Fierté

Tristesse – Alfred de Musset J'ai perdu ma force et ma vie, Et mes amis et ma gaieté; J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie ; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté. Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu parle, il faut qu'on lui réponde. Le seul bien qui me reste au monde Est d'avoir quelquefois pleuré. __________________________________

n’a-t-il pas arrangé quelques passages pour se mettre d’avantage en avant ? Les portraits de chacun de ces hommes ne seraient-ils pas la ruse d’un portrait élogieux ? Dans un premier temps nous parlerons de cette personne considérée comme l’élu, de sa fierté tout au long de ses mémoires et qui fond de lui un grand parmi les grands dont il tire le portrait. Puis nous parlerons d’un personnage offrant tout de même sentiments, amour et valeurs patriotiques à son pays ainsi que beaucoup de dévouement.

Certes ce n’était pas le meilleur combattant mais peu m’importe, Il en avait toutes les qualités. Mon fils a perdu l’honneur de ma famille dans cette défaite, Mais il a gagné mon respect, mon amour et ma fierté. Malgré la haine que tu laisses paraitre à l’égard de Rodrigue, Au fond de toi je sais qu’il n’y a que de l’amour et de la tristesse ! Vas-tu réellement réussir à vivre avec sa mort ? En te disant que le meurtrier n’est autre

sentiment de fierté à celui qui pardonne comme l’a dit celui dont les paroles sont infaillibles, à travers ses dires : « Allah rend fier celui qui pardonne. » [18] Il est donc plus avantageux de gagner la fierté à travers le pardon que de la gagner à travers la vengeance. La vengeance certes donne une fierté en apparence, mais elle crée un sentiment de bassesse intérieure. Par contre, la clémence qui est un sentiment de bassesse au départ procure à terme une fierté intérieure, mais aussi une fierté apparente

suffit pour soulager la conscience française, notamment celle des politiciens. On voit alors une sorte d’obsession du nazisme et de la collaboration apparaître dans notre société. Les problèmes que soulève ce corpus sont donc comment reconstruire une fierté nationale alors que la culpabilité de la période pétainiste est encore trop présente ? Quel est le rôle des politiques, où s’arrête t-il et où débute celui des historiens ? On peut alors décomposer ce corpus sous trois aspects ; les causes, les conséquences

souvent de toi et croie moi avec fierté a l’époque où tu n’avais rien toi tu rêvais que l’on soit bien après , aujourd’hui on manque de rien tu t’ai promis que l’on soit bien qu’on ira loin tu sais je t’admire et ce n’est pas peu de le dire tu es mon papa celui qui ma appris a être droite a ne pas m’éloigner du chemin a toujours rester droite a toujours regarder loin certain m’ont dis que je te ressemblais que j’étais toi tout crachée je répond avec tant de fierté car pour toi j’ai un grand respect

ambitions. Il s’est montré persistant dans sa démarche et une fois son père en dehors du décor, il a pu atteindre ses objectifs. « Il regarde ses champs avec joie et fierté… » Il est en état d’accomplissement et a obtenu sa récompense intrinsèque par l’actualisation de soi, tel que défini par les catégories de besoins selon Maslow. Si la fierté est bien a lui, Jules considère que la récompense est extrinsèque et quelle lui a couté cher au niveau de ses relations, un besoin de base d’amour et un facteur

dans le texte v.9 « on voit » : lucidité du narrateur. II Une argumentation efficaces ? 1. Une discorde : v.5 à v.9 2. La description de la cour : description de la Cour avec les termes : « fierté », « éloquences », « dignité » + v.15-16. Le Cl de la Cour v. 11 à 15 avec des antithèses « haïr/fierté et hauteur », « nuit/habilité et finesse », « colères/éloquentes », « injures/poliment et en meilleurs termes »… 3. L’unité du peuple par le vice et la méchanceté : ce texte repose sur une répartition

divertie, donne du plaisir à des individus qui ont en commun une passion du sport, et qui se regroupent au même moment, au même endroit, pour vivre ensemble des émotions et des sentiments particuliers. Ainsi, cet événement est la source d’une fierté nationale, qui ressoude entièrement une population. Du reste, cette occasion permet aux athlètes de se surpasser et de connaître leur véritables limites physiques et mentales. Par conséquent, cet événement planétaire génère un afflux de touriste

les prétendants par sa beauté et sa richesse. La supériorité de la fille nous est montrée dans les vers suivant : «  Ah vraiment, je suis bonne de leur ouvrir la porte : ils pensent que je suis fort en peine de ma personne. ».Cette orgueil et cette fierté la pousse à refuser tous les prétendants qui se présente à elle, leurs trouvant toujours un défaut : «  La belle les trouva trop chétifs de moitié : Quoi moi ? Quoi ces gens-là ? L’on radote, je pense. A moi les proposer ! Hélas ils font pitié. »