Femme Nue Femme Noir

compare les mollets d’une femme à des coquillages : « Une femme passa, dont la chair des mollets se durcissait monstrueusement en deux noires conques terminales, à ras d’asphalte » (ligne 12-13), puis, les hommes utilisent des voitures comme moyen de transport et ils ne marchent presque plus : « Sur le haut du pavé qu’elles tenaient pas un être humain qui marchât. » (ligne 21), ou encore, le narrateur voit que l’humain a tout changé et il ne voit même plus la terre nue : « Nulle part la tendre mollesse

où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne

de Ste Colombe, les deux filles (Toinette et Madeleine). Présentation des lieux et de la famille. On parle de la musique baroque et de Lully. Chapitre 2 Mr de Ste Colombe, Toinette et Madeleine. Description de Mme de Ste Colombe. Souvenir de sa femme douloureux. On parle de Mr du Marais père et de la peinture du 17ème siècle. Les filles ne voient plus beaucoup leur père depuis la mort de Mme de Ste Colombe, Toinette se rebelle face à ses colères alors que Madeleine pleure, et devient statue.

nids d'oiseaux sauvages, accrochées ainsi sur ce roc, dominant ce passage terrible où ne s'aventurent guère les navires. Le vent, sans repos, fatigue la mer, fatigue la côte nue, rongée par lui, à peine vêtue d'herbe; il s'engouffre dans le détroit, dont il ravage les bords. Les traînées d'écume pâle, accrochées aux pointes noires des innombrables rocs qui percent partout les vagues, ont l'air de lambeaux de toiles flottant et palpitant à la surface de l'eau.     La maison de la veuve Saverini, soudée

pour point commun le fait d'avoir été chantés Les poèmes ont tous une certaine musicalité celle ci est exploitée par des interprétes Ces chanteurs sont Jean Ferrat - Léo Ferré – Les frères Jacques – George Brassens – Serge Reggiani – La Tordue et Noir DésirIl est intéressant d'étudier le poème original (celui qui à la base est un texte que sur feuille) selon les caractéristiques premières du poème Mais surtout selon son contenu ce qu'il évoque et dans le cas de ce recueil ce qu'il dénonce ou fait

le rêve du 21 novembre 1936 qui montre le vol d’une locomotive au-dessus de New-York. On a ainsi l’impression que les œuvres sont réalisées sans contrôle de la raison par l’absence de cadres, en particulier de cadre temporel. En effet les dessins en noir et blanc de Man Ray semblent n’appartenir à aucune époque du fait de la quasi-absence d’indices temporels pour les situer dans un contexte précis, ou du mélange de ces indices quand il y en a. Il est ainsi complexe d’attribuer une date à « l’arbre

Approche iconique : La chanteuse est présentée sur un fond noir,cette couleur neutre,fait ressortir son visage tuméfié,gonflé,abîmé et déformé. Elle qui devrait servir de modèle pour ses fans ,est mise a nue . C'est délicat de dire qu'elle fait face aux lecteurs étant donné que ses yeux sont fermés et par rapport à cette situation dans laquelle elle se trouve à ce moment . Pour en revenir au fond qui se trouve derrière la jeune femme,il nous donne l'impression que Rihanna est seule au monde , elle

et est en admiration face au tableau et derrière le peintre une femme nue tenant à la main des draps. Le centre du tableau est mis en valeur avec un jeu de lumière. A gauche, on peut apercevoir un chasseur tenant à la main un fusil et en présence de ses chiens de chasse, puis face à cet homme une femme tenant d’une seule main son enfant pour l’allaiter, le fait d’être au sol laisse penser qu’elle reflète la misère. Derrière cette femme se trouve un crane humain posé au dessus du papier cela peut traduire

;Retiens les griffes de ta patte,Et laisse moi plonger dans tes beaux yeux,Mêlés de métal et d'agate. Lorsque mes doigts caressent à loisirTa tête et ton dos élastique,Et que ma main s'enivre du plaisirDe palper ton corps électrique, Je vois ma femme en esprit. Son regard,Comme le tien, aimable bête,Profond et froid, coupe et fend comme un dard, Et, des pieds jusques à la tête,Un air subtil, un dangereux parfum,Nagent autour de son corps brun. J'ai choisi ce poème car il est particulier. Il

obscur de la femme dans son oeuvre pour lui la femme incarne le mal et il l’exprime avec talent et donne du caractère a ses poèmes on le perçoit par “La femme au corps divin, promettant le bonheur, Par le haut se termine en monstre bicéphale !”extrait du poème le masque, il représente ainsi la femme tel un monstre. Contrairement à Charles Baudelaire, Léopold Sédar Senghor lui admire et magnifie la femme, il fait ses éloges en particulier la femme noire par “femme nue, femme noir, femme africaine…’’