Fenêtre Sur Cour

style géorgien comme le prouve c’est caractéristiques :  Une maison en forme de cube, et strictement symétrique.  Une porte d'entrée centrée, complétée par des fenêtres rectangulaires.  Une corniche embellie par des moulures à denticules décoratives.  Les vitres des fenêtres sont toujours en nombre impair, et les fenêtres sont symétriques (que ce soit verticalement ou horizontalement). Plan de l’édifice Dans le bâtiment principal se trouve les appartements

culture espagnole. a. Velasquez peintre officiel de la cour d’Espagne, notamment celui de Philippe IV. grande étude sur l’usage de la lumière. supervise la décoration du palais: en plus de peindre, ils commandent d’autres oeuvres. à cause de sa fonction, il a moins de temps pour peindre et a beaucoup d’assistants. → Les Ménines (Musée du Prado, Madrid) joue sur les choses visibles/invisibles (ex: fenêtre) personnes réelles qui vivent à la cour la tête de l’homme à la porte est le point de fuite la

arrivée à Paris, je suis allé devant la maison indiquée. Je n’ai rien vu. Il n’y avait personne. Il n’y aura jamais personne. La maison que disait Frantz est un petit hôtel à un étage. La chambre de Mlle de Galais doit être au premier. Les fenêtres du haut sont les plus cachées par les arbres. Mais en passant sur le trottoir on les voit très bien. Tous les rideaux sont fermés et il faudrait être fou pour espérer qu’un jour, entre ces rideaux tirés, le visage d’Yvonne de Galais puisse apparaître

pourtant semblait plus réaliste que jamais. C’est alors que je me suis demandé, pourquoi était-elle représentée ici et qui était cet homme qui venait à l’ instant de s’avançait au centre de la scène et qui avec un regard circulaire regardé l’une des fenêtres de la fausse rue. A première vue cette pièce me paressait inconnue, mais pourtant ce monsieur sur la scène me disait bien quelque chose. Il était vêtu d’une veste et d’une culotte en satin, enveloppé d’un grand manteau brun, d’un ruban de couleur

l’édifice abritant désormais 3000 m² d’exposition retraçant 2000 ans de la culture juive en Allemagne à travers des objets d’art, de culte et de la vie courante.   Comment ? Le musée juif est réparti dans 2 édifices. D’une part, il y a une ancienne cour de justice Prusse, qui abrite les expositions temporaires, les vestiaires et autres lieux de restauration et de vente de souvenirs. D’autre part, il y a l’édifice de Daniel Libeskind. Celui-ci s’organise en une forme d’éclair, ce qui lui vaut le surnom

Il y a 17 fenêtres vers l'extérieur, à travers laquelle la lumière entre. Ils ont mis les mêmes fenêtres opposées sur l'autre côté du mur, qui en réalité ces sont des miroirs. (Initialement elle était un grande terrasse.) Le « Grand Siècle » de Louis XIV reste marqué par l’image d’un roi absolu et d’un Etat puissant. Investi très jeune dans ses fonctions, éduqué par le Cardinal Mazarin, le Roi-Soleil pose les fondements de l’absolutisme. En 1682, il s’installe, entouré de sa Cour, au château

compatriotes qui bivouaquent de l'autre côté d'Andernach. Chez moi, tout est occupé ! Si vous tenez à coucher dans un bon lit, je n'ai plus que ma propre chambre à vous offrir. Quant à vos chevaux, je vais leur faire mettre une litière dans un coin de la cour. Aujourd'hui, mon écurie est pleine de chrétiens. -- Ces messieurs viennent de France, reprit-il après une légère pause. -- De Bonn, s'écria Prosper. Et nous n'avons encore rien mangé depuis ce matin. -- Oh ! quant aux vivres ! dit l'aubergiste en

La Princesse de Clèves – Quatrième partie Introduction  Le contexte : Roman publié en 1678. Le Grand Siècle et le classicisme. L’énigme de l’auteur. Mme de La Fayette, aristocrate et mondaine. La vie à la Cour et les salons. L’œuvre : Singularité du roman de Mme de La Fayette dans la production romanesque du XVIIe siècle. L’intrigue de La Princesse de Clèves : deux époques en miroir. Le titre : un personnage féminin exemplaire, tragique et emblématique. Une chronique du temps d’Henri II, un roman

s'installer à Romarantin (là, il y avait déjà le château de la mère du roi: Louise de Savoie). 1519: Début du chantier de Cosson. Le plan du palais a été pensé selon un plan centré (=celui du pavillon). Il était nécessaire d'avoir un cour d'eau pour acheminer les pierres. Il est possible que Léonard de Vinci, après avoir donné des conseils pour le chantier de Romarantin. Il semble que quelque temps avant ce chantier, les travaux de Romarantin furent abandonnés. La figure

Sa forme générale est un rectangle, le château conserve un plan féodal français traditionnel entouré de larges douves en eau. On trouve également deux ponts-levis. Un corps central domine à l’intérieur de la structure avec trois avant-corps côté cour et une pièce en rotonde au centre, orientée devant les jardins. La pièce dite en rotonde est un grand salon et se trouve au rez-de-chaussée. Egalement à ce niveau, il y a deux appartements, l’un appartenant au Roi, à gauche, et l’autre à Nicolas Fouquet