Olivia Dalric Peggy Dias Fanny Duret Karl Eberhard Philippe Gouin Adrien Gygax Jeanne PasquierOmar Porras (alias Claire Zahanassian)ScénographieFredy Porras, Omar PorrasMasquesFredy PorrasMusiques et univers sonoreAndrés García, Omar Porras, SartenCréation lumièreMathias RocheCostumesOmar Porras et Irene Schlatter d’après la création de Maria GalvezAssistante aux costumesAmandine RutschmannAccessoires, effets spéciauxLaurent BoulangerRégie sonEmmanuel NappeyAdministration

artiste surréaliste espagnol, né en 1904 à Figueres. Dès son plus jeune âge, il a montré un talent précoce pour la peinture et a étudié à l'Académie des beaux-arts de Madrid, où il a rencontré des artistes influents tels que Luis Buñuel et Federico García Lorca. Figure 1 : Salvador Dalì Dans les années 1930, Salvador Dalí a commencé à créer des œuvres d'art étranges et irréelles, incorporant souvent des éléments provocateurs tels que des montres molles, des crustacés et des

Et surtout, il parle de Picasso, son ami, l’illustrateur de plusieurs de ses livres, à qui il a consacré quelques-uns de ses poèmes. Un peu plus tard, il traduit avec le poète, romancier, journaliste, Louis Parrot l’Ode à Salvador Dali de Federico Garcia Lorca. Le coup de force franquiste et la guerre civile lui imposeront de prendre la parole, dans quelques-uns de ses poèmes de colère et de douleur, comme la Victoire de Guernica, Solidarité, illustrés par des gravures des peintres Picasso, Miro

et l’analogie: Des chemins dorment sur ta joue (Gérard Engelbach). Le temps vieillard souffrant de multiples entorses (Robert Desnos). L'heure? Un bourgeon qui fuse (Gisèle Prassinos). Aux enclumes du soir. Frappent les rayons de lune (Federico Garcia Lorca). C'est le temps qui use sa veste (Rainer Maria Rilke). La nuit servante lasse qui s'éloigne (Jean-Vincent Verdonnet). L'horloge qui s'ennuie dans son armoire de chêne Fait aller et venir son gros nombril doré (Maurice Maeterlinck). 2