Féerie

pichenette » ; « jeu de cache-cache »… * Mais ce jeu devient dangereux . Cf. « effrayant jeu de cache-cache avec la mort » ; « camarde du spectre »… C- La mort * « finit par atteindre l'enfant feu follet » > la réalité rencontre la féerie. « Balle » VS « feu follet ». * « On vit Gavroche chanceler, puis il s'affaissa » > l'enfant a été touché, tombe. * « Toute la barricade poussa un cri » > cri d'horreur, un enfant victime… => Montrez que Hugo dénonce toute cette violence qui conduit

sentiments modalités fortes , interjections , etc. Personnifications, comparaisons, métaphores, champ lexical de la peur, de l’étrangeté ou du doute, verbes de perception modalités fortes, etc. Personnifications, exagérations, champ lexical de la féerie, etc. Poésies , odes , romans autobiographiques , etc. Contes de fées, fable, romans d’anticipation, nouvelle, mythes, etc. REGISTRE DE LA SCIENCE FICTION . Univers futuriste qui intègre des phénomènes surnaturels car l’évolution des progrès

en même temps ; Et comme Haendel, dont la perruque Perdait sa farine en tremblant, Il fait envoler de sa nuque La neige qui la poudre à blanc. Dans le bassin des Tuileries, Le cygne s'est pris en nageant, Et les arbres, comme aux féeries, Sont en filigrane d'argent. Les vases ont des fleurs de givre, Sous la charmille aux blancs réseaux ; Et sur la neige on voit se suivre Les pas étoilés des oiseaux. Voici un poème de Théophile de Viau, "Contre l'hyver, Oeuvres poétiques

n’a pas pu participer au festin, apporte une note dissonante par un don maléfique. Cette scène du repas, [qui participe d’un schéma traditionnel du conte de fées], tire toute sa richesse de la juxtaposition de deux plans merveilleux : celui de la féérie et celui de l’enchantement, l’un parfaitement étranger et inaccessible à l’homme, l’autre réservé aux mortels qui entrent en contact avec le monde surnaturel et en retirent des pouvoirs qui les placent au-dessus des leurs. » Si le thème du repas est

J’aurais du faire mention, en commençant, d’une espèce d’ouvrages qui ont précédé ceux dont je viens de parler, mais qui ne ressemblent à nos romans qu’en ce qu’ils appartiennent à l’imagination. Il est vrai que la féerie et le merveilleux en sont l’abus ; mais l’agrément fait tout pardonner. Je relis tous les ans les Contes Orientaux, et toujours avec plaisir. L’Orient, il faut l’avouer, est le berceau de l’apologue et la source des contes qui ont rempli le monde. Ces peuples, amollis par le climat

Laforgue met en scène sa propre vie sombre à laquelle il ne peut échapper avec des mots comme « toujours » V10 & « éternelle pluie » V2. Contrairement à V.H qui ne voit pas son exil comme une fatalité mais comme une source créative // Champ lexical de la féerie : « magique reflet » V15 & « Milles tours de ses palais de fées » V17. • Ds Spleen diérèse sur « rien » V 12 => met en avant le néant véhiculé par le poème, & impression que l’on aboutit à rien. S’oppose au champ lexical du conte de fée chez Hugo

œuvre emblématique de la Belle Époque ................................................................... 3 La production de 1899........................................................................................................ 6 Opéra et féérie .................................................................................................................... 8 Vers la scène… ............................................................................................... 10 Les métamorphoses

plantes contenant les organes reproducteurs. On associe souvent une fleur à sa corolle, les pétales dont elle se part, qui sont son apparat, son arme de séduction. Elles ont ainsi rivalisé d’ingéniosité pour attirer les abeilles à elles, jouant de féerie de couleurs et d’odeur, offrant nectar et pollen en échange d’un simple moyen de transport. Le monde d’aujourd’hui est ce qu’il est grâce à la communication qui selon l’espèce de passe de la manière la plus convenable possible ce qui a permis au

tranquillement accompagné de tous ses amis les plus proches. * Aventure 3) Un monde féerique Des personnages extraordinaire : Géants, siamoise, loup garou Un lieu féerique : la forêt, la nature, la rivière. *On est dans un lieu inondé de féerie, tel un conte de fée ou la nature est très présente et peuplé de personnages extraordinaires. II – L’apologie du sous-genre : L’imaginaire meilleur que la réalité 1) De l’ordinaire à l’extraordinaire : Comparaison Réalité /Imaginaire Photographie :

par le culte de l’image. L’œil du spectateur est dirigé, sous contrôle. Les images d’une séance d’hypnose, révélatrices de la haine contenue dans l’esprit de cet homme, apparaissent derrière un grand mur en plexiglas, avec un réalisme stupéfiant. La féérie du spectacle s’empare du maléfique. « Le mal se mélange à la perfection du monde » parce qu’« il a besoin des autres pour exister » et « qu’il n’y a pas de meilleur jouissance que dans le mal ». Le mal que l’on fait aux autres, qui jaillit de la dépendance