Fides et ratio

métaux précieux (Or, argent, bronze) - b - Formes actuelles Monnaie fiduciaire Description : la monnaie métallique (or) est progressivement remplacée par des pièces et billets sans valeur propre. Leur valeur repose en fait sur la confiance (=fides) • Monnaie divisionnaire = pièces métalliques. Elles sont fabriquées par le trésor public. Elles servent pour payer les petites sommes et rendre la monnaie. Remarque : en vertu d'un décret de 1790 toujours en application, le client est

n’y a-t-il pas une attitude religieuse qui tient en un mot, en un Credo (« je crois » en latin) ? À l’homme de raison s’interrogeant sur l’origine des religions, sur leurs formes et leurs contenus, s’oppose l’homme de foi, le fidèle (le mot latin fides se traduit par « foi », et les mots « fidélité » ou « confiance » en dérivent) qui entretient un lien personnel, intérieur et vivant avec son Dieu. Pour cet homme la religion se ramène au fait d’être pieux, d’aimer son Dieu, d’être fidèle à sa parole

adapter en fonction de l’objectif à atteindre. C’est une notion-clé de la PNL et la qualité exigée par la négociation syntonique. La flexibilité permet d’être prêt à toute éventualité et d’amorcer toutes les situations de vie. Foi Du latin classique fides « foi, confiance », « loyauté », « promesse, parole donnée » ; le latin chrétien a spécialisé l’emploi du vocable au sens de « confiance en Dieu ». Le mot se rattache à une racine indoeuropéenne bheidh « avoir confiance ». Nous sommes tous emportés

ouvrage volumineux et de lecture compliquée bien qu’essentielle, est assez difficile d’accès et trop peu étudié. On peut se reporter à l’ouvrage de Yvan Salzmann : Sartre et l’authenticité, vers une éthique de la bienveillance réciproque, Labor et Fides, 2000. On pourrait bien sûr expliquer le caractère objectif du social d’après d’autres perspectives sociologiques et systémiques, mais l’avantage de Sartre pour notre propos est qu’il ne renonce jamais à la perspective éthique du sujet qui veut transcender

n’y a-t-il pas une attitude religieuse qui tient en un mot, en un Credo (« je crois » en latin) ? À l’homme de raison s’interrogeant sur l’origine des religions, sur leurs formes et leurs contenus, s’oppose l’homme de foi, le fidèle (le mot latin fides se traduit par « foi », et les mots « fidélité » ou « confiance » en dérivent) qui entretient un lien personnel, intérieur et vivant avec son Dieu. Pour cet homme la religion se ramène au fait d’être pieux, d’aimer son Dieu, d’être fidèle à sa parole

n’y a-t-il pas une attitude religieuse qui tient en un mot, en un Credo (« je crois » en latin) ? À l’homme de raison s’interrogeant sur l’origine des religions, sur leurs formes et leurs contenus, s’oppose l’homme de foi, le fidèle (le mot latin fides se traduit par « foi », et les mots « fidélité » ou « confiance » en dérivent) qui entretient un lien personnel, intérieur et vivant avec son Dieu. Pour cet homme la religion se ramène au fait d’être pieux, d’aimer son Dieu, d’être fidèle à sa parole

augmentation de 2,7% dépassait le taux d’inflation qui était de 2%. Le taux de chômage au Québec en 1992 était près de 12%. Depuis, le salaire minimum est passé à 6,70$ en 1996, à 6,80$ en 1997 et à 6,90$ en 1998. Palda 1998 démontre (Tableau 8) que le ratio du salaire minimum par rapport au produit intérieur brut au Québec est passé de 47% en 1989 à 55% en 1997. Le chômage était toujours de 11,4% au Québec en 1997 et 10,4% en 1998 (Institut 1999, 13, 14). Hirshleifer 1984, 355. 6 INTRODUCTION

n’y a-t-il pas une attitude religieuse qui tient en un mot, en un Credo (« je crois » en latin) ? À l’homme de raison s’interrogeant sur l’origine des religions, sur leurs formes et leurs contenus, s’oppose l’homme de foi, le fidèle (le mot latin fides se traduit par « foi », et les mots « fidélité » ou « confiance » en dérivent) qui entretient un lien personnel, intérieur et vivant avec son Dieu. Pour cet homme la religion se ramène au fait d’être pieux, d’aimer son Dieu, d’être fidèle à sa parole

n’y a-t-il pas une attitude religieuse qui tient en un mot, en un Credo (« je crois » en latin) ? À l’homme de raison s’interrogeant sur l’origine des religions, sur leurs formes et leurs contenus, s’oppose l’homme de foi, le fidèle (le mot latin fides se traduit par « foi », et les mots « fidélité » ou « confiance » en dérivent) qui entretient un lien personnel, intérieur et vivant avec son Dieu. Pour cet homme la religion se ramène au fait d’être pieux, d’aimer son Dieu, d’être fidèle à sa parole

« Dieu », car selon les paroles expresses du maître, le tao a précédé le ti (IV) ; et ce ti, le Chang‑ti était le seul dieu que connût Lao‑tse et, semble‑t‑il le seul en qui il crût. De plus, la traduction si fréquente de tao par les mots raison, ratio, reason, Vernunft, ne me semble pas acceptable parce qu’elle est trop large et trop indéterminée, et sa représentation par le terme λόγος entraîne irrésistiblement vers le sens chrétien spécial de ce mot et pousse à une interpré­tation théologique