Fête des morts

l’idée qu’ils puissent avoir la « fine blessure » leur donner de la force pour aller se battre. Pour fuir temporairement les horreur de la guerre, les poilus écrivaient à leurs proches mais dans ces lettres ils ne parlaient pas des défaites et des morts, seulement des bonnes nouvelles pour ne pas inquiéter l’arrière et afin qu’il continue à les soutenir dans leurs combat ce qui montre une fois de plus qu’il y avait un consentement à la guerre. LA MOBILISATION DE L’ARRIERE On savait que la victoire

lexical de l'enterrement : «fossoyeur»; «sa pioche»; «du trou»; «le cercueil»; «défunt»; «les croque-morts». Verlaine nous d'écrit bien une scène d'enterrement, tout d'abord le fossoyeur muni de «sa pioche» qui creuse le trou pour le cercueil puis le prêtre qui «prie allégrement».Les enfants de cœur chantent puis le cercueil est installé au fond du trou. Et enfin, il est recouvert de terre par les croque-morts et les héritier font des discourt. Le poète utilise plusieurs figures de styles comme par exemple:

10000 à 15000 « gueules cassés » 10 millions de morts sur l’ensemble de l’Europe : 1 million pour la France 1.300 milles pour l’Allemagne 1.400 milles la Russie Ainsi que 10 millions de blessés L’hécatombe de la première guerre mondiale a eu un impact sur la deuxième. Manque de main d’œuvre Soldats France : 1 millions 375 mille morts (16% des mobilisés) Allemagne : 2 Millions de morts (16% des mobilisés) Grande Bretagne : 908 mille morts (12% des mobilisés) 25% des corps ont disparus

27/11/10 Le théâtre grec antique I/ La naissance Dès la naissance du monde grec, il existe 4 types de spectacle Les représentations chorales La déclamation des aèdes Les thrènes en l’honneur des morts Chants funèbres Les danses avec masques et costumes Sanctuaire d’Artémis Orthia (Sparte) On a trouvé de nombreux vestiges (costumes) « Danseurs rembourrés » Moules pour masques Points communs : Mise en scène avec répartition des tâches Rites religieux comme spectacles

présentée comme une fête - présence de musique : énumération des instruments (l.2), résumés dans le mot « harmonie » ; ordre = gradation allant du plus aigu au plus grave et mêlant instruments à vent et percussions - présence de chants et de ferveur religieuse : allusion aux « Te Deum » (l.10) ; on remercie Dieu pour avoir remporté la bataille - termes mélioratifs, voire laudatifs de la ligne 1 + anaphore de « si » (adv. d’intensité) -> hyperboles - guerre = kermesse ou fête foraine : Ex : « renversèrent »

sacrifices les plus anciens et juge les affaires religieuses; l’archonte-éponyme se charge des fêtes plus récentes (Grandes Dionysies, Thargélies…); le polémarque s’occupe de certains sacrifices (notamment funèbres) et veille aux Jeux funéraires, à la fête commémorative de Marathon. Mais les oracles jouent également un rôle essentiel, or l’Etat choisit des théores chargés d’interpréter leurs paroles, conduits par l’archithéore. En raison de leur rang important, l’Etat finit par se méfier d’eux. 2

près de la frontière mexicaine. Les têtes colossales sont emblématiques de cette civilisation, crânes et squelettes sont les symboles majeurs du Jour des Morts et des célébrations religieuses d’origine précolombienne. Les Aztèques et autres civilisations gardaient comme trophée les crânes des vaincus et, les rassemblaient lors de la fête des morts. Ces crânes symbolisent le mort et la renaissance. Car les mexicains n’ont pas peur de la mort, ils se moquent d’elle, jouent avec, et même cohabitent. C’est

son importance est relative sur le plan militaire, l'événement est sans précédent par ses répercussions, par ses implications politiques et son retentissement symbolique. a forteresse était défendue par une centaine d’hommes qui firent près de cent morts parmi les assiégeants. Il y en eut six parmi les assiégés, dont le gouverneur de Launay. Cependant, la reddition de la Bastille fit l’effet d’un séisme, en France comme en Europe, jusqu'en Russie impériale. D'emblée, l'événement est considéré comme

voulait a tout pris voir son amphithéâtre inaugurer. Un an après, la véritable inauguration fut mise en place par le successeur de Vespasien son fils Titus. Une fête de 100 jours vient marquer ce grand événement pour la ville de Rome. Plus de 5 000 animaux (éléphants, tigres, lions, léopards, hippopotames…) furent tuées pendants cette fête. En 217, un immense incendie fut causé au colisée par la foudre. Les deux première étage supérieur furent détruit est les autre endommager. Le Colisée subit alors

terres dont il a la charge sont dispersés au sein de la seigneurie. 5. Les châtiments [ pilori ] La prison punitive n'existe pas au moyen âge. Les peines s'appliquent sous forme d'amendes et de châtiments corporels et les crimes sont punis de morts: les nobles sont décapités, les traîtres sont écartelés ou écorchés, les faux-monnayeurs sont bouillis, et les autres sont destinés au gibet (la potence). Pour les femmes, nobles ou non, c'est la noyade ou le bûcher, la décapitation étant très rare