Fierté

intégré. 6 p.91 l. 19  p.92 Leçon de vie par sa tante. Sa tante lui a appris à vivre, à se battre pour ce qu’elle veut car celle-ci a aussi été rejetée par sa belle-famille. La femme a reçu des conseils de sa tante afin de rester dans la famille. De fierté pour sa tante car elle trouve sa tante admirable et courageuse. Cela lui donne de l’espoire. Liens entre les relations entre avec les belles-familles des deux femmes. Elle n’a pas envi de vivre la même histoire que sa tante, donc elle fait tout pour

séduire Madame de Tourvel. En quoi, avec cette lettre de refus, Madame de Merteuil apparaît-elle comme une figure de l'émancipation féminine au XVIII° siècle ? Elle y revendique d'abord la fierté et sa liberté puis prend le pouvoir sur Valmont qu'elle humilie rudement. I. Les revendications d'une femme libre 1. Fierté et supériorité de Madame de Merteuil Un personnage arrogant, orgueilleux, prétentieux. Madame de Merteuil est ironique envers les femmes de Valmont en reprenant sa lettre. Elle ne veut

Tout au long du livre on découvre une relation silencieuse entre père et fille : comme si, en d’approchant de la réussite sociale, Annie s’éloignait de ses origines. On comprend qu’en réalité, elle accomplit le rêve et la fierté d’une famille : « Peut-être sa plus grande fierté, ou même, la justification de son existence : que j’appartienne au monde qui l’avait dédaigné. » (p112) La fracture sociale : Au cours du livre, on découvre nettement un élément marquant de la jeunesse d’Annie Ernaux :

son passé , elle essaye tout de même de tourné la page. Son cœur est brisé , dans le vers '' Mes larmes dans ton regard , troublé ! '' le chagrin est présent , on le voit dans le tableau et dans le poème , mais derrière ce cache une fierté, on ressens cette fierté dans les deux dernières strophes '' Il y a ces questions trop lourdes , que je ne poserai plus '' '' Enfin il y a toi , une image que jamais je ne veut voir'' elle renonce à tous ce qu'elle penser au début , son sentiment de dégoût envers

qui stagnent, risque de licenciement | |- Valorisation des vendeurs du fait que la clientèle soit aisée|Crise économique=> Beaucoup de passage mais peu de concrétisation | |et que la concurrence soit faible: peut apporter une fierté de |d’achat => vendeuses s’ennuient => discussions => développement des | |travailler aux Galeries |rumeurs, ragots... | |- Pression de la clientèle qui exige

Lecture du texte L'ame qui loge la philosophie, doit par sa santé rendre sain encores le corps : elle doit faire luyre jusques au dehors son repos, et son aise : doit former à son moule le port exterieur, et l'armer par consequent d'une gratieuse fierté, d'un maintien actif, et allaigre, et d'une contenance contante et debonnaire. La plus expresse marque de la sagesse, c'est une esjouissance constante : son estat est comme des choses au dessus de la lune, tousjours serein. C'est Baroco et Baralipton

fin du XIXe siècle: sa prise de conscience en son unité nationale. En effet ce n’est pas avant le début de la IIIe République que les Français se sentent uniformément liés sur le plan égalitaire et légal, à leur terre, la France. Ils éprouvent une fierté commune ainsi qu’un besoin grandissant de la revendiquer, de rendre hommage aux leurs. ( a ) Une unité nationale Lors d’une première lecture on remarque rapidement la différence marquée dans les textes rédigés entre la IIIe république

de pitié. Il est vrai qu’à côté de la pitié, de la patience, de la claire intelligence du devoir, on entrevoyait chez l’écrivain une très haute fierté, un besoin de revendications, voire des exigences. Mais cette fierté elle-même était admirable, car elle dérivait de principes élevés sans lesquels l’humanité ne saurait vivre en beauté. Cette fierté n’était pas le mépris quand même du voisin auquel on dit : je suis meilleur que toi ; tu ne me vaudras jamais ; elle n’était que le hautain refus

chargées d’éloges et de vénération. Les jeux de hasard, répandus, étaient souvent sources de conflits et bagarres, le commerce charnel devenu monnaie courante, la polygamie illimitée et sans conditions . La femme n’avait pas droit à l’héritage. . La fierté et l’honneur poussaient certaines tribus (pas toutes) à enterrer leurs filles vivantes, de peur d’entraîner la famille dans le scandale. . Leur fidélité aux engagements et alliances ainsi que leur esprit chevaleresque les disposaient à sacrifier

les teintes plus ou moins chargées » des pavés. La focalisation interne nous plonge dans le cœur du personnage, nous dévoile ses pensées et ses motivations. Nous savons que Simon doit remettre un paquet en mains propre «c’est « une question de fierté ». On apprend aussi qu’il n’est que de passage dans cette ville, il « ne ferait pas de vieux os ici ». Qu’il a entrepris un long voyage en train « Chamalières-Clermont, Clermont-Paris, Paris-Valenciennes ». Le narrateur anonyme adopte le point de