Fête des Lumières

n°1 L’usage de la calculatrice est INTERDIT. L’énoncé est à rendre avec la copie. Durée : 55 min. Aide aux calculs : =0,0625 Exercice 1 : Des touristes à Lyon (10 points) Ana et Bob, un couple de jeunes touristes, décident de profiter de la fête des lumières pour visiter la ville de Lyon. Ils se trouvent non loin de la place Bellecour et voit la sculpture de Louis XIV. Ana décide d’en savoir un peu plus sur cette œuvre à l’aide de son « Guide du Routard ». 1. Après avoir défini le punctum remotum

également des masques aux expressions très marquées, tantôt avec un long nez, tantôt avec un grand sourire, si spécifiques du carnaval de Venise et jouent une musique qui finit de nous plonger dans cette atmosphère qu’est celle de Venise les jours de fête. Cette ambiance nous emmène donc dans le côté festif de Venise mais est aussi présent pour marquer les tensions entre les personnages, utilisée comme une sorte d’onomatopée pour accentuer les échanges entre ces derniers, ou encore les émotions ressenties

Chez les Capulet, il y a un bal où les jeunes hommes dansent comme des guerriers prêts à combattre les Montaigu. A ce bal bal on découvre Juliette Capulet, une très jolie jeune fille. Ce soir-là, Mercitio et Benevolio, entraine Roméo Montaigu à la fête des Capulet. Pour ne pas être reconnus, ils vont se cacher sous des masques. Roméo va rencontrer Juliette. Mais Tybalt le reconnaît et il doit s’enfuir. Il va revoir Juliette en se faufilant dans son jardin. Au balcon de sa chambre, ils se déclarent

ombres, brille encor ; Tantôt fait, à l'égal des larges dômes d'or, Luire le toit d'une chaumière ; Ou dispute aux brouillards les vagues horizons ; Ou découpe, en tombant sur les sombres gazons, Comme de grands lacs de lumière. Puis voilà qu'on croit voir, dans le ciel balayé, Pendre un grand crocodile au dos large et rayé, Aux trois rangs de dents acérées ; Sous son ventre plombé glisse un rayon du soir ; Cent nuages ardents luisent sous son flanc noir

fumeries suggérés par « Soirs de Paris ivres de gin » et « Les cafés gonflés de fumée » associés à la fête permanente, avec musique tzigane et revues nègre, grisent le poète. Ce Paris de la Belle Epoque fait la fête toute la nuit grâce à la fée Electricité. Sa frénétique joie de vivre est favorisée par le progrès technique et c’est cela que le mal aimé apprécie tant. Paris est devenue la ville Lumière. 1 : Le cake walk, l'une des sources du JAZZ, traverse l'Atlantique et connaît le succès dans la

(mai-juin) : la société des amis et anciens élèves de l'école des Beaux-Arts de Bourges "Le Mouciau" présente au Château d'Eau une quinzaine de ses membres et un ou plusieurs invités d'honneur. Les Nuits Lumière (mai à septembre) : une invitation à découvrir les plus beaux édifices de la ville inondés de lumière, d'images, de musique, d'émotion... Les Berruyers vus par les Berruyers (juin à septembre) : cette exposition photo présente sur les grilles du jardin de l'Archevêché 80 clichés issus d'un concours

très positive ; ce retournement est d’ailleurs souligné par le chiasme à la ligne 6 « aventure admirable pour un pauvre coin de terre ». - Le narrateur met ensuite en lumière l’aspect positif de ce jardin délaissé par l’homme en décrivant les végétaux qui y poussent en employant des termes extrêmement valorisants :« La fête des giroflées était splendide. » - A partir de la ligne 15, cette description s’achève sur un troisième mouvement qui confère une signification symbolique à cette exubérance

peintres impressionnistes, qui se veulent réalistes, choisissent leurs sujets dans la vie contemporaine, dans un quotidien librement interprété selon la vision personnelle de chacun d'eux. -Ils poussent très loin l'étude du plein air, font de la lumière l'élément essentiel et mouvant de leur peinture, écartant les teintes sombres pour utiliser des couleurs pures que fait papilloter une touche très divisée. - Peintres d'une nature changeante, d'une vie heureuse saisie dans la particularité de l'instant

serait-ce pas parce que la « lumière intellectuelle pleine d’Amour Lorsque le futur initié pénètre dans un Temple maçonnique l’une des premières choses qui frappent son regard est un pavé mosaïque où alternant, comme un jeu d’échecs, carreaux noirs et carreaux blancs. Symbole même du dualisme qui ne cesse de hanter la pensée Johannique. Le bien et le mal, la lumière et les ténèbres en sont le fondement tout l’enseignement maçonnique repose sur la Lumière. Il est dit dans les instructions

personnifications : « chante » (vers 1), « follement »(vers 2) , « fière »(vers 3) comme si la nature était en fête. Champs lexical de la nature : montagne, herbes, frais cresson, rivière, soleil, glaïlleuls. Les plans ont crées des couleurs où le vert domine (herbes (vers 2 et 7); trou de verdure (vers 1), son lit vert (vers 8). Les autres couleurs présentes sont des nuances de blanc qui donnent de la lumière. Rimbaud ne fera parler du Dormeur qu'au deuxième quatrain. La nature, ici, est considérée comme