Fête des lanternes

Les japonais ne cherchent pas à tiédir l’air d’une pièce. Ils se chauffent directement telle ou telle partie de leur corps par le biais de différents accessoires. Pour l’éclairage, on utilise des bougies de résines, des lampes, lampes à huile et lanternes. II. Une construction avant tout végétale : Avant tout la maison japonaise est une construction majoritairement végétale malgré l’utilisation e matériaux d’autres origines. Il s’agit d’une ossature composée d’éléments verticaux

hommes du bourg avaient revêtu leurs vareuses de pompiers; et, les faisceaux formés, transis et battant la semelle, ils écoutaient Boujardon, le brigadier, s'embrouiller dans la théorie. Le carillon du baptême s'arrêta soudain, comme une sonnerie de fête, qui se serait trompée de jour et d'endroit; Boujardon et ses hommes, l'arme en bandoulière, emmenèrent la pompe au petit trot; et je les vis disparaître au premier tournant, suivis de quatre gamins silencieux, écrasant de leurs grosses semelles

Ainsi les gens viennent voir les projections le soir en pensant se voir à l'écran. Leaving Jerusalem by railway (1896) . Les début du cinéma : Thèse 1 : Aristote 4e siècle av JC , il étudiait les rayons de lumière Thèse 2 : 17e siècle, lanterne magique, images projetées (ancêtre du cinéma) Etienne Jules Marey, médecin physiologiste, étudie les mouvements. Prends des photographies pour décomposer les mouvements puis l'inscrire sur une bande, pour projeter les images et voir le mouvement

du Shaanxi Musée des guerriers et chevaux de l'Empereur Qin à Lintong Événements valant le voyage :  Fête du Nouvel an chinois : la 2e lune après le solstice d'hiver. Fête des Lanterne : 15e jour du premier mois lunaire (après le nouvel an) Points faibles Les hôtels et les transports sont généralement pleins durant les fêtes du nouvel an, pour la fête nationale (1er octobre), et la fête du travail (1er mai).  Au début de l'hiver, en raison de sa situation géographique, la ville de Xi'an

éclairera la nuit de nos noces. THÉSÉE. – Allez, Philostrate ; excitez la jeunesse athénienne à se divertir ; réveillez les esprits vifs et légers de la joie ; renvoyez aux funérailles la mélancolie : cette pâle compagne n’est pas faite pour notre fête. (Philostrate sort.) Hippolyte 2, je t’ai fait la cour l’épée à la main, j’ai conquis ton cœur par les rigueurs de la guerre ; mais je veux t’épouser sous d’autres auspices, au milieu de la pompe, des triomphes et des fêtes. (Entrent Égée, Hermia,

- Chapitre IV – L’accident de Coupeau : pages 144-145 - Chapitre VI – Goujet à la forge : pages 203-204 - Chapitre VII – La fête de Gervaise – pages 251-252 - Chapitre XIII – La mort de Coupeau : pages 503-505 SEQUENCE 4 : LE THEATRE Fantasio d’Alfred de MUSSET - 1810 – 1857

se disjoignent très vite ces deux entités. Les deux « fous » sont tout d’abord évoqués, l’un après l’autre, jusqu’à ce que le texte se recentre exclusivement sur le poète : « O nuit! ô rafraîchissantes ténèbres! vous êtes pour moi le signal d'une fête intérieure ». Le pronom personnel de première personne de forme forte fait ici sa première apparition. La structure du poème est donc sans équivoque : d’abord les autres, ensuite moi. Vers l’accomplissement d’une vérité : ce mouvement qui va de l’autre

il fut brusquement saisi par l’air humide et printanier ; le dessous de son nez se mouilla, le dégel continuait ; tout près, des gouttes d’eau tombaient avec bruit, joyeuses et fréquentes. Tandis que les gendarmes montaient dans la voiture sans lanterne en se courbant et en faisant cliqueter leur sabre, Ianson passait paresseusement le doigt sous son nez mouillé ou arrangeait sa cravate mal nouée. IV. NOUS, CEUX D’OREL. Dans la même session, la cour martiale qui avait jugé Ianson avait

encrassées, cinq ou six lanternes tristes étaient pendues dehors, à des charpentes dont les bois noircis alignaient vaguement des profils de tréteaux gigantesques; et, de cette apparition fantastique, noyée de nuit et de fumée, une seule voix montait, la respiration grosse et longue d'un échappement de vapeur, qu'on ne voyait point. » Extrait de « Germinal » -1885- de Emile ZOLA (1840-1902). Extrait 3: roman du 20ème siècle « Le Noël de cette année-là fut plutôt la fête de l’Enfer que

unique de magie. Le vent malin souffla la dernière bougie Devant que fût fini notre ultime sorbet. Parfois, faisant pousser des cris aux robes blanches, On voyait, incendie indiscret sous les branches, Une lanterne japonaise qui flambait. Et nous nous augmentions l’exquis de cette fête De la sentir frivole, imprudente, inquiète, Et, délicats devins d’un brutal avenir, Assurés de bientôt périr, —et quels artistes ! — Tous nous la savourions, charmés, finement tristes, Comme on fait ce qui