Feminism

n’auraient rien à voir : "Le congrès de Bruxelles est d’inspiration "hoministe" et non masculiniste (néologisme dans lequel personne d’ailleurs ne se reconnaît (...) L’hominisme se présente comme un mouvement masculin symétrique et complémentaire du féminisme, bien loin de la caricature qu’en font le VAMOS (sic), dont les membres semblent se chercher artificiellement des ennemis." Le hic c’est que ses propos décrit ici s’inscrivent bel et bien dans la droite ligne du masculinisme. Le hic encore c’est

épistémologie globalisante et commune. A. Du féminisme aux féminismes : entre concurrence et complémentarité Ainsi, comme nous l’explique Didier Bigo, il semble que les différentes acceptions données aux objets d’étude et une différente méthodologie pour les traiter, entrainent une grande diversité au sein même du courant. Il n’y aurait pas « un féminisme mais des écoles de pensée qui se départagent entre les formes de féminisme libéral, marxiste ou radical […] et celles qui se veulent

sont passives » ; elle pensait que son pays manquait de militantes pour défendre les droits des femmes.
 Le combat central de Femen est la promotion des droits des femmes, mais le groupe lutte aussi pour d'autres causes, plus ou moins liées au féminisme : en faveur de la démocratie et des droits humains notamment pour la liberté de la presse et contre la corruption, la pauvreté, la violence conjugale ou encore des formes de discriminations telles que le sexisme, le racisme ou l'homophobie et contre

Femmes et ses effets sociaux, ATP-CNRS „Recherches féministes et recherches sur les femmes“ avec la collaboration de Liliane Kandel, Françoise Ducrocq et Nadja Ringart; Groupe d'Etudes féministes de l'université Paris-VII (GEF), Crises de la société, féminisme et changement (colloque Sorbonne), 1991. Originalité: écrire à partir de son expérience personnelle. Françoise Picq: militante de la première heure. Sources: étude des écrits et des archives du Mouvement de Libération des Femmes. Une Histoire

défendre la condition feminine et le droit des femmes, mais aussi defend des sujets plus ou moins liés au feminisme, comme la democratie ou les droits humains. Il lutte notamment contre : le sexisme, le racisme, l'homophobie, l'industrie de sexe ( porno, prostitution, tourisme sexuel..) Les femens critiquent aussi la religion, la considerent comme mysogyne, phallocrate, argumentant ainsi : " le féminisme et la religion ne sont pas deux choses qui peuvent coexister ". De nombreusese actions ont lieu partout

Le féminisme Les années 1960 à 1980 ont été marquées par l’idéologie de contestation présente au Québec. En effet, l’état se sépare davantage de la religion : l’église est de moins en moins symbolique aux yeux de certains Québécois. De plus, la deuxième vague du féminisme fait surface. Après l’obtention du droit de vote quelques années auparavant, les revendications des femmes cette fois-ci sont le droit à l’avortement, la création d’un réseau de garderie, le droit au congé de maternité, etc

positif, néanmoins, dans ce réquisitoire : défense des femmes car elles ne sont pas responsables des tares d’un système qu’on leur impose. C’est pourquoi se pose la question du féminisme (des héroïnes et de l’auteur). II. Laclos et le féminisme. Laclos a toujours affirmé à ceux qui mettraient en doute son féminisme que, si Merteuil peut exister, c’est un exception, et que, comme Molière, il a peint le vice pour en détourner (cf. citation de Rousseau mise en exergue). A. Le « cas » Merteuil

point positif, néanmoins, dans ce réquisitoire : défense des femmes car elles ne sont pas responsables des tares d’un système qu’on leur impose. C’est pourquoi se pose la question du féminisme (des héroïnes et de l’auteur). II. Laclos et le féminisme. Laclos a toujours affirmé à ceux qui mettraient en doute son féminisme que, si Merteuil peut exister, c’est un exception, et que, comme Molière, il a peint le vice pour en détourner (cf. citation de Rousseau mise en exergue). A. Le « cas » Merteuil

place du féminisme. b) La légalisation des moyens de contraceptions. c) L’émancipation féminine par les textes de lois. 2) Une conquête inachevée. a) La parité hommes/femmes : une progression continue mais sans fin. b) Les résistances sociales et culturelles.   1) DU SILENCE A LA CONQUETE DES DROITS. a) Les antécédents et la mise en place du féminisme. Féminisme : doctrine qui a pour objet l’extension des droits civils et politiques de la femme. Les premières idées du féminisme nous

Féminisme Le féminisme est un ensemble d'idées politiques, philosophiques et sociales cherchant à promouvoir ce qu'il considère être les droits des femmes et leurs intérêts dans la société civile. La pensée féministe vise en particulier l'amélioration du statut des femmes dans les sociétés où le féminisme considère que la tradition établit des privilèges fondées sur le sexe. Le féminisme travaille à construire de nouveaux rapports sociaux et développe des outils propres à la défense des droits des