Femmes Damnées Analyse

française un immense poème « le siècle de Louis le Grand » en 1687. Les Modernes défendent Louis XIV ; les Anciens l'Antiquité. Perrault oppose Molière, Racine etc. aux autres auteurs tels que Sophocle. Boileau y répond dans sa Satire n°10 (sur les femmes) où il loue les auteurs antiques. Ils se répondent tour à tour. Il faut attendre 1694 pour que les 2 adversaires se réconcilient officiellement. Ce qui aura des répercussions sur le 17e siècle (peinture, classicisme etc.). La position des anciens :

présente ‘’Les rêveries du promeneur solitaire’’ (1776-1778) recueil de dix textes autobiographiques de Jean-Jacques ROUSSEAU Dans cette première partie de l’étude, on trouve l’établissement de la genèse de l’œuvre, puis un résumé suivi d'une analyse de : - ‘’Première promenade’’ (page 4) - ’’Seconde promenade’’ (page 12) - ‘’Troisième promenade’’ (page 24) - ‘’Quatrième promenade’’ (page 35) - ‘’Cinquième promenade’’ (page 51). Bonne lecture ! Genèse de l'œuvre Rousseau, qui était

Cahier pédagogique Le Bourgeois gentilhomme Molière/ Denis Podalydès Théâtre de la place Manège de la caserne Fonck 09/11>16/11/2012 Sommaire A propos du Bourgeois gentilhomme Résumé de la pièce L’intrigue Analyse des personnages Résumé acte par acte 3 4 5 6 7 Titre et quartiers de noblesse culturelle Les pratiques culturelles de Monsieur Jourdain L’esthétique populaire de Monsieur Jourdain Pierre Bourdieu Le caractère de Monsieur Jourdain Après la représentation,

la suffisance bien-pensante du cercle familial, qu'un athée à sauver en même temps qu'un homme à ménager, car il «gagne gros». «Isa, vois comme j'ai été malheureux [...] Je ne crois pas à ton enfer éternel, mais je sais ce que c'est que d'être un damné sur la terre, un réprouvé, un homme qui, où qu'il aille, fait fausse route ; un homme dont la route a toujours été fausse ; quelqu'un qui ne sait pas vivre... Isa, je souffre». Le cœur lourd, il se réfugia dans une débauche «affreusement simple...

sauver en même temps qu'un homme à ménager, car il « gagne gros ». « Isa, vois comme j'ai été malheureux [...] Je ne crois pas à ton enfer éternel, mais je sais ce que c'est que d'être un damné sur la terre, un réprouvé, un homme qui, où qu'il aille, fait fausse route ; un homme dont la route a toujours été fausse ; quelqu'un qui ne sait pas vivre... Isa, je souffre ». Le cœur lourd, il se réfugia dans une

temporaire et relatif. Le second argument est plus intéressant : il nous invite à être attentif et à ne pas réduire la singularité d'un texte dans le cadre d'une analyse toute faite. Si Zola est le chef de file du naturalisme, il faut se garder de ne rechercher dans ses oeuvres que le registre réaliste, la chronique froide d'une réalité. Comment analyser l'oeuvre gigantesque d'un Hugo : uniquement par son appartenance au romantisme ? À quelle école appartiendrait Baudelaire ? Un mouvement littéraire et culturel

central pour le livre, constitue l’épicentre d’une réflexion sur la nature humaine qui traverse l’œuvre, à partir de l’expérience concentrationnaire d’Auschwitz. L’auteur y entreprend une observation qui emprunte à la démarche scientifique observation/analyse/déduction. Il l’explicite en tête du chapitre :   Nous voudrions faire observer à quel point le Lager a été, aussi et à bien des égards, une gigantesque expérience biologique et sociale. Enfermez des milliers d’individus entre des barbelés, sans distinction

strictement opposées. Rita recèle déjà le poison qui se diffusera lorsqu’elle sera Camilla et Betty n’est peut-être pas aussi naïve que prévue comme le laissera entendre la scène de l’audition où elle subjugue, par son jeu, un vieil acteur. Si les deux femmes pleurent au théâtre Silencio c’est parce qu’une sorte de pressentiment, de prescience de quelque chose d’inédit, la menace d’une disparition imminente, les bouleverse à ce moment-là. Et cette attente s’empare de tout leur être : elles la respirent

étrangers », alors « cela allait de soi que la peste n'arriverait pas au cœur des terres, parce qu'ils n'avaient pas d'étrangers ». Les ports de la côte sud grouillaient d'étrangers et c'étaient eux qui mourraient, « preuve absolue que Dieu avait damné les autres nations du monde à perpétuité ». L'Angleterre, la véritable Angleterre, « la terre saine », « ne courait aucun risque ! » , telle était la pensée du peuple. Tout comme les habitants avaient auparavant été convaincus que l'épidémie ne traverserait

consolerait d'une éternité de souffrance, si elle avait joui d'un instant de bonheur, cette femme n'est pas dans le caractère antique ; c'est la chrétienne réprouvée, c'est la pécheresse tombée vivante entre les mains de Dieu : son mot est le mot du damné. François-René de Chateaubriand, 1802 Il n'y a rien de si bête que de dire comme Théophile Gautier, lequel était du reste un poète de troisième ordre, que le plus beau vers de Racine est : La fille de Minos et de Pasiphaé “. Marcel Proust, 1921 ..