Femmes Ouvrières 19eme Siècle

dysfonctionnements. Ces deux aspects ont été traités différemment par les auteurs qui ont rejoint cette théorie et qui sont : Merton Blau Goldner scelznic  Contexte historique  Fin du 19ème siècle, début du 20ème siècle Cette période a été marquée par : L’émergence du capitalisme et la constitution des classes ouvrières et leurs premières luttes Le développement de la pensée Marxiste (l’analyse de l’Histoire et la participation au mouvement réel de la lutte des classes, pour l’abolition du capitalisme)

Politique sociale catégorielle Historique Jusqu'à la fin du 19ème siècle = pas de politique publique spécifique/PA = assurée par la solidarité inter-générationnelle / les hospices (quand absence de famille) => PA relèvent alors de l'assistance aux pauvres (placement en hospice / aide minimale) Début 20ème siècle = exode rural / urbanisation = baisse de la solidarité familiale + création 1ères assurances sociales (retraites ouvrières) + allongement de l'espérance de vie => prise en compte des PA

Le harem et les cousins de Germaine Tillion Une ethnographie de la femme en Méditerranée Germaine Tillion, une femme dans le siècle Née en 1907 et morte en 2008, Germaine Tillion a traversé le 20ème siècle de bout en bout et dans ses grands événements puisqu'elle fut résistante pendant la Deuxième Guerre Mondiale, prisonnière puis déportée à Ravensbrück en 1943 et qu'elle s'impliqua dans la Guerre d'Algérie (elle rencontra clandestinement le chef de la Zone Autonome d'Alger, Yasef Saadi en

plus tôt, meme avant la retraite. A la fin du 19ème siècle, il y a un certain nombre de lutte syndicale misent en place par les ouvriers pour avoir des retraites . Début 20 ème, plus de la moitié de la population des villes agée de 65 ans et plus ne touchaient ni salaire ni pension.(=indigeants, pauvres). Vieillesse rimait avec pauvreté. La charge de ses personnes revenait aux enfants ou institutios. Il faut attendre le début du 20ème siècle pour la mise en place de certains régimes/systèmes

reconnaissance les individus veulent participer à la vie éco trouver du travail, ils veulent être reconnus et respectés, le pb de la souffrance sociale, objectif ou subjectif qu’elle soit lié à la q° ethnique raciste xénophobie, pb violence contre les femmes. La dg problématique tq l’absentéisme. Ces 2 morts du sociale de plus en plus nombreuses pose 3 types de chantiers :…., la prise en compte de revendication identitaire sur la reconnaissances des homo l’adoption; et dernier le pb de reconnaissance

s’inscrivent dans la durée. Que les hommes soient conscients ou non du temps les phénomènes sont fonction du temps. Lucien Febvre a été un des pionniers de l’histoire. Il a publié un livre consacré à Rabelais : « Le problème de l’incroyance au XVIe siècle, la religion de Rabelais » (1942). Les croyances sont un objet d’étude pour l’historien. Que croyait-on au moyen âge ? A la renaissance ? Le peuple était croyant on le sait au travers de textes. Après Lucien, dans les années 50-60-70, on va étudier

construisent au quotidien, avec l’idée que l’on ne peut pas véritablement séparer le social du technique. Le comportement humain n’est pas prévisible. 2. Un bref aperçu de l’évolution historique de l’organisation industrielle. 3.1 Le 19ème siècle et l’entrepreneur bourgeois : Sous l’ancien régime, la bourgeoisie focalisait son action sur le commerce, mais à la révolution industrielle, son intérêt va porter sur l’industrie, créatrice de richesse, de capital et de pouvoir. La puissance

l’histoire des femmes | | | |ELIANE GUBIN | | | Première partie: Femmes ET sciences Créer. Hier et aujourd’hui Les femmes et les sciences

la suite, on se socialise à l'objet. = Toute nouveauté suppose un travail de socialisation : il faut un habitus pour que les nouveautés pénètrent la société. * Trois périodes : → 17ème/fin 19ème : la consommation est réservée à des classes aisées, l'aristocratie puis la bourgeoisie montante. → Fin 19ème/début 20ème : essor d'une aristocratie flamboyante, « la classe de loisir ». → Les 30 Glorieuses (1945-1974, voir à nos jours) : plein emploi, diminution des écarts sociaux, propagation de produits

échanges. L’Europe de l’ouest était déjà riche avant les révolutions industrielles : elle s’était enrichie grâce au développement commercial. Elle était donc déjà riche avant la colonisation : c’est donc sa richesse qui permit la colonisation (XIXème siècle) et non l’inverse (Même s’il est vrai que les colonies renforcèrent la richesse de l’Europe). Deuxièmement en 1820 : Cette mutation fut possible avec l’enrichissement précédent de l’Europe. Ce fut la Révolution Industrielle (trains, électricité