Femmes Et Salons Littéraires

premières littératures, de premiers textes littéraires qui nous sont parvenu. C’est la fameuse Séquence de Sainte Eulalie (fragment de la vie d’une sainte, poème court de 29 vers, mais qui témoigne alors de la volonté de traduire en français une vie de sainte pour diffuser ce culte auprès de la population). Le premier genre littéraire qui émerge n’est encore qu’un fragment, car on ne peut pas parler de littérature au 9ème siècle, mais c’est le premier genre littéraire qui se constitue dans le courant des

mais face à l’opposition de son père, il fait des études de droits. Il est renvoyé de ses nombreuses écoles et grâce à M. Caumartin, client de son père, il passe des vacances chez celui-ci et y travaille les lettres. Il fréquente beaucoup les grands salons et la haute société se dispute sa présence. Voltaire se lie d’amitié avec Beauregard, qui était en fait un policier chargé de le faire parler, il avoue écrire encore des vers contre le régent et est envoyé à la Bastille durant un an, il a alors 23

de cour raffinée, plus littéraire – Pleïade (ronsard, du bellay, pelletier du mans ) => s’éloiger de l’usage courant de la langue Poésie engagée : face aux guerres de religion (fin 16ème), les poètes défendent les catholiques ou les protestants. 17ème siècle – le genre poétique diminue sauf dans son usage théatrâl le poète reste dépendant du pouvoir ( mécénats ), doit se soumettre à la censure. Il fréquente les salons littéraires tenus par de riches particuliers ( femmes intellectuelles, raffinées

paternel, Fernand Césaire, après des études à l'école normale supérieure de Saint-Cloud4, fut professeur de lettres au lycée de Saint-Pierre et le premier instituteur noir en Martinique[réf. nécessaire] et sa grand-mère, contrairement à beaucoup de femmes de sa génération, savait lire et écrire, aptitudes qu'elle enseigna très tôt à ses petits-enfants5. De 1919 à 1924, Aimé Césaire fréquente l'école primaire de Basse-Pointe, commune dont son père est contrôleur des contributions, puis obtient une bourse

horreur et « il passait son temps à se promener aux Tuileries et au boulevard ». Paul Foucher l’avait mis en relation avec Victor Hugo. Il fut admis dans le cénacle romantique et s’y grisa de savoureuses discussions littéraires. Il fréquenta aussi le salon de Nodier et courut les femmes auxquelles plaisaient sa grâce élégante, sa fatuité et les ardeurs de sa jeunesse. Il commença à rimer des poésies qui, tour à tour, étaient du Chénier ou du Victor Hugo et il traduisit (1828) de la manière la plus

nouvelles. 3.1. Les cafés et les salons littéraires Le siècle des Lumières invente, ou renouvelle profondément, des lieux propices au travail de l'opinion publique. Ce sont d'abord les cafés, où on lit et on débat, comme le Procope, à Paris, où se réunissent Fontenelle, Voltaire, Diderot, Marmontel, et qui sont le rendez-vous nocturne des jeunes poètes ou des critiques qui discutent passionnément des derniers succès de théâtre ou de librairie. Ce sont surtout les salons mondains, ouverts par tous ceux

L'enterrement à Ornans : Tableau jugé ambitieux dont le format est généralement destiné aux tableaux d'histoire. Il représente les membres de la famille courbet et plusieurs notables d'Ornans qui assistent à un enterrement. En 1851, lors de son exposition au Salon, l'œuvre fait scandale. On accuse donc G. Courbet de peindre "le laid" "le trivial" et "l'ignoble" site la critique. *L'origine du monde : ce tableau représente une femme nue sur un lit, cadré de façon à ce qu'on ne voit rien au-dessus des seins

cela ne devait pas avoir lieu, ce ne serait qu’une illusion à ensevelir avec les autres. » Illusions perdues conviendrait assez comme titre d’une romance ou d’une gravure romantiques. C’est bien cette valeur allégorique qui a frappé les visiteurs du Salon de 1843, arrêtés devant le tableau du peintre Charles-Gabriel Gleyre, intitulé « Le Soir », et rebaptisé « Les Illusions perdues ». Si l’on en croit le Grand Larousse Universel du XIXème siècle : » […] le public lui a donné le titre qui lui convient

pas pour dire qu’il s’agit d’une belle réussite. Le roman nous fait découvrir une jeune héroïne, Françoise de Sévigné :   charmante, sauvage et peu conventionnelle pour l’époque , elle s’apprête à faire son entrée dans les Salons des nobles de la Cour. Fille de la célèbre auteur Mme de Sévigné, l’adolescente éprouve bien des  difficultés à marcher dans les pas de sa mère . L’Histoire scolaire nous aura d’ailleurs fait un peu oublier l’histoire (personnelle

le clair de lune, le son du cor au fond des bois, les landes, les étangs et les ruines. Meudon, Montmorency, Fontainebleau deviennent l'asile des amants, le refuge des cœurs déçus et désespérés. On commence à connaître une autre vie que celle des salons, et beaucoup de grandes âmes vont chercher dans la nature «des conseils pour vivre, des forces pour souffrir, des asiles pour oublier». Qu'on ouvre pour s'en convaincre la correspondance de Mlle de Lespinasse, de Mme d'Houdetot ou de la comtesse de