Ferdinand Bardamu

corrigé Le sujet : Objet d’étude Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde Le sujet comprend : Texte A : Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869. Texte B : Emile Zola, L’Assommoir, 1877. Texte C : Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. Texte D : Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, 1980. Vous pouvez télécharger le sujet complet (séries Techno) ainsi que les textes du corpus ici. QUESTIONS 1) Ces descriptions mettent-elles en valeur

bien moi, je les trouve inintéressants, et je pense que ces personnages provoque plus la pitié qu'autre chose, ils ne montrent que leurs faiblesses et paraissent souvent pathétiques, contrairement aux héros comme Ferdinand Bardamu dans Voyage au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline. C'est un personnage qui paraît fort moralement et qui paraît avoir beaucoup d'imagination, il se dit « en progrès » depuis sa réformation de la Première Guerre mondiale. Bon, j'avoue que le plus

un extrait de Candide de Voltaire. Le deuxième est un extrait de La chartreuse de Parme de Stendhal. Le troisième texte est un extrait des Misérables de Victor Hugo. Et enfin le dernier texte est un extrait de Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Céline. En quoi le choix du point de vue et du registre conditionne t-il l’image du héros et de la guerre ? Dans un premier temps, nous verrons le rapprochement qu’il existe entre le texte de Voltaire, celui de Stendhal et enfin celui de Céline.

Commentaire de l'extrait de « Voyage au bout de la nuit » de Céline « Voyage au bout de la nuit » est une biographie romancée de Céline. Dans l'extrait que nous allons présenter, nous retrouverons Céline sous la forme de Ferdinand Bardamu et nous dépeindrons son état d'esprit. Le texte étudié semble être le dernier cri d'une personne qui a l'impression d'avoir raté sa vie. Elle est tellement enfermée dans ce sentiment d'échec qu'elle n'a finalement plus que cette idée en tête. Nous allons dans

vie meilleure. Il connait le refut d'être entendu, car personne ne croit au bonheur et a l'espoir que ces rêves se réalisent. Peu a peu la Maheude finit par le croire et elle entre dans ce " monde merveilleux de l'espoir " qu'Etienne réclame. Ferdinand Bardamu dans Voyage au bout de la nuit, souhaite partir de Paris pour s'installer dans une ville où les conditions seraient meilleures. Il finit par arriver à la désillusion puisqu'en conclusion les gens finissent toujours par trouver le défaut qui

chaleur » ; « Les gens de Paris », cet incipit reste très peu informatif et le lecteur est plongé dans une histoire. On sait seulement des personnages qu’ils sont étudiants e médecine, et amis. L’un s’appelle Arthur Ganate, et l’autre Bardamu (on ne sait pas encore que c’est Ferdinand). II) L’annonce du pessimisme marquant de l’œuvre Une vision pessimiste de l’Homme Les soldats, considérés comme des héros en période d’après guerre, Céline lui, les qualifie de « héros pour tout le monde », « soldats

faire passer certains éléments de sa propre vie dans celle du personnage. Cependant, il ne faut pas confondre l’existence du personnage avec celle de l’auteur. Comme dans voyage au bout de la nuit, où Louis-Ferdinand Céline attribue son expérience de la guerre de 1914 à 1918 à son personnage Bardamu qu’il fait d’ailleurs parler à la première personne. L’écrivain se sert de comparaison à sa vie pour mieux se dévoiler à lui-même, ceci rejoint la vision de Montaigne « connais-toi, toi-même ». Le personnage

L'Eglise. Voyage correspond à l'aboutissement et la maturité d'une écriture que son auteur travaille depuis de nombreuses années. Voyage se divise en deux grandes parties. De façon très simpliste, la première relate les errances et les égarements de Bardamu, le narrateur, à travers le monde et la seconde son retour à Paris et sa carrière de médecin. Céline utilise sans retenue les données de son expérience de soldat et de médecin pour doter sa prose d'un style particulier, qui fera de Voyage un tel chef-d'œuvre

sa vie et de rester lui-même. Dans le livre de Louis-Ferdinand Céline « Voyage au bout de la nuit » la vision de la ville étant un monstre froid est bien claire. L'auteur montre New York comme une ville froide qui n'attend pas des voyageurs. Elle est effrayante et austère. Il n'y a pas de place pour l'individualisme dans cette grande ville. Céline souligne l'absence de singularité des habitants de New York. Le héros principal, Bardamu, étouffé par l'immensité des gratte-ciel, erre sans but dans

À quoi bon les descriptions ? Documents A – Gustave Flaubert, L’Éducation sentimentale, 1869. B – Émile Zola, L’Assommoir, chapitre 1, 1877. C – Louis-Ferdinand Céline, Voyage au bout de la nuit, 1932. D – Jean-Marie Gustave Le Clézio, Désert, 1980. Ces quatre descriptions mettent-elles en valeur les mêmes aspects de la ville ? (3 points) m 2. Quels sentiments des personnages ces descriptions reflètent-elles ? (3 points) Après avoir répondu à ces questions, les candidats devront traiter au