Feu de forêt

biodiversité sont multiples : La déforestation des forêts La pollution Le réchauffement climatique, La surexploitation des ressources vivantes, comme la pêche intensive en sont les principales. De plus en plus, l'homme prend conscience de l'impact de ses activités sur la biodiversité et cherche à la préserver. La déforestation Les principales causes et solutions à la déforestation La déforestation est un phénomène puissant, qui touche toutes les forêts tropicales, en particulier en Amazonie, en Afrique

idée comment je suis arriver là. Je me lève et je regarde autour de moi; je suis dans une forêt et sa splendeur m'interpelle, je me demande si je ne suis pas entrain de rêver; je me pince «-Aie». Je vois des millier d'arbres, aucun n’avait l’air de se dessécher, ils avaient tous les feuilles d’un vert émeraude, des tronc de diamètre énorme, et une hauteur à en avoir le vertige.Perdu dans cette immense forêt je commence a marcher. Après 1h de marche j'aperçois un village qui lui, n’était pas dévorer

sommativeActivités d’évaluationPortera sur :Date de l’évaluation ou de la remise des travaux%Étude de cas· Travail en équipeTravail sur un rapport d’intervention navire.Semaine 35%Examen théorique #1· Individuel· Aucune note sera permise.Incendie de forêt et navireSemaine 520%Évaluation pratique· Intervention navireDifférentes tâches impliquant un navireSemaine 6-715%Évaluation pratique· Intervention aéronefDifférentes tâches impliquant un aéronefSemaine 1320%Évaluation pratique· Technique d’arrosage/amorçageTechnique

glissade un peu plus exaltante, elle amassa alors de la neige et en fit un tat au milieu de la pente , elle tassa encore la neige pour ne pas rester coincée. Elle était fin prête pour descendre , elle adressa un dernier : « A vos marques ! Prêt ? Feu, partez ! » elle était partit se baissant pour aller plus vite, elle se rapprochait de plus en plus du tremplin. N’hésitant pas du tout, elle fonça ! Une fois arrivée au milieu de la pente, là où se trouvait le tremplin elle se redressa pour voler le

m’atteindre Je ne suis personne Mais sans moi il n’y aurait personne J’ai plus de frères et soeurs que quiconque Mais je n’ai aucun lien de sang avec eux Une âme Que peut-on mettre dans une pièce Qui le rende plus lumineuse Sans allumer ni feu de détresse Ni user de magie fumeuse ? Une fenêtre Dans le jour ou dans la nuit Tous ont un jour vu son regard Sur l’océan ou sur la plaine Il n’a vers personne aucun égard Dans ce monde et nul ailleurs Il effraie enfants, les frères et soeurs

magique qui vivait dans une forêt enchantée. Cette licorne était unique en son genre car elle avait des ailes qui lui permettaient de voler dans les nuages et de voyager dans le monde entier.Un jour, alors que la licorne se promenait dans la forêt, elle rencontra un petit lapin tout triste. Le lapin avait perdu sa carotte préférée et ne savait pas où la chercher. La licorne, étant très gentille, décida d'aider le lapin à trouver sa carotte.Ils cherchèrent partout dans la forêt, dans les buissons, sous

rapportant à deux aspects différents.** Il convient de repérer des composantes textuelles différentes pour chaque extrait. Dans cet extrait tiré du roman L’élan d’Amérique d’André Langevin, les éléments de nature et de forêt sont souvent abordés. On retrouve plusieurs mots tels que « soleil », « vent », « collines rocheuses », « épinettes », « feuilles mortes », « terre grasse » et encore plus, ce qui nous donne une vision distincte de l’endroit et du paysage dans lequel

et, s'il parlait peu, il écoutait beaucoup. Il vint une année très fâcheuse, et la famine fut si grande que ces pauvres gens résolurent de se défaire de leurs enfants. Un soir que ces enfants étaient couchés, et que le bûcheron était auprès du feu avec sa femme, il lui dit, le coeur serré de douleur : " Tu vois bien que nous ne pouvons plus nourrir nos enfants; je ne saurais les voir mourir de faim devant mes yeux, et je suis résolu de les mener perdre demain au bois, ce qui sera bien aisé

; Le banquet dans la forêt Est tout prêt ; Chaque branche nous fait signe. Les pivoines sont en feu ; Le ciel bleu Allume cent fleurs écloses ; Le printemps est pour nos yeux Tout joyeux Une fournaise de roses. Tu nous dores aussi tous, Feu si doux Qui du haut des cieux ruisselles ; Les aigles sont dans les airs Des éclairs, Les moineaux des étincelles. Nous rentrons dans les rayons ; Nous fuyons Dans la clarté notre mère ; L'oiseau sort de la forêt Et paraît S'évanouir

l’intérieur des terres. Les chasseurs d’esclaves remonteraient les rivières vers la forêt tropicale à la recherche de l’« Or rouge ». Les Européens se justifièrent en invoquant les pratiques cannibales des Tupis et leur refus du christianisme. Les Tupis disparurent de la plupart des terres qu’ils occupaient au moment du premier contact avec les Européens. Leurs descendants en tant que tribus survivent aujourd’hui dans les forêts tropicales menacées du Brésil. Ils ne sont plus qu'un nombre infime en comparaison