Femme Qui Pleure Et Cubisme

yeux de tous, le joyeux « Kostro », le léger « flâneur des deux Rives ». Devenu, dès 1904, l’ami de Picasso, Derain, Vlaminck, il participa avec d’autres poètes (Salmon, Max Jacob) aux discussions du ‘’Bateau-Lavoir’’ et du “Lapin agile’’ sur le cubisme qui était en gestation, cette théorie artistique nouvelle privilégiant l'inspiration abstraite et géométrique au détriment de la représentation du réel. Il contribua à l’« invention » du Douanier Rousseau, rencontra aussi Alfred Jarry. Il collabora

des romans érotiques. Il pratique le calligramme (terme de son invention désignant ses poèmes écrits en forme de dessins et non de | |formes classiques en vers et strophes). Il est le chantre de toutes les avant-gardes artistiques, notamment le cubisme, poète et | |théoricien de l'Esprit nouveau, et précurseur du surréalisme dont il a forgé le nom.  | Le vocabulaire au bac  Etymologie : Etude de la racine des mots  Cosmologie : Etude du

Et pleurer mes enfants Je viens de recevoir Ma mère a tant souffert Mes papiers militaires Elle est dedans sa tombe Pour partir à la guerre Et se moque des bombes Avant mercredi soir Et se moque des vers Monsieur le Président Quand j´étais prisonnier Je ne veux pas la faire On m´a volé ma femme Je ne suis

la fois un savant, un philosophe et un magicien, un enchanteur. Le poète, selon Apollinaire, est défini à travers les métaphores du saltimbanque (Saltimbanques, Crépuscule, Mai), du mage, de l’enchanteur (Les Sapins, Merlin et la vieille femme), du savant (les Sapins, Crépuscule), d’Orphée, le prince des poètes de la mythologie gréco-romaine. C’est aussi un démiurge. Selon Apollinaire, le poète bâtit son oeuvre avec le seul pouvoir magique des mots « changés en étoiles » (Les fiançailles)

du temps qui passe (v. 19-22). ( Le Pont Mirabeau s’agence autour de deux formes de répétition : VI. Conclusion (A retenir) La douloureuse épreuve de l'amour SYNTHESE THEMATIQUE (Important pour la dernière question de l’examen) La femme est au cœur du discours poétique d'Alcools. Elle s'y définit à la fois comme un lieu de désirs et d'obsessions, le point d'où naissent amertume et chagrins, intuition de l'instabilité et angoisse de la précarité. I. La fragilité du sentiment amoureux

vocabulaire est mélioratif " entoura" , " applaudis" , "accueilli" ce qui accentue cet effet de contre point c'est le jugement de la narratrice , "pour que rien ne manqua à son humiliation" ( l.17) , " il est affreux de se trouver parente de cette femme" ( l.26 ) , on peut souligner un adjectif hyperbolique à la l.24 " ignominieuse" . Il y a une importance du mouvement dans le texte , un mouvement de recul : l.13 : " il l'y laisse absolument seul " , et un sentiment de rapprochement destiné à lui

perroquets criaillent J'aime la grâce de cette rue industrielle Située à Paris entre la rue Aumont-Thiéville et l'avenue des Ternes […] Apollinaire, Alcools, 1912 INTRODUCTION : • Guillaume Apollinaire (1880-1918) développe son intérêt pour le cubisme. Il anticipe le futur mouvement surréaliste. Il est attaché au monde moderne, à la ville. En 1913, il publie Alcools. On lui doit entre autres : Calligrammes ; L’enchanteur pourrissant ; Le guetteur mélancolique ; Les mamelles de Tirésias (théâtre)

les narguons. Quel bruit dehors ! Hideuse armée De vampires et de dragons ! La poutre du toit descellée Ploie ainsi qu'une herbe mouillée, Et la vieille porte rouillée Tremble, à déraciner ses gonds ! Cris de l'enfer! voix qui hurle et qui pleure ! L'horrible essaim, poussé par l'aquilon, Sans doute, ô ciel ! s'abat sur ma demeure. Le mur fléchit sous le noir bataillon. La maison crie et chancelle penchée, Et l'on dirait que, du sol arrachée, Ainsi qu'il chasse une feuille séchée, Le

l'impressionne en particulier : le cubisme, tout juste inventé par Picasso et Braque. Il réalise alors des oeuvres, paysages, natures mortes ou portraits dans lesquels reprend les codes du cubisme. Il fragmente la réalité en plans géométriques qui s'imbriquent les uns dans les autres. La représentation réaliste de la perspective est abandonnée. Diego Rivera participe activement aux discussions houleuses des avant-gardes sur l'évolution du cubisme. Les tenants du cubisme orthodoxe lui reprocheront sa

blement agacé. Le jeune couple amoureux joue avec les nerfs de l'Américain (Steve Buscemi), et ni Ie guitariste au regard insistant ni I'homme d'affaires qui ressemble plus à un garde du corps ne semblent disposés à lui prêter main-forte. La jeune femme (Julie Bataille en Mona Lisa plus vraie que nature) brise les frontières, se joue de I'espace et du tem ps, se déplace dans Ie raccord et vient embrasser à pleine bouche notre Américain quelque peu déboussolé, « avec la langue en plus I ». « Vous