Fête des lanternes

; ils sont toujours avides de ce qui est loin d'eux. [pic] Nerval, Le voyage en Orient, (1851) Les jardins du Calife Hakem. En traversant le fleuve dans sa cange, il vit avec surprise les jardins du palais illuminés comme pour une fête : il entra. Des lanternes pendaient à tous les arbres comme des fruits de rubis, de saphir et d'émeraude ; des jets de senteur lançaient sous les feuillages leurs fusées d'argent ; l'eau courait dans les rigoles de marbre, et du pavé d'albâtre découpé à jour des

vraiment nous sommes de vrais grands amis… Quelle chance que nous nous soyons rencontrés. » Hélas ! on le croit. Les années passent. On a bientôt 12 ans. Combien d’amis restent-ils ? Au fond du cœur, peut-être, et encore… » En 1947, il publie « La Lanterne Magique » qui rencontre un fort intérêt par la jeunesse qui se reconnait facilement dans cette œuvre. Très vite on associe même la nomination Maurice Carême à celle de Poète de l’enfance. En 1935, Maurice Carême, dédie à sa mère, Henriette Art

éclairera la nuit de nos noces. THÉSÉE.—Allez, Philostrate ; excitez la jeunesse athénienne à se divertir ; réveillez les esprits vifs et légers de la joie ; renvoyez aux funérailles la mélancolie : cette pâle compagne n'est pas faite pour notre fête. (Philostrate sort.) Hippolyte [Allusion à la victoire de Thésée sur les Amazones. Hippolyte, que d'autres appellent Antiope, avait été emmenée captive par le vainqueur.], je t'ai fait la cour l'épée à la main, j'ai conquis ton coeur par les rigueurs

La nuit était venue, on dansait dans le grand salon. Ils s’étaient retirés tous les deux dans un petit boudoir ja- ponais, tendu de soies éclatantes, à peine éclairé, ce soir- là, par les rayons alanguis d’une grosse lanterne, pendue comme un œuf énorme. La fenêtre entrouverte laissait en- trer parfois des souffles frais du dehors. […] (l. 39-42) Par la description de ce lieu intime, l’auteur montre bien le bonheur et le bien-être des amoureux. Quant à la description

comics, ainsi que pour vous refaire une nouvelle garde robe. 1 – Les t-shirts et hoodies COMICS Comme beaucoup de lecteurs savent, DC .COMICS fête ses 75 ans, et Warner bros est bien décidé à vouloir marquer le coup avec toutes sortes de produits dérivés. Ce qui explique l’apparition de super-héros tel que Batman, Wonder-Woman, ou encore Green Lantern dans nos magasins Celio. Et à vrai dire, leurs collections est assez riche, et ravirons les fans de comics car les t-shirts reprennent des périodes

fantasmagories, dans des flancs effroyables ; on est pour l’instant comme au milieu d’une ville immense et prodigieuse, qui aurait des tours, des minarets, des palais, et qui se serait improvisée, par fantaisie, en cette région de la mer, pour y donner quelque fête nocturne extravagante. * ** 25 septembre. Nous ne sommes qu’au lendemain, et déjà rien ne se ressemble plus. Dès le matin la brise s’est élevée, – à peine de la brise, juste assez pour coucher sur la mer les grands panaches obscurs des fumées, et

en rajouter d'autres ) -créer des journées à thème -coopérer et réaliser des projets communs : fête des lanternes, projet avec le parc de détente familiale, marché de noël, spectacle pour les personnes âgées et spectacle pour les parents, avec l'école élémentaire (rencontres jeux, rencontres sportives), entre classes (échanges de services, décloisonnement), entre classes bilingues et monolingues (fête de la St Martin) 1 X Jouer pour mieux vivre ensemble : -ateliers de jeux de société à règles

main, toi que l'âpre adversité a inscrit comme moi sur son livre ! Je vais t'ensevelir dans un tombeau triomphal... Un tombeau ? oh ! non, jeune victime, c'est un Louvre splendide, car Juliette y repose, et sa beauté fait de ce caveau une salle de fête illuminée. (Il dépose Pâris dans le monument. ) Mort, repose ici, enterré par un mort. Que de fois les hommes à l'agonie ont eu un accès de joie, un éclair avant la mort, comme disent ceux qui les soignent... Ah ! comment comparer ceci à un éclair

représentant Léda étendue sous un cygne. On parvenait dans ce lieu au moyen d'un escalier tournant terminé par une porte étroite, humble d'apparence, donnant sur la rue, et au dessus de laquelle brillait toute la nuit, derrière un treillage, une petite lanterne comme celles qu'on allume encore en certaines villes aux pieds des madones encastrées dans les murs. Le bâtiment, humide et vieux, sentait légèrement le moisi. Par moments, un souille d'eau de Cologne passait dans les couloirs, ou bien une porte

Car, sans toi, Rien ne puis, Rien ne suis. Je vais gueux comme un rat d’église Et toi tu n’as que tes dix doigts ; La table n’est pas souvent mise Dans nos sous-sols et sous nos toits ; Mais jamais notre lit ne chôme, Toujours joyeux, toujours fêté Et j’y suis le roi du royaume De ta gaîté, de ta santé ! Aime-moi, Car, sans toi, Rien ne puis, Rien ne suis. Après nos nuits d’amour robuste Je sors de tes bras mieux trempé, Ta riche caresse est la juste, Sans rien de ma chair de trompé, Ton amour