Analyse de la traque de l'élancholia
Pourrir pendant des heures », ou « cochonnerie de cochonnerie ». Dans la phrase : « Les sons, craquement d’une branche, cascade du ruisseau ou cri courroucé d’un geai gris, s’entendent de très loin. » On liste diffèrent sons qui se font entendre un à la fois. On a donc une description exacte de tous les sons qu’on entend, ce qui offre au lecteur une image très détaillés de ce qui se passe et lui permet de mieux imaginer la situation. Dans l’extrait on retrouve aussi un grand nombre de phrases longues et de phrases courtes. « Il ne saigne presque plus » ou « vivant » sont des phrases de quelques mots seulement ou même d’un seul mot. Cela fait ressortir la phrase et le message. C’est court et droit au point. Le message et fixe et il se met en évidence. D’autres phrases sont longues et contiennent plusieurs virgules. Cela contribue au suspens, par exemple : « Il respire …afficher plus de contenu…
Il utilise également plusieurs adjectifs pour nous donner une idée claire de ses idées. Par exemple : « Paysage souverain, beau et violent », « dans la zone chaude et verte », « cette mer d’arbres, démontée, furieuse, indépendante », « mes mains tachées de bleu cobalt et de jaune ocre », « la tache verte, agrandie, lumineuse ». Avec un grand nombre d’adjectifs utilisés pour décrire ces éléments, l’auteur offre à ses lecteurs une image vivide de ce de quoi il parle. Cela permet une expérience de lecture plus et agréable et une compréhension plus approfondie de son message. Le narrateur est le personnage principal, il raconte ses pensées, ses souffrances et ses souhaits. Il remémore ses souvenirs et imagine des scenarios concernant son père. Ses mots viennent sous forme de confession adressée à son père : «je n’ai pas peur pour toi », « je te vois » et « tu es ici, avec moi, et j’imagine que tu te laisses caresser ».On