Femme de couleur

mélanger ses couleurs pures sur sa palette ou directement sur le tableau, mais à les juxtaposer sous forme de petites touches. Le mélange des couleurs s'effectue alors, à distance, en un "mélange optique" dans l'œil du spectateur. Au début des années 1880, Georges Seurat étudie les théories sur les couleurs d'Eugène Chevreul (1786-1889), Rood et Henry, et met au point cette technique qu'il appela la division des tons ou "Divisionnisme", dont la particularité est de donner des couleurs plus claires

calme et sain. LASSARA Coralie. La société de consommation Cette publicité est une publicité pour des produits de beauté, des soins pour les cheveux. Nous pouvons voir, tout d’abord, une femme, les produits proposés, la marque : l’oréal, un slogan, un site web ainsi qu’ un numéro de téléphone. La femme très jolie, représentée ici est une célébrité. En effet, il s’agit de Claudia Schiffer. Cela montre que même les célébrités utilisent les produits de l’oréal et ainsi cela peut donner envie au

impressionnistes mais prend ses distances de ce mouvement dès 1877, C'est Pissaro qui l'a aidé à s'éloigner des règles et des principes. Les recherches de Cézanne font de lui le père de la peinture moderne et le précurseur du cubisme. Le dessin et la couleur deviennent alors indissociables de l’agencement du tableau ; Cézanne mettra à profit la technique "des petits traits de pinceau" qu'il va mêler à de larges touches en relief pour représenter des formes compactes, structurées par la lumière.

l'œuvre •L'œuvre : - Les couleurs des Marilyn sont vives, jusqu'à saturation. La couleur du maquillage des paupières est la même que celle du fond de la toile. Les couleurs sont ici irréelles par rapport à celles de la peau humaine. Elles sont utilisées pour attirer, voire choquer l'œil, afin qu'il retienne l'image. Elles sont également fortes, parfois foncées sur certains portraits, elles font presque disparaître son image. Ses paupiéres sont donc recouvertes de couleur bleu qui lui donne l'air

 I La beauté et la femme Construit autour d’une rose dont il s’agit de détailler les atouts, le poème propose une métaphore filée de la femme. a) Métaphore de la fleur  Sous le prétexte d’admirer cette rose, le poète construit en effet une métaphore autour de la femme. Celle-ci n’est désignée que par le titre « mignonne » (v. 1, v. 13), les pronoms personnels des 12 premiers vers renvoyant eux à la rose.  La mention de la « robe » (v. 3), reprise par le détail des « plis de sa robe » (v. 5)

intérêt pour le dessin et la couleur. Mais poussé par son père à faire du droit, il suit parallèlement les cours de l’académie Julian, une école privée réputée. Il est finalement admis à l’Ecole des beaux-arts de Paris où il rencontre Edouard Vuillard, de qui il se rapproche rapidement. C’est également à cette période qu’il découvre les peintures de Gauguin, Degas, Monet et Cézanne qui incarnent une nouvelle modernité à travers la liberté des formes et de la couleur. C’est cet amour pour un art « différent »

fait partie des « Documents complémentaires ». DESCRIPTIF : OBJET D’ETUDE «  LA POESIE » SEQUENCE Objet d’étude Problématiques Perspectives Lectures analytiques Lectures complémentaires La poésie La femme, comme objet poétique: égérie et vision sublimée - Singularité et intertextualité - Lyrisme personnel - Histoire littéraire et culturelle - « Ode à Cassandre » Ronsard - « Mon rêve familier » Verlaine - « A une passante » Baudelaire - « La courbe

questions portant sur le corpus de textes qui fait partie des « Documents complémentaires ». DESCRIPTIF : OBJET D’ETUDE « LA POESIE » SEQUENCE Objet d’étude Problématiques Perspectives Lectures analytiques Lectures complémentaires La poésie La femme, comme objet poétique: égérie et vision sublimée - Singularité et intertextualité - Lyrisme personnel - Histoire littéraire et culturelle - « Ode à Cassandre » Ronsard - « Mon rêve familier » Verlaine - « A une passante » Baudelaire - « La courbe

une écriture identique, et un flacon en forme de pomme mais de couleur différente à chaque fois : 1994 : Tendre Poison, flacon vert ; 1998 : Hypnotic Poison, flacon rouge ; 2004 : Pure Poison, flacon blanc / transparent (très fruits rouges) ; 2007 : Midnight Poison, flacon bleu. Le titre de l’œuvre : En anglais, Hypnotic en français, hypnotique : adjectif : qui provoque le sommeil, l’hypnose. Poison : Le flacon en forme de pomme de couleur rouge accentue le côté vénéneux de son nom, référence au poison

verticales pour construire son œuvre : le montant du tableau et le corps du personnage. Et une ligne oblique au niveau de la palette. Au premier plan, il y a ses outils de peinture qui sont mis en valeur. Il utilise des couleurs chaudes (barbe, taches rouges sur la palette) et des couleurs froide dont la dominante est celle de son chemisier qui est mise en valeur par le gris du mur. Il est dans une pièce éclairée. On voit de la lumière provenant de sa droite : il y a donc une fenêtre dans le hors-champ