Féodalité

fin à la fin de l'époque féodal, sur les relations d'homme à homme. Hérédité du fief. Si un vassal meurt c'est sa femme et ses enfants qui disposent de ces terres pour un temps, si l'empereur meurt ce sont ses enfants qui reçoivent l'empire. La féodalité va prédominer en France jusqu'au 14ème siècle, le seigneur est un propriétaire terrien, un chef de guerre, un protecteur de la religion. Joseph Strayer, philosophe américain va montrer qu'une nouvelle dynamique va s'enclencher dès le début du 13ème

habitants des villes née d’un groupe d’hommes contestant le seigneur local…) - pour faire du pouvoir royal un pouvoir indépendant à l’égard d’autres pouvoirs = vers la seconde moitié du XIIIe siècle, le roi est souverain Malgré les soubresauts de la féodalité et certaines contestations, l’autorité souveraine du roi devient une réalité au cours des XIV et XVe siècles, ensuite elle ne fait que se renforcer. . Certes les lois romaines justifient et renforcent l’Etat. Mais l’Etat, la monarchie d’Ancien

propos des images (reprise du travail effectué par I. Ribieras sur la nouveau programme de 5e) A partir du moment où BASCHET justifie une approche par les représentations, la question des images est centrale. D’une part, il montre que la féodalité est une civilisation de l’image médiatrice, d’autre part, il montre que l’image produite par les hommes influence en retour leur comportement. Pour le MA, il est préférable de parler d’images plutôt que d’art. Par ailleurs, il faut éviter de projeter

les intérêts du lignage et de la collectivité. Tout au long de l’étude, M. Vuagnoux-Uhlig réaffirme donc avec force et de manière convaincante que loin d’avoir une portée réaliste, Galeran et L’Escoufleprojettent plutôt « l’image utopique d’une féodalité imaginaire » (p. 424). 9Le livre se recommande par la clarté de l’argumentation, la qualité de l’écriture et la précision des analyses qui emportent presque toujours l’adhésion. Il arrive parfois que dans son souci de donner plus de poids à sa lecture

rois mérovingiens règnent de 481 à 751. Avec la dynastie carolingienne entre 751 et 987 une nouvelle conception du pouvoir se développe qui accorde une importance primordiale à la législation et au droit canonique. Puis à partir du 9eme siècle la féodalité amène une territorialisation des relations de pouvoirs et des relations juridiques. A l'époque féodale, du 9eme au 11eme siècle, se sont les coutumes locales qui vont régir l'essentiel des relations du droit alors que la loi connait un certain effacement

nécessaire de comprendre l’idéologie royale. Le roi doit se porter garant de la justice et de la paix (I), il a de plus une mission divine, ce qui lui donne une position idéologique. Semaine prochaine : Dissertation : « Origine et structure de la féodalité Xème, XIIème siècle » Intro + plan détaillé Fiche de révision chronolgique -Carolingiens : 754 légitimations du coup de force avec Charlemagne qui se fait proclamer roi par les nobles puis comme roi légitime par le Papa Zachari. 957 Hugues Capet

l'avènement de l'Etat occidental. Sous le même mot Etat, on peut mettre des réalités différentes sur le plan géographique ou territorial, sur le plan militaire, sur le plan économique. Au sein même des Etats, l'organisation politique diffère.  La féodalité: sous-bassement historique de la construction de l'Etat. (Entre le VI ème et le IX ème siècle qui arrive après la destitution de l'empereur romain d'occident en 476). Il y a une forme d'éclatement du pouvoir. Il n'y a plus de capacité de pouvoir

division religieuse entre sunnites et chiites au sujet des héritiers légitimes du prophète. C- L’OCCIDENT CHRETIEN : 1- La société féodale : Doc. Photo p 79 de la forteresse de Nérac La société occidentale, régie par le système de la féodalité, est dominée par les seigneurs, détenant le pouvoir militaire, seuls capables d’assurer la sécurité à l’aide de leurs vassaux, qui forment la classe de la chevalerie, classe guerrière, qui développe une mentalité et des valeurs particulières (fidélité

les gains pour la justice royale sont lents, acquis au rythme de grignotage des compétences. La distinction essentielle entre spirituel et temporel permet de cantonner l’Église au seul spirituel et récupérer le terrain perdu dans les siècles de féodalité. Tout d’abord leur compétence ratione personae subit des restrictions nombreuses. Les juridictions royales s’attribuent d’abord au préjudice des cours d’Église, le droit de vérifier la réalité de l’État de clerc, qui, en principe, permettait d’échapper

de suzeraineté suprême se développe à partir du règne d’Hugues Capet et prend définitivement corps sous le règne de Louis VI et Louis VII. Le premier qui a développé cette idée de suzeraineté suprême est Abbon de Fleury en s’interrogeant sur la féodalité, et plus particulièrement sur la fidélité que les grands doivent au roi, mais aussi sur la possibilité pour le roi de gouverner sans le conseil et l’aide des grands du royaume. Abbon de Fleury, dans la vaste collection canonique qu’il compose