Figure Du Tyran

LA FIGURE DE GODOT En Attendant Godot est une œuvre de Samuel Beckett dramaturge irlandais d'expression française et anglaise. La pièce est publiée en 1952 exclusivement aux Editions de Minuit comme l'ensemble des œuvres de Beckett. Elle s'inscrit dans le courant du théâtre de l'absurde et met en scène deux personnages; Estragon et Vladimir qui «attendent Godot ». Godot est le personnage central de la pièce; l'intrigue tourne autour de ce personnage qui ne fera jamais son apparition. Il représente

principale fait l’expérience d’un dégout face à la condition humaine. Sartre aborde aussi le théâtre et connait de grande réussite avec des œuvres comme Huit Clos. Il donne les mouches en 19473 Sartre s’engage en politique et sera jusqu'à sa mort une figure emblématique de la gauche française. Il condamne les artistes et les écrivains qui restent enfermé chez eux pendant qu’il y a la révolution. 2) L’existentialisme + contexte historique (guerre) D’autre part ces conviction s’appuie sur l’existentialisme

féconder, faire pousser, associées au thème mystique de la moisson, du blé céleste Il tient un langage de vénération sur la femme, opposant à « catin » la sainte, la mère, d’où le CL religieux : ange, harmonie suave, clarté pure, fleur divine Les figures révèlent une âme d’artiste de la Renaissance (Raphaël, Michel-Ange) Intérêt de Lorenzo qui demande des éclaircissements, qui reformule avec « c’est-à-dire » mais qui revient à sa raillerie et son ironie habituelles, cherchant à prendre T en défaut :

Nombreux sont les auteurs qui font l’éloge d’une pièce qualifiée sans cesse de sublime. L’admiration que cette pièce a provoqué à travers les siècles tient notamment au personnage d’Antigone. Le philosophe Hegel parle d’elle comme « la plus noble figure qui qoit apparue sur la terre. » On comprend que cette admiration de la part des écrivains ait pu être à l’origine de nombreuses réécritures. Celle d’Anouilh en est une. Elle nous amène à étudier précisément ce qu’est un modèle littéraire. Le Dictionnaire

réfère aux criminels qui ne respectent pas Dieu métaphoriquement avec notamment le terme « Caïens ». Hugo lui, personnifie la France « France, à l’heure ou tu te prosternes » et dénonce Napoléon III « le Tyran », Hugo se place en victime en s’appropriant le terme de « banni » dans le poème. Les figures de style : hyperboles, métaphores, comparaisons, sont nombreuses, et utilisées dans une démarche argumentative, afin de solliciter l’imagination et la sensibilité du lecteur pour susciter son émotion

de guerrier, ces exploits en tant que guerrier lui on permis de se voir attribuer la confiance du peuple bien qu'il est aujourd'hui comparé à un tyran comme Napoléon. Ceux sont des figures emblématiques de l'histoire, qui on montré une domination charismatique en raison de leurs facultés, et de leurs exploitations. Les personnes obéissants à ces figures peuvent être considéré comme des adeptes, on obéit bien à une personnes et ces dominations ont pris fin on retrouve donc les différentes caractéristiques

témoins, accusés, tous condamnés d'avance». Et Caesonia accepte de le suivre dans ce qui pour elle est folie. Acte lI Les patriciens se plaignent des avanies multiples et vexatoires que leur fait subir «depuis trois ans» «le plus insensé des tyrans», et sont prêts à une sédition. Cherea se joindrait à eux «pour retrouver la paix dans un monde à nouveau cohérent», mais leur demande d’attendre, d’aller dans le sens de Caligula : «Organisons sa folie.» Hélicon, avec son ironie habituelle, soutient

son vrai visage. Il se comporte en tyran: «il suffit qu’on me craigne», v.1057, dit Néron à Britannicus pour montrer son autorité en expliquant qu’il n’est pas nécessaire qu’un peuple soit heureux, il faut juste qu’il aye peur du maître; et ne recule pas devant le meurtre: «Néron l’a vu mourir sans changer de couleur», v.1710. Cette réplique nous montre l’insensibilité de Néron face à la mort, même de son propre frère, c’est pour cela que c’est un parfait tyran puisque la vie des autres pour lui

portrait final que dressera l’orateur au Sénat du défunt dictateur. Si Cicéron liste ainsi les qualités, nuancées sans que le portrait ne semble réducteur, de l’homme, ses qualités ne servent qu’à mieux le desservir. Étant intraitable envers la figure de César, l’orateur l’est d’autant plus avec Marc-Antoine puisque ce dernier veut remplacer le dictateur. L’ancien proconsul va s’acharner sur le collègue de César, lui qui a fait des Ides de Mars, un « Mythe politique »266. Cicéron est formel :

que la naissance et le rang social. Pour un homme "libre", un esclave ne l'est évidemment pas. Cet homme qui a tous les droits sur un etre est une figure ô combien fréquente de l'humanité. A divers degrés, c est le monarque, le dirigeant politique, le général, le leader, le pere meme qui exercent une autorité suprême, qu'il s'arroge s'il est tyran, sur un certain nombre d'individus-sujets. Mais cet homme, persuadé d'etre libre, l'est il vraiment ? Cette liberté n est elle pas illusoire ? Marx rappelle